Les Champs Lexicaux De La Peau

paysage du mois de mai et celle d’octobre. 3) Lignes 31-59 : description du paysage actuel d’automne. 4) Lignes 56-59 : promenade de Jeanne sur le chemin de petite mère. Dans la première partie du passage, Maupassant se met dans la peau de Jeanne qui a un moment de lucidité, un désenchantement face à la réalité. Cette partie a une vitesse de narration très rapide, car c’est le résumé du début du livre et qu’il s’est passé beaucoup d’événements dans la vie de Jeanne en peu de temps

utilise l'argumentation indirect car a la fin de son récit il y a deux "moralités" , " autres moralités ". Perrault utilise l'apologue à travers le champ lexical de la moral " moral " , moralité ".... Puis é elles renfermaient [...] tout ensemble " qui constitue une définition complète de l'apologue grace aux personnages fictifs et ses contes comme " Peau d'Ane " ......Alors que la Fontaine , lui utilise ainsi l'apologue mais diffèrament à travers des animaux humanisé donc des personnifications , allégories

comme un refrain. Au début des strophes deux et trois, le refrain est quelque peu modifié : « Femme nue, femme obscure » (vers 6 et 11). Le terme «obscure» peut être mis en relation avec le terme « noire » des vers 1 et 16 qui évoque la couleur de la peau mais aussi les ténèbres, donc l’obscurité. La distribution de ces refrains se fait d’une manière précise et régulière. Les sonorités dominantes ([n] et [f]) dans ces refrains permettent également de créer un certain équilibre. L’allitération en [f

mise en scène des animaux. Le singe représente la malice, le tigre la traîtrise et les bêtes le peuple. On observe bel et bien une absence du narrateur dans le récit. Ces sont les autres personnages qui sont, seuls, mis en scène. De plus les champs lexicaux de l’animalité et de l’humanité sont mêlés : « se vêtit », « roi », « brigands » en opposition « rugissements », « antre », « bêtes ». Enfin, le poète a pour mission de réveiller les consciences de dénoncer ce qui doit l’être mais il reste discret

textes, portant sur le thème commun du travail des champs, qui n’ont pourtant pas la même visée. Le premier est un poème écrit en 1865 par Victor Hugo, intitulé Saison des semailles (Le soir) issu du recueil Les Chansons des rues et des bois. Le second est un extrait réaliste du livre En rade de Joris-Karl Huysmans, qu’il a rédigé en 1887. Il s’agit de montrer que les deux textes présentent deux visions opposées de la campagne et du travail des champs. Pour cela, nous aborderons deux points : tout

un portrait élogieux, tous les autres sont croqués de façon très ironique. Les deux derniers personnages ont droit à des paragraphes plus longs. Toujours indications sur le physique et portrait moraux, liens entre les deux ? 3. Champs lexicaux intéressants : - celui de l’argent, du bien matériel : « ruiné, dans les affaires, acheté le fonds, fait fortune, vendait très bon marché, impayable, arithmétique, posé dans les cotons, propriétaires de trois filatures, se faire payer plus cher

quotidien tout en restant dans la convention du conte. Dès le début on a l’impression que l’apparence physique représente pour le narrateur quelque chose de très important dont la preuve est l’insistance mise sur le sens de la vue dont le champ lexical constitue un véritable réseau (« regarder », « yeux rond », « voir », « les yeux », « des yeux », « en te regardant », « dévisager », « apercevoir », « voir », « miroir », « montrer », « la vue de mes yeux ») ainsi que le mot « belle » qui est

comparative « il avait l'air de », le narrateur admet qu'il a pu se tromper et que le chaleur a pu le conduire a halluciner. Le soleil joue avec l'esprit de Meursault et lui montre une illusion. Cet aspect est renforcé par l'utilisation récurrente du champ lexical du soleil « la brulure du soleil, des gouttes de sueur, je ne me débarrasserai pas du soleil, la lumière, la sueur ».par la comparaison du soleil présent a celui qui sévissait lors de l'enterrement de sa mère, nous comprenons que le narrateur retranscrit

du travail dans les groupes. Relever les champs lexicaux en fonction des thèmes. Repérer le champ dominant. Construire une grille en définissant les critères d’écriture du texte poétique. Organiser un recueil à partir des productions des élèves. Lecture expressive. Synthèse et mise en commun Ecrire un poème sur un des thèmes étudiés en utilisant cinq titres, intégrer deux champs lexicaux qui s’opposent, utiliser deux images au choix

partie est marquée par une autre figure de style, qui est elle aussi l’une des bases du romantisme : la métaphore. Il fait la comparaison des deux personnages sombres, mais nous fait vite comprendre que le mauvais entre les deux, c’est Iago. Le champ lexical de l’infirmité est aussi utilisé pour montrer la supériorité du traître par rapport au noir. L’auteur romantique nous inspire ainsi une certaine pitié envers Othello qui n’est en fait qu’un pauvre homme manipulé par un psychopathe. Dans cet