Les Champs Lexical De La Tempete

s'agit d'une métaphore filée , un théme romantique comme plus loin pour le " rocher dans la tempête". L'emploi du romantisme laisse croire a de la nostalgie pour le narrateur . Ici le rocher image le Duc qui resiste au assault du temps , tel un rocher qui s'effrite un peu plus de jour en jour a cause de l'erosion et des attaques de la mer , "fouetté [...] par les vagues" , champs lexical de la tempete . L'accroisement de la viellesse du duc est encore souligné par les termes " Sa figures ; effritée

changeant et mystérieux de la mer, Pêcheur d’Islande (1886) est une consécration du genre maritime. L’auteur y évoque la rude vie des habitants de Paimpol, dont les marins s’en vont la moitié de l’année pêcher la morue au large de l’Islande et braver les tempêtes et les dangers du grand Nord. Le texte que nous allons étudier se présente comme un passage particulièrement révélateur de toute l’ingéniosité de Loti lorsqu’il s’agit d’accomplir un véritable travail d’artiste pour dépeindre les horizons blancs

l’Enéide. Il est le fils de Vénus (Aphrodite) et Anchise. Il épouse Créuse, la fille de Priam. Après la chute de Troie, il prend la mer avec son père et son fils Ascagne (Iule). Il a reçu des dieux la mission de fonder une nouvelle Troie. Mais une tempête, envoyée par Junon, ennemie des Troyens, les détourne de leur route. Ils arrivent à Carthage et sont accueillis par la reine Didon. Enée lui fait le récit de ses aventures. La reine tombe amoureuse de lui. Enée s’installe à Carthage. Mais Jupiter

nages. Axes :    I. La thèse d’Alceste              II. La thèse de Philinte   I. La thèse d’Alceste a) L’idéal moral d’Alceste ­Thèse d’Alceste : être honnête en toutes circonstances, toute vérité est bonne à dire  {L. 1, 2} ­ On a le champ lexical de la « franchise » présent assez souvent dans le texte {L. 1, 2, 33 à 46} ­  L’idéal  d’Alceste  est  résumé  par  plusieurs  expressions   tel  que  :   «  honnête  homme  »  et  «  homme  d’honneur   {L. 1, 14} à L’idéal de l’honnête hom

d’or, c’est un horrible portrait du peuple de la ville qui est brossé. Balzac insiste bien sur la laideur des individus qu’il met en exergue par l’évocation de couleurs repoussantes telles que « hâve, jaune, tanné » ainsi que par l’emploi d’un champs lexical monstrueux « visages contournés, tordus », il va même jusqu’à montrer que la simple vue de ce peuple l’indispose à travers « peuple horrible à voir ». Par ailleurs, il dénonce une dépravation de la société dont il dévoile la superficialité en

séduit par le comique mais rejette le classicisme. L'Ile des esclaves, sa première comédie sociale, n'échappe pas à cette règle. Le dramaturge met en scène une situation cocasse et inattendue : celle de maîtres et de serviteurs qui sont jetés par une tempête sur une île peuplée d'anciens esclaves. La scène 10 regroupe tous les personnages sauf Trivelin. Elle constitue le véritable dénouement de la pièce puisque chacun reprend son rôle initial. Dans quelles mesures la tirade de Cléanthis montre son

trouvera dans la nature pour exprimer son état d’âme de même que l’envie pressante de fuir le mal de vivre. Tout d’abord, le héros du récit a un lien privilégié avec la nature qui l’entoure. En effet, la nature présente un état de désolation. Le champ lexical en lien avec la désolation composé des mots «désert» (l.5), «automne» (l.6), «roche écartée» (l.14), «cime dépouillée» (l.13), «feuille séchée» (l.12-13), «mousse qui tremblait» (l.13-14), «jonc flétri» (l.14) met en évidence la nature triste et

« petit », « ingrat », « vain ». Ceci sonne comme une condamnation sans appel de l’Homme. Hugo caractérise également ce monde par la raideur du conflit, évoquée à la strophe 2 présentant une harmonie imitative avec l’allitération en –r associé à un champ lexical du bruit, on peut citer « entendre », « heurter », « réveille ». Hugo fait ensuite à la deuxième strophe, au vers 14, référence aux révolutions à travers l’image violente du « heurt » entre le peuple et le roi. Victor Hugo établi tout le long

». - Mer déchaînée, tempête. Le narrateur mêle au récit ses commentaires, il donne à sa naissance une signification prophétique. II. L’importance et la signification données par le narrateur à ce souvenir 1. Un souvenir obsessionnel : « il n’y a pas de jour où… ». 2. Un souvenir douloureux : Champ lexical de la tristesse ; un enfant presque mort-né ; des cris étouffés par la tempête. 3. Une naissance prédestinée au malheur : Registre épique et tragique : une tempête envoyée par Dieu (« Le

contre moi, moi-même je m’irriteQuand je songe aux dangers où je te précipite.Quoique pour me servir tu n’appréhendes rien,Te demander du sang, c’est exposer le tien :D’une si haute place on n’abat point de têtesSans attirer sur soi mille et mille tempêtes (...)La première partie de notre développement va étudier comment Émilie incarne une héroïne tragique. Nous allons dans un premier temps mettre en lumière qu’elle est bloquée dans le souvenir de son père. Nous pouvons nous en apercevoir en observant