Les Champs Lexical De La Tempete

population parisienne 1) ame et apparence II :Paris, un enfer. 1) Champs lexcical du feu 2) champs lexical de la vue I-1) L’aspect de la population parisienne est dite comme étant horrible. Elle est décrite comme un « peuple horrible à voir » l.2. L’auteur n’hesite pas a dire de façon directe l’orrible physique des parisiens. Ce peuple est décrit comme étant interéssé pas des interets qui entrainent souvent la mort. 3 Une tempete d’intrets tourbillonne une moisson d’hommes que la mort fauche

veule » (v9) est un chiasme. Ces figures de style marquent l’opposition entre la majestuosité et l’infirmité de l’oiseau. « oiseaux » (v2), « azur » (v6), « ailes » (v7), « volait » (v12), « nuées » (v11) et « tempête » (v14) se réfèrent au champ lexical du monde aérien. Contrairement au champ lexical du monde terrien: « déposé » (v5), « planches » (v5), « traîner » (v8), « boitant » (v12), « marcher » (v16) et « sol » (v13). Il y a un effet de contraste incessant entre le monde paisible des airs et la

DEVOIR MAISON LITTERATURE Passage choisit : La tempête chant V (vers 282- 392) Notre héros Ulysse est resté sept longues années chez la nymphe Calypso lorsque Hermès messager des Dieux ordonne a la nymphe de le libérer afin qu’il puisse retourner à Ithaque. Malgré ses réticences Calypso accepte néanmoins d’aider Ulysse à bâtir son radeau. Cependant Poséidon, revenu d’Ethiopie s’aperçoit du changement d’attitude des Dieux

orientales. Ce recueil est un vrai succès car beaucoup de personnes sont attiré par l’exotisme de l’orient. En quoi est-ce un poème romantique ? 1) Les djinns a) Ce sont des monstres - Champs lexical du monstre : fantastique peur qui est accentué par la destruction b) Qui détruisent tout - Champs lexical de la destruction : mène a la révolte - Ce sentiment est accentué par la personnification : « la maison crie et chancelle » v61 c) Et qui semble provoquer apocalypse - Référence religieuse

l’histoire d’une famille sous le second empire. Dans ce commentaire nous étudierons d’abord les moyens utilisés pour mettre en scène la tempête puis nous verrons de quelle façon l’auteur nous plonge dans la scène. Cet extrait issu de l’œuvre cyclique d’Emile Zola, nous décris l’arrivée d’une tempête sur un village. Nous allons donc étudier la mise en scène de la tempête en trois paragraphes, d’abord sur l’organisation temporelle, puis sur les bruits et les sonorités et enfin, sur la dimension picturale

registre fantastique se situe à mi-chemin entre le naturel et le surnaturel, entre le réel et l’imaginaire. - Effet d’attente : Le chevalier cherche à tout prix pour éprouver son courage « quelque aventure et quelque prodige. » Le prodige (c’est la tempête) est un événement surprenant auquel on attribue un caractère magique, donc tout est réuni pour nous laisser entrevoir le domaine du merveilleux, du magique et du fantastique. - « Tu verras la fontaine qui bouillonne, bien qu’elle soit plus froide

s'agit d'une métaphore filée , un théme romantique comme plus loin pour le " rocher dans la tempête". L'emploi du romantisme laisse croire a de la nostalgie pour le narrateur . Ici le rocher image le Duc qui resiste au assault du temps   , tel un rocher qui s'effrite un peu plus de jour en jour a cause de l'erosion et des attaques de la mer   , "fouetté [...] par les vagues" , champs lexical de la tempete . L'accroisement de la viellesse du duc est encore souligné par les termes " Sa figures ; effritée

gradation, hyperbole), de répétition (anaphore) et les figures d’analogie permettent de renforcer le propos, * Champs lexicaux de l’héroïsme : le style épique fait naître l’admiration chez le lecteur, * Superlatifs et adverbes d’intensité (le plus, très, beaucoup, etc.), * Phrases longues, * Nombreux pluriels, * etc. * Référence aux éléments naturels * Champ lexical du combat * Peut faire appel au merveilleux L’épopée = genre littéraire le plus ancien. C’est un long poème

donc en valeur dans un premier temps la coexistence du monde humain et du monde céleste puis nous expliciterons la comparaison. Premier axe : la coexistence de deux mondes La chute du poète dans le monde des hommes fait s’alterner deux champs lexicaux opposés : celui du ciel (oiseaux, azur, ailes, volait, ailé, nuées) et celui du monde des humains (hommes d’équipage, navire, planches, exilé sur le sol). L’albatros occupe pacifiquement le monde du ciel et malgré sa situation supérieure, ne semble

que sa fille n’a apparemment pas eu peur. 2- a) – Les procédés d’écritures employés par Madame de Sévigné sont : Le champ lexical de la peur : effrayé (ligne 3) , frémir ( ligne4) , horreur (ligne 5 ) , peur (ligne 9) , peur (ligne 12 ) , miracle (ligne 14 ) , frisonne (ligne 16) , sursauts (ligne 16), effrayé (ligne 18) , miracle ( ligne 25) Le champ lexical du danger : péril ( ligne 3) , fin ( ligne 4) , exposer ( ligne 7) , souffrirait (ligne 9) , brisée (ligne 15) , noyée ( ligne