Les Champs Lexical De La Tempete

énumération se termine par des points de suspension, donc il reste encore de nombreux exemples d’exilés, ce qui est confirmé par « à bien d’autres encor ! ». 3. La richesse des thèmes : Ce poème est riche car il est composé de multiples thèmes, et les champs lexicaux y sont variés. Thème de la perte et de l’absence : tous les personnages évoqués par Baudelaire ont perdu ou souhaitent obtenir quelque chose. Andromaque a perdu son seul amour Hector, la négresse recherche sa superbe Afrique, toutes deux ont perdu

d’actions. - Description précise , voir 7 « c’était le carrefour d’un bois, avec une fontaine , à gauche, ombragée par un chêne. » Des détails sont aussi présents lorsqu’il parle des acteurs cf 18 « le plaid sur l’épaule » - Présence du champ lexical de la lumière. Voir « les bougies de l’orchestre s’allumèrent » ; « le lustre descendit du plafond » ; « versant avec le rayonnement de ses facettes ». = Thème de la lumière est mis en lien avec le sentiment de joie. Cf 12 « une gaieté subite

déliée» (l.5) qui fait référence à une diction élégante et maîtrisée ; ce qui créé une illusion de réel ➔ Nuance : qui s’oppose à l’excès qu’il condamne, afin de mettre en évidence l’antithèse avec l’agitation et l’affectation il développe le champ lexical de la réserve «mesurés» (l.8) «retenue» (l.10) «modération» (l.22) «adoucisse» (l.10) A travers le jeu de l’acteur nous avons pu étudier les différents procédé qu’utilise Hamlet afin d’inculqué aux comédiens la procédure d’un «bon comédien»

enfin, à l'allégorie de ce récit. Pour commencer, à la première lecture, « L'albatros » se présente comme le récit d'une scène de la vie en mer. Effectivement, le champs lexical maritime est présent : « Hommes d’équipages » v.1, « albatros », « Oiseaux des mers » v.2, « le navire » v. 4, « les planches » v.5, « avirons » v.8, « tempête » v.14. Cependant, cet univers est coupé en deux espaces fondamentalement opposés. En effet, le sol est peu décrit et l'accent est mis sur le collectif des marins :

soirs, qui détraquaient ses sens, en lui montrant la face verte et ignoble de sa victime » (l. 7- 10). De plus, d’autres passages décrivent avec insistance l’état psychologique lamentable du jeune homme. Il est d’ailleurs aisé de relever un champ lexical relatif à l’angoisse tout au long des extraits qui décrivent Laurent : « chaire tremblante » (l.1), « peur » (l.2), « terreurs » (l.2), « effroi » (l.5), « hystérie » (l.11), « crise » (l.36), « stupeur » (l.40), etc. Bref, plusieurs passages

irréversible du non-retour. ● Le refrain : Les 2 vers des 7 syllabes du refrain (v.5-6, 11-12, 17-18, 23-24) étonnent par l’irrégularité de leur rythme par rapport à celui des strophes et par le sens d’incantation à la mort qu’ils évoquent, avec le champ lexical du temps : « Nuit, l’heure (v.5, 11, 17, 23), jour (v.6, 12, 18, 24) en même temps qu’une solennité de la présence du poète conscient : « Je demeure ». Registres lyrique, tragique, pathétique, élégiaque. B) Un amour malheureux. ● L’expression

dénonciation de la guerre. La visée (=le but) de ce texte est bien entendu la dénonciation de la guerre. Pour cela, il utilise différents champs lexicaux : celui de l'audition : « détonations épouvantables, monstrueusement retentissante, strident fracas, averses de tonnerre, effroyable rideau, la nuée qui tonne, « han » terribles » Les champs lexicaux entrecroisés de l épouvante et de l'orage mettent en valeur le caractère exceptionnel de ce que vivent les soldats. Jamais une telle terreur

gestes comme sa manière de parler et passif. - On note également la ressemblance de ce mot avec le terme Charivau qui caractérise le vacarme qui va suivre. ( là encore, Flaubert nous décrit un phénomène qui n’est que bruit (voir les champs lexicaux : la musique  autres sortes de bruits bizarres, mouvement du crescendo et du décrescendo. - Sommet entre les 2 : « puis » Décrescendo : phrases plus longues avec liens logiques de temps. Sommet entre les 2 : « puis »

La neige a (ensevelir) le mur …………………………..- La couturière avait (garnir)…………………..la robe de perles – Les vagues ont (battre) …………………….le rivage avec fureur – La goélette a (rompre) ……………………..ses amarres – Nous avons (lire) ………………cet ouvrage – La tempête avait (causer) ………………….des dégâts – Nous avons (accomplir)…………………………notre devoir – Le professeur a (punir) ………………………………….deux élèves – Ils ont (servir)………………………..un excellent gâteau – Elles ont (cueillir)………………………des fruits – LES PARTICIPES PASSES

répandre sur la terre et couvrir de leurs armées féroces les royaumes les plus policés. Mais, prends-y garde, ils ont appris les arts ou les ont fait exercer aux peuples vaincus; sans cela, leur puissance aurait passé comme le bruit du tonnerre et des tempêtes. Tu crains, dis-tu, que l'on n'invente quelque manière de destruction plus cruelle que celle qui est en usage. Non: si une si fatale invention venait à se découvrir, elle serait bientôt prohibée par le droit des gens; et le consentement unanime des