Les Champs Lexicaux De La Peau

La peau de chagrin « portrait de Raphael » I)- Le mystère du personnage A) La présentation du personnage Au moment où le jeune homme apparaît le lecteur ne sait rien de lui ainsi que les personnages, sa présence est un mystère (l2 novice) que les autres personnages vont chercher à élucider (l14 peut être). Raphael est au centre des regards des autres joueurs. Il y a une gradation (l27 saluèrent) (l39 frissonnèrent). B) La recherche des signes Ses observateurs ne s’en tiennent pas à ce qu’ils

métaphorique du rhinocéros, qui donne lieu à une irruption du fantastique à travers l'évocation des transformations en rhinocéros («corne» qui «pousse», «(mains) rugueuses», «peau flasque»/«dure», «couleur d'un vert sombre»...). On peut souligner la présence du champ lexical du corps humain : front, les paumes, les mains, les oreilles, la peau, sa poitrine, ce corps trop blanc » qui défavorise Béranger et qui contraste avec les caractéristiques physiques des rhinocéros. La théâtralité de la scène repose

Analyse du style de l’auteur La cause de l’unicité de roman est sans aucun doute le style de son auteur. En effet, le champ lexical, les métaphores, le pouvoir des mots utilisés, tout ces petits détails faisant de ce roman un chef-d’œuvre. Sans plus s’éterniser, voici une analyse plus en détail de ce style singulier. Pour débuter, nous pouvons écrire plusieurs choses à propos du statut et du point de vue de narration. Tout d’abord, le narrateur est omniscient pendant la majorité du roman. Pour

; « dispersaient » (l.30) ; « aspirent » (l.35) ; . Champ Lexical du combat : « Guerres » (l.1) ; « épées » (l.2) ; fusils » (l.14) ; « assaut » (l.20) ; « combats » (l.23) … ; . Symboles: La Marseillaise « (lº40) ; « La grande République » (lº24). Le registre épique sert ici à provoquer l’admiration et l’enthousiasme au lecteur, en louant les exploits des soldats de l’an deux. Ce poème est lyrique : Nous avons, dans ce texte, le champ lexical des émotions : « âme » (l.11) ; « épouvante » (l.11)

savais tout ce que je vois !.. » (2d paragraphe) L'écriture utilise toute la palette de la répétition : > anaphore de « laisse-moi » repris 2 fois > anaphore du groupe nominal « Dans […] de ta chevelure », avec une simple variation lexicale : «  Dans l'océan... Dans les caresses... Dans l'ardent foyer... dans la nuit... sur les rivages » > Très nombreuses répétitions souvent liées à l'utilisation d'un rythme binaire et de parallélismes : « longtemps, longtemps ; où l'espace est

et inquiétante, Gautier arbore une description physique angoissante dans le texte 1 grâce au champ lexical de l'affreux : l'adjectif «sinistre» dans «Ses cheveux sont d'un noir sinistre» ainsi que le nom commun «Diable» dans «Sa peau, le diable la tanna». Contrairement aux textes 2 et 3 qui eux annoncent des portraits élogieux et amoureux grâce à une description flatteuse qui se traduit par un champ lexical des yeux et de Dieu «Vrai Dieu ! Lorsque son œil pétille» et «Colombe aux regards de faucon»

sa musicalité. Cette musicalité est aussi reprise par un rythme ternaire à plusieurs reprises dans ce texte. Dans le troisième paragraphe, le verbe « est parfumée » est suivi de trois compléments d’agents « par les fruits, par les feuilles et par la peau humaine » (lignes 9-10). Il en est de même au paragraphe suivant avec les trois compléments « de chants » , « d’hommes » et « de navires » (lignes 11-12) ou encore dans l’avant dernier paragraphe avec les différentes odeurs ressenties dans la chevelure

Premièrement, on peut dire que cet extrait est un portrait en mouvement pour les raisons suivantes. Tout d’abord, il s’agit d’une description physique avec des éléments peu précis et épars. En effet, nous pouvons relever la présence du champ lexicale du visage, comme nous le voyons ligne 4 « sa tête », ligne 5 « sa figure » et ligne 6 « ses yeux ». Le portrait monte vers le visage puis vers les yeux qui « sont pleins de feu et distraits », grâce à la métaphore nous pouvons faire le rapprochement

Fontaine : « L’âne vêtu de la peau du lion » (V, 21), qui commence par ces quatre premiers vers : « De la peau du lion l'âne s'étant vêtu Était craint partout à la ronde; Et bien qu'animal sans vertu, Il faisait trembler tout le monde. » Au personnage de l’âne, il substitue le singe, animal également familier de la Fontaine ( il apparaît à 7 reprises dans un titre de fable, notamment en compagnie d’un léopard qui vante sa propre peau IX, 3), tandis qu’il remplace la peau du lion par celle du tigre

du poème. Comparaison entre le corps et l'étoffe : «De ton corps si beau, comme une étoffe vacillante...», d'où «étoffe» représente un tissu précieux et «vacillante» signifie souple, brillant comme la peau du serpent puis le vers 4: «Miroiter la peau !» qui nous indique vraiment la clarté de sa peau. Antithèse avec les parfums: «Sur ta chevelure profonde aux âcres parfums», où «âcres» ramènent à la transpiration donc à la sensualité. A la strophe 5, «marcher en cadence» montre aussi la sensualité