Les Champs Lexicaux De La Peau

Gervaise. Le mot « rage » est présent → assimilés à des ogres. La carcasse est assimilée aux comères « gratter les os » c'est dire du mal et leur agressivité est le côté négatif de ses personnages → animalité dans leurs prénoms avec Lerat, Putois.. La peau rissolée pour Virginie qui représente la sensualité. Le croupion pour Clémence qui représente l'érotisme et la vulgarité. Le père Bru n'est pas un gourmet, peut importe le morceau qu'il mange → allitération en b qui souligne l'idée de bêtise.

Commentaire organisé Maupassant, incipit du Horla Cet extrait de l’incipit du Horla se situe au tout début du Horla de Maupassant (l’incipit vient d’une formule latine « l’incipit liber » qui signifie : le livre commence) Il existe deux versions de cette nouvelle, la première datant de 1885 et la seconde de 1887. C’est une nouvelle fantastique de Guy De Maupassant, présentée sous la forme d’un journal intime : les dates ici 8 mai et 12 mai ancrent le récit dans le réel et la première

Puis un désir le prit de la revoir, et il passa plusieurs fois devant la Martinière 1 . Il l’aperçut enfin étendant son linge sur une corde, entre deux pommiers. Il faisait chaud ; elle n’avait gardé qu’une courte jupe, et sa seule chemise sur sa peau dessinait bien ses seins cambrés 2 quand elle levait les bras pour accrocher ses serviettes. Il resta blotti contre le fossé pendant plus qu’une heure, même après qu’elle fut partie. Il s’en revint 3 plus hanté 4 encore qu’auparavant. Pendant

sauve des vies à chaque combat qu’il mène, la femme et ses enfants au bord d’une route et le soldat dernier son tank au front. La force de cet homme est incroyable, quand il conduit les tanks de l’armée, on le décrit avec un physique de titan, un champ lexical de la force est présent tout au long de la nouvelle. Encore une fois cet homme est surhumain. Bigornia est un homme au mille et une qualité, mais sa première qualité est celle de se battre non pour son idéologie mais pour nourrir sa famille et

exotisme avec comme élément déclencheur la chevelure d'une femme , évoquant les odeurs et la sensualité. Ce poème qui ressemble étrangement à "la Chevelure", poème écrit en vers. Comme dit précédemment les mêmes thèmes sont arbordés et les même champs lexicaux employé : celui de la mer et du voyage, tout deux étroitement liés, ainsi que celui de l'odorat et du toucher. Laisse-moi respirer longtemps, longtemps, l'odeur de tes cheveux, y plonger tout mon visage, comme un homme altéré dans l'eau d'une

69et 70) Explication : Le champ lexicale défini très bien que ses acticles sont vieux et que le tissu n’est pas entretenu, ce qui nous amène à voir que cette endroit est abandonné et mal propre. Troisième paragraphe : Idée principale : La famille qui habitent dans cette boutique sont moisissent. Idée secondaire : La jeune femme qui est décrit est effrayante. Preuve :(l. 76à79¨) Explication : L’accumulation de terme dépérissant comme la blancheur de sa peau, un œil troué, écrasé sous

II/La révolte  De la femme Champ lexical de la colère (froide/amère) : « couple bouffon », « hurle », « nourriture corvée » provoquer par l’injustice de cette situation qui la rend ironique. Ressentie de la narratrice.  Vocabulaire familier (ironie) « emmerdeuse »,« bouffe », « pommé », « incapable », « flémarde ».  Discours indirect libre Ce qui produit un effet de connaître le personnage, on se met tout de suite dans sa peau.  Mots acides Conclusion : Récit autobiographique

couleurs OG dramatise la situation des esclaves ainsi que le refus de l’abolition de l’esclavage -anaphore de «c’est là où» => sert à renforcer son propos, d’insister sur le lieu/endroit où a eu lieu le décret et ses conséquences -OG utilise le champ lexical des lumières « nature » « raison » « humanité » quel met en opposition avec « division » « discorde » « honneur » =antithèse →mise en scène des deux camps qui s’affronte -personnification : « c’est là où la nature frémit d’horreur» -registre pathétique

le jeune homme est « pâle ». Il a probablement été tué à la guerre. Cette triste réalité contraste avec la description de la Nature. « C'est un trou de verdure ou chante une rivière, accrochant follement aux herbes des haillons d'argent », le champ lexical de la lumière est important : « soleil » « luit », « rayons », « argent », « lumière ». Dans ce cadre idyllique, la mort du jeune homme apparaît comme un non-sens, le lecteur se surprend à souhaiter qu'il ne soit qu'endormi. Le tableau de

belle nature que j'ai tant aimée que je dirai adieu à la vie et à vous tous, ma bien chère femme et mes bien chers amis. Je pardonne à tous ceux qui m'ont fait du mal ou qui ont voulu me faire du mal sauf à celui qui nous a trahis pour racheter sa peau et ceux qui nous ont vendus. Je t'embrasse bien fort ainsi que ta soeur et tous les amis qui me connaissent de loin ou de près, je vous serre tous sur mon coeur. Adieu. Ton ami, ton camarade, ton mari. Manouchian Michel ps : J'ai quinze mille francs