Léon-Gontran Damas

Le mouvement de la Négritude La Négritude est un mouvement né de la rencontre entre Aimé CESAIRE , Léopold Sédar SENGHOR et du poète guyanais Léon Gontran DAMAS. Les pensées de ces trois hommes se trouvent au carrefour de trois influences : la philosophie des lumières,le panafricanisme et une petite dose de marxisme à l’africaine. Ils affirment haut et fort la grandeur de l’histoire et de la civilisation noire face au monde occidental qui les avait jusque là dévalorisées. Ils se refusent l’existence

antillaise. On en distingue trois grands groupes : 1)La Négritude : est un courant littéraire, né dans les années 1950, fondé par le poète martiniquais Aimé Césaire, l’homme de lettres sénégalais Léopold Sédar Senghor et le poète guyanais Léon Gontran Damas. Ce courant recouvre trois influences : la philosophie des lumières, le panafricanisme et le marxisme. 2)L’Antillanisme : est un courant créé par Édouard Glissant dans les années 1960. Cette fois-ci, l’idée n’est pas de promouvoir une identité

C’est dans ce grand lycée parisien qu’il se lie d’amitié avec le poète Léopold Sédar Senghor. C’est en fréquentant le salon littéraire de la journaliste Paulette Nardal, qu’il entre en contact avec des jeunes étudiants africains. Il y rencontre Léon Gontran Damas ainsi que Birago Diop et Léopold Sedar Senghor. En septembre 1934, Césaire fondera à l’aide des jeunes étudiants Africain le journal « L’Etudiant noir  ».C’est dans cette revue qu’apparaitra le mot qui désigne le rejet de l’image du noir paisible

la Guadeloupe, la Martinique, la Guyane et la Réunion deviennent département d’Outre-Mer (DOM). Cette nouvelle est accueillie dans la liesse par les populations ultramarines pleines de fierté et surtout d’espoir. Quelques uns comme le poète Léon Gontran Damas rejettent l’idée d’assimilation. La loi du 19 mars 1946 est venue consacrer cette longue appartenance à la République en conférant à la Guyane le statut de département d'outre-mer : toutes les lois de la République ont donc vocation à s'y appliquer

être noir peut être ressenti comme une « malédiction ». C’est en quelque sorte la négritude « subie ». La partie senghorienne de la négritude. Ce mouvement littéraire est né de la rencontre entre Aimé Césaire et Senghor, aidé du poète guyanais Léon-Gontran Damas. Les pensées de ces trois hommes se retrouvent en trois influences la philosophie des lumières, le panafricanisme, et le marxisme. Ils revendiquent haut et fort l'identité noir, sa culture, et la grandeur de l'histoire et de la civilisation

Supérieures, au lycée Louis-le-Grand ayant une très grande renommé. Là il fit la connaissance dès le premier jour des sénégalais Léopole Sédar Senghor et Ousmane Socé. Au contact des jeunes africains étudiants à Paris, Aimé et son ami le guyanais Léon Gontran Damas qu’il connaissait déjà depuis le lycée Schœlcher, découvrent peu à peu une part refoulée de leur identité antillo-guyanaise. C’est à partir de ce moment que commence leur passion pour les valeurs noires et la revalorisation de l’Afrique, terre

II. Un mouvement littéraire et culturel Le mouvement de la négritude est apparu durant l’Entre-deux-guerres dans les années 1930. Ce mouvement réuni plusieurs écrivains noirs francophones tels que Aimé Césaire, Léopold Sédar Senghor, Léon Gontran Damas ou encore Guy Tirolien. Il lutte contre le colonialisme et l’esclavage et rejette la domination occidentale. C’est Aimé Césaire qui crée en 1935 le terme « négritude » dans la revue Présence Africaine dont il est rédacteur. Pour lui ce mot désigne

salon littéraire de Paulette Nardal, Aimé Césaire et son ami guyanais Léon Gontran Damas, qu’il connaît depuis la Martinique, découvrent progressivement une part refoulée de leur identité, la composante africaine, victime de l'aliénation culturelle caractérisant les sociétés coloniales de Martinique et de Guyane. En septembre 1934, Césaire fonde, avec d’autres étudiants antillo-guyanais et africains (parmi lesquels Léon Gontran Damas, le Guadeloupéen Guy Tirolien, les Sénégalais Léopold Sédar Senghor

cardiaques très sérieux. Il meurt le 17 avril 2008 a Fort-De-France. La négritude est un courant littéraire et politique, créé après la Seconde Guerre mondiale rassemblant des écrivains noirs francophones, dont Aimé Césaire, Léopold Sédar Senghor, Léon Gontran Damas, Guy Tirolien, Birago Diop et René Depestre notamment. Lié à l'anticolonialisme, le mouvement influença par la suite nombre de personnes proches du Black nationalism, s'étendant bien au-delà de l'espace francophone. Le terme est trouvé par Aimé

nuages Qui crèvent comme des chiens Des chiens qui disparaissent Au fil de l'eau sur Brest Et vont pourrir au loin Au loin très loin de Brest Dont il ne reste rien. Jacques Prévert, 1946 Né à Cayenne, en Guyane, métis, Léon-Gontran Damas entreprend ses études à la Martinique avant de venir en France. Elu député de la Guyane en 1960, il ne cessera de se battre pour la défense de l'identité noire. Solde Pour Aimé Césaire J'ai l'impression d'être ridicule