Léopard de l'Amour

(bis) … Y’a un lac, … Y’a un bois, … Y’a une grotte (bis), une grande grotte (bis) Il fait noir (bis), il fait froid (bis) Y’a des yeux (bis) Aaah ! c’est l’ours !!! Vite marche arrière… ouf on l’a échappé bel Dodo Une ptite fleur l’amour La pète en 1000 oiseaux, Ptite fille Jamala comme y est Mao (bis) Dodo, ti baba Sa z’histoire mama avec son papa (bis) Les petits poissons Les petits poissons dans l‘eau Nagent, nagent, nagent, nagent, nagent (bis) Les petits poissons

est pratiquée principalement par : * Une confrérie des initiés anthropophages, appartenant à un clan, qui se réunissent spirituellement les nuits pour décider du sort d’une tierce personne, membre de ce clan, * Des confréries totémiques (Léopard, Lion, Serpent, Scorpion, Mamiwata,etc) dont les initiés se transforment en ces animaux pour nuire, * Des justiciers comme les féticheurs et les foudroyeurs. * Des personnes détentrices d’un pouvoir vérifiable ou non, animées par la volonté

que chacun de ses actes révèle chez lui des marques de bravoure, de droiture, de générosité, de fidélité. Il est toujours en quête d’aventures et existe surtout dans l’action, poussé par l’amour. Ce motif sera également largement développé dans cette séquence car il est au centre du roman courtois. Comment l’amour naît-il ? Comment s’exprime-t-il ? Comment l’adultère est-il vécu par les personnages ? Quelles en sont les conséquences pour les protagonistes et pour l’action elle-même ? Enfin, parallèlement

« J’ai tant rêvé de toi » in « A la mystérieuse », Corps et Biens |Dissertation : Pour Eluard, le poète « aimant l’amour » n’est pas tant amoureux d’une femme que de l’amour lui-même ». | |- Eluard, « La dame de carreau », Les Dessous d’une vie |La vocation de la poésie est-elle, selon vous, de célébrer l’amour ou privilégiez-vous d’autres fonctions ? | |- Roy, « Tant », Le Voyage d’automne

un zafair pas trop bon là ! » (bon, vous l'avez compris, on dira que c'est un singe créole). Mais en fait ce petit animal va beaucoup plus loin : il est capable d'identifier son prédateur ! Ces petits singes ont trois sons d'alerte : un pour les léopards, un pour les aigles, et un pour les serpents. D'ailleurs les jeunes singes qui suivent leur mère ont un peu de mal à maîtriser toutes les subtilités de ce mode de communication. Au moindre danger ils émettent en désordre les trois sons. Mais cela

Belle du Seigneur 1967 M. Michel TOURNIER Vendredi ou les Limbes du Pacifique 1966 M. François NOURISSIER Une histoire française 1965 M. Jean HUSSON Le Cheval d’Herbeleau 1964 M. Michel DROIT Le Retour 1963 M. Robert MARGERIT La Révolution : l’Amour et le Temps 1962 M. Michel MOHRT La Prison maritime 1961 M. Pham VAN KY Perdre la demeure 1960 M. Christian MURCIAUX Notre-Dame des Désemparés 1959 M. Gabriel d’ AUBARÈDE La foi de notre enfance 1958 M. Henri QUEFFÉLEC Un royaume sous la mer

|Je donne pour Paris | |Dont les pieds ne touchent pas terre ? |Je donne pour Moscou | |Avez-vous vu le léopard |Un peu de tabac gris | |qui aime loger dans les gares ? |Un petit sapajou

ça pour ça ! | |Un avilissement que Fatou accepte par amour. Le drame de Fatou stigmatise le tabou de l’infertilité en Afrique. L’amour est quant à lui | |le tabou d’Irène qui le fuit : « Que Dieu me préserve de cette hystérie collective qui rend idiote la plus intelligente des femmes. | |[...] Je n’ai pas besoin d’un homme. », argumente-t-elle. Irène semble trouver dans le

l'aurore Va dissiper la nuit. " Aimons donc, aimons donc ! de l'heure fugitive, Hâtons-nous, jouissons ! L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive ; Il coule, et nous passons ! " Temps jaloux, se peut-il que ces moments d'ivresse, Où l'amour à longs flots nous verse le bonheur, S'envolent loin de nous de la même vitesse Que les jours de malheur ? Eh quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace ? Quoi ! passés pour jamais ! quoi ! tout entiers perdus ! Ce temps qui les donna, ce temps

funeste De la fureur des nations; Ô mort! Epargne ce qui reste! Varus, rends-nous nos légions! Les coursiers frappés d’épouvante, Les chefs et les soldats épars, Nos aigles et nos étendards Souillés d’une fange sanglante, Insultés par les léopards, Les blessés mourant sur les chars, Tout se presse sans ordre, et la foule incertaine, Qui se tourmente en vains efforts, S’agite, se heurte, se traîne, Et laisse après soi dans la plaine Du sang, des débris et des morts. Parmi des tourbillons