Les Champs Lexical De La Tempete

beauté car la jambe est une partie du corps de la femme qu’il faut cacher à cette époque B) L’anonymat des grandes métropoles « Un éclair… puis la nuit ! » (v9)  le regard de la passante « ciel livide ou germe l’ouragan » (v7)  le champ lexical de la tempête nous donne une idée de l’état d’esprit dans lequel cette femme met Baudelaire, mais aussi de la rapidité de cet échange de regard « Ne te verrai-je plus que dans l’éternité ? » (v11) et gradation : «  Ailleurs, bien loin d’ici, trop tard 

étymologies : Thérèse : qui en grec veut dire "qui récolte" Raquin : dérivé de raquer (argot), qui veut dire payer Thérèse Raquin veut donc dire : "qui récolte paye", donc cela peut se rapprocher du proverbe français "qui sème le vent récolte la tempête". Thérèse paiera pour le crime qu'elle a commis. il vaudrait mieux à la limite attirer l’attention sur la dureté des sonorités du nom et du prénom avec ses « t », « q », et « r », sonorités peu harmonieuses en trois syllabes sèches et concises

dramatisation 1) Le lieu Le contexte de la vie en mer s'impose d'amblé avec le jeu des rimes aux vers 2&3 : 'oiseaux des mers' et 'gouffres amers' qui est préciser pas le champs lexical maritime : 'hommes d'équipages'v1, 'albatros'v2, 'oiseaux des mers' v2, 'le navire' v4, 'les planches' v5, 'avirons' v8, 'tempetes' v14. La structure du poème montre l'évolution du lieu : dans le 1er quatrain les albatros suivent le navire, dans le 2em plans rapproché, l'albatros se retrouve sur les planche

grandeur de la mer . V4 métaphore «gouffres amers» → vagues = tempête/climat hostile → rime avec Enfer = renforce impression mal être allitération en «v» → idée du voyage en mer allitération en «s» → bruit du vent champ lexical maritime → «hommes d’équipage» , «albatros», «mers», «navire», «voyage»→ description méliorative

attribuer des propriétés humaines à une chose inanimée : Le Voreux. Emile Zola compare le Voreux qui n’est autre que le puits de mine en train de s’écrouler dans lequel travaillent les mineurs à « la bête mauvaise », un monstre. Il emploie le champ lexical de l’horreur, qui fait référence aux monstres en disant : « effrayante chose », « genou de géante », « elle expirait, broyée engloutie , « son haleine », « épouvante », « hurlante ». Il emploie des verbes qu’on ne peut octroyer qu’aux humains et

mais définissaient un véritable paradoxe qui est au cœur de son oeuvre. Dans le premier quatrain, Baudelaire critique l’esthétique contemporaine, celle de ce «siècle vaurien» (on remarque l’usage de «vaurien» comme adjectif), en usant d’un champ lexical dépréciatif («ces», qui est répété, marquant l’éloignement, le rejet) pour en repousser diverses manifestations : - les «beautés de vignettes», celles, vulgaires, superficielles, des illustrations publicitaires de l’époque, qui ne sont que des

mer (V.2) (gouffres amers (V.4) azur (V.6). Et navire, est ou le poète écrit le poème (planches (V.5), avirons (V.8). Les indices de temps ne sont pas mentionnés. On peut observer que les champs lexicaux de ce poème sont celui de la mer ("mer" au vers 2, "gouffres amers" au vers 4, "azur" au vers 6 et "tempête" au vers 13) En parlant des figures de style, on peut dire qu'il y'a une personnification associé a l'albatros dans le dixième vers "si beau, qu'il est comique et laid", une hyperbole

quelques mois auparavant, un bel étranger, qui disait venir du fond de la Boheme, a demandé l’hospitalité au chateau, par une nuit de tempete. Il y est resté longtemps et, pour passer le temps, il chantait d’étranges chansons, un corbeau noir perché sur son épaule. Grace à ses chants, « il charmait à la facon du serpent qui fascine l’oiseau » (l29- 30). La tempete enfin calmée, il parti, laissant derrière lui une Edwige ravagée et en pleure. Ainsi, elle d'accouche d’« enfant est tout blanc et

d’une aventure dans laquelle il pourrait éprouver son courage. Le vilain lui parle alors d’une fontaine étrange dont l’eau, bien que froide, bout et a le pouvoir de déclencher des tempêtes si on la répand sur le sol. Calogrenant se rend à cette fontaine et provoque une tempête si terrible qu’il croit mourir. Quand la tempête se calme, le gardien de la fontaine arrive. Il provoque Calogrenant en duel et le bat. Honteux de sa défaite, Calogrenant retourne alors chez le seigneur qui l’avait hébergé. Note

comme des sons d'instruments de musique réunis pour former une fanfare : « toutes les voix amalgamées des clairons, des buccins, des olifants, des bugles, des trompettes ». Sous la variété des termes de cette énumération apparaît certes l'unité du champ lexical, puisque tous ces instruments à vent servent à la chasse ou à la guerre, qui sont elles-mêmes des activités voisines, ayant toutes deux pour but de donner la mort. Mais ce sont les connotations qui créent la variété. A côté des clairons et des