Les Bonnes Genet

du miroir. Dans la peinture et notamment l’autoportrait, les utilisations du miroir sont diverses : ------------------------------------------------- La ressemblance avec une dimension expressive.  Van Gogh : « j’ai acheté exprès un miroir assez bon pouvoir travailler d’après moi à défaut de modèle ». Nous sommes assez loin, ici, du mythe de Narcisse, puisque l’artiste se représente faute d’un "meilleur" modèle. L’autoportrait présenté aux élèves permet de mettre en lumière la dimension expressive

réelle, comme ce fut le cas pour « Les Bonnes » de Genet  qui se sont inspiré de l’assassinat par les sœurs Papin de leur maîtresse. Autant d’éléments troublant qui sème le doute chez le spectateur quant à la réalité profonde de la représentation théâtrale. L’écriture théâtrale est également très proche de la réalité, dans la mesure où elle se joue dans un langage simple et non savant, où se mêle trivialité et grossièretés parfois. L’exemple de la pièce « les Bonnes » où le mot« gosse » est utilisé l’illustre

Éléments pour la conclusion. - Rappel des idées importantes: Même rapport visible sous deux angles différents, cohérence des deux partie. Dom Salluste est plus fort physiquement et psychologiquement. - Ouverture: Lien avec Les Bonnes de Genet. Mépris de l'esclave, le valet, par le maitre tout en ayant ce maitre qui reste indifférent. --------------------------------------------------PROBLEMATIQUES POSSIBLES------------------------------------------------------- Quelle est la

en droit. Il s’agissait de convaincre ou de persuader. Aujourd’hui encore, de nombreux auteurs, des critiques littéraires, des universitaires, entreprennent des recherches autour de la rhétorique. Citons par exemple Gérard Genette (Figures I, II, III), ou encore un très bon index des figures de style : le Gradus, les procédés littéraires de Bernard Dupriez. Il existe de nombreuses classifications des figures de style. On peut, par exemple, retenir cette classification :1 - Les figures de constructionElles

[...]" jusqu'à "Dorante :[...] Mon cœur et ma main t'appartiennent." Travaux complémentaires : Théâtre et conflit . - Marivaux , L’Ïle des esclaves ,ActeI ,scène1. -Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, Acte III, scène 16, 1784. -Jean Genet ,Les Bonnes (1947 ) Visionnage (individuel) de quelques extraits mis en scène . Visionnage et analyse de la mise en scène de la pièce . |Séquence 4

Jean Genet (1910-1986) Les Bonnes 1947 La chambre de Madame. Meubles Louis XV. Au fond, une fenêtre ouverte sur la façade de l'immeuble en face. A droite, le lit. A gauche, une porte et une commode. Des fleurs à profusion. C'est le soir. L'actrice qui joue Solange est vêtue d'une petite robe noire de domestique. Sur une chaise, une autre petite robe noire, des bas de fil noirs, une paire de souliers noirs à talons plats. CLAIRE, debout, en combinaison, tournant le dos à la coiffeuse. Son

voulait me montrer le chemin. Il s’est mis en route, d’un petit trot, et m’a précédé ainsi pendant plus d’une heure. Nous sommes montés par le sentier en direction plateau du Haneck. Nous avons traversé les grands bois de résineux. Il y avait de bonnes odeurs de mousse et d’épines. De la neige formait au pied des grands sapins des corolles claires et le vent faisait se balancer la cime des arbres et craquer un peu leurs troncs. Lorsque nous sommes arrivés à la limite supérieure de la forêt et

Merlin n'est pas réelle. Tout cela amené à des quiproquos qui sont source de désarconnement mais aussi de rire Dans « Les Bonnes » de Genet, les pistes sont brouillées. Dans ce passage, le spectateur ne sait pas qu'il assiste à un jeu de rôle ou l'action porte sur la révolte d'une domestique qui tente d'étrangler sa maîtresse. Cette petite scénette dans la pièce entre les deux bonnes a pour but de déstabiliser le spectateur. Dissertation Dans l'antiquité, le théâtre était comparé à une cérémonie

ouvrir la voie à une lecture autre du personnage d’Albertine : ni tout à fait une femme, ni tout à fait homme camouflé comme certains la(le) lisent. Lecture qui épouserait, d’ailleurs, elle aussi, la logique de l’empiètement métonymique cher à Gérard Genette : Albertine, femme objet du désir en lieu et place d’un homme, n’est pas un homme, mais elle n’est plus, non plus, tout à fait une femme… Ainsi, cette première partie de l’extrait, agitée d’un « frémissement voluptueux et secret »joue-t-elle, mais

toutes les pages lues Sur toutes les pages blanches Pierre sang papier ou cendre J'écris ton nom Sur les images dorées Sur les armes des guerriers Sur la couronne des rois J'écris ton nom Sur la jungle et le désert Sur les nids sur les genêts Sur l'écho de mon enfance J'écris ton nom Sur les merveilles des nuits Sur le pain blanc des journées Sur les saisons fiancées J'écris ton nom Sur tous mes chiffons d'azur Sur l'étang soleil moisi Sur le lac lune vivante J'écris ton