Les Champs Lexicaux De La Peau

 Cette partie est marquée par une autre figure de style, qui est elle aussi l’une des bases du romantisme : la métaphore.  Il fait la comparaison des deux personnages sombres, mais nous fait vite comprendre que le mauvais entre les deux, c’est Iago. Le champ lexical de l’infirmité   est   aussi   utilisé   pour   montrer   la   supériorité   du   traître   par rapport au noir. L’auteur romantique nous inspire ainsi une certaine pitié envers   Othello   qui   n’est   en   fait   qu’un   pauvre   homme   manipulé

Etudier l’ancrage réaliste - Comprendre le rôle de l’implicite Questions sur « Quand Angèle fut seule » de Pascal Mérigeau 1) Relevez les indices spatio-temporels présents dans le texte. 2) Relevez le champ lexical de la vie rurale (campagne) → Quel est l’effet recherché par l’auteur ? 3) Après avoir lu la chute, à quel sous-genre littéraire pourrait-on rattacher ce texte ? 4) Observez le premier paragraphe : - selon quel point de vue est-il

est toute l’ironie. L’espèce humaine 1 ) Antelme utilise des adjectifs principalement au début du texte pour dessiner le portrait de l’évangéliste allemand, principal protagoniste de l’histoire. Ces adjectifs relèvement majoritairement du champ lexical de la faiblesse et amènent ainsi le lecteur à la conclusion que, seuls les plus forts pourront survivre à l’enfer de ces camps, au dépit des plus faibles. Dans le deuxième paragraphe, Antelme abandonne la description pour passer à l’action. Tout

principal très caractérisé : « quarante-cinq ans », « les enfants » parties du corps suivies d’adjectifs qualificatifs : « peau tendue et comme raidie en plis minces », ou de verbes d’action « cheveux qui se clairsement et grisonnent » → identification difficile du lecteur b) malaise du personnage et du lecteur : mouvements pénibles très finement décrits → champ lexical du corps : « vous sentez vos muscles et vos tendons se dessiner (...) jusqu’aux reins » → effets de réel (du aux détails très

Zola insiste sur le cruel « manque d’argent » de son héroïne. Pour souligner les conséquences de la misère de Denise, l’auteur emploie une comparaison qui rapproche les chaussures de la jeune vendeuse d’un instrument de torture. Il développe le champ lexical de la souffrance à travers les verbes « crier », « souffrir » et les adjectifs « courbaturée », « meurtries, enflés ». De même, le pluriel « les terribles fatigues du rayon » rend plus sensible la difficulté du métier. La plupart des personnages

et Zola insiste sur le cruel«manque d’argent»de son héroïne.Pour souligner les conséquences de la misère de Denise, l’auteur emploie une comparaison qui rapproche les chaussures de la jeune vendeuse d’un instrument de torture. Il développe le champ lexical de la souffrance à travers les verbes«crier»,«souffrir»et les adjectifs«courbaturée»,«meurtries,enflés ». De même, le pluriel «les terribles fatigues du rayon »rend plus sensible la difficulté du métier.La plupart des personnages sont par ailleurs

n'est plus seulement un élément, mais une masse mouvante et insidieuse dont le but est de piéger Ulysse ("comme il songeait ainsi dans son âme et dans ses entrailles, une lame vint l'entraîner vers les rochers" l.1) On trouve le champ lexical de la blessure, avec "écorché la peau, brisé les os" (l.3) ou "Ulysse avait laissé attachés au rocher des lambeaux de ses mains hardies" (l.12) La grande violence de cette tempête et le fait qu'Ulysse y survive font naître chez le lecteur une réaction admirative

2 » dans le premier texte et « la rondeur fleurie de ses seins l.18, jeune femme l.10, sa peau satinée de brune l.13 » dans le deuxième. Ainsi que des figures de styles telles que la comparaison « elle se respirait un instant comme un frais bouquet  l.19-20 » et l’antithèse « tout ce qui vivait, tout ce qui souffrait  l.4-5 » dans La Joie de Vivre. Ces deux portraits mélioratifs nous dévoilent un champ lexical des sentiments « bonheur  l.2, heureuse l.3, gaietés l.3 » pour la première description et

découvre le café-concert, l’alcool qui y est omniprésent et les femmes nues a)Gervaise s’essaie à l’alcool et à la pipe, elle a la tête qui tourne b)Gervaise un peu choquée observe Amanda, une femme nue qui fait son spectacle, et finit par admirer sa peau Partie II : Coupeau totalement alcoolisé et endormi, la chambre détruite a)Gervaise découvre avec horreur son mari Coupeau ivre mort et c’est avec un poids au cœur qu’elle va se coucher avec lui dans la chambre totalement détruite b)Lantier profite

cette addition. » « Il verra dans la conduite de M. des Grieux un exemple terrible de la force des passions. » « J’ai à peindre un jeune aveugle qui refuse d’être heureux pour se précipiter volontairement dans les dernières infortunes ; » : champ lexical de l’ambigüité : « ambigu, mélange, contraste » augmenté par l’hyperbole « perpétuel », et explicité par l’antithèse « vertus/vices » et le chiasme « bons sentiments/actions mauvaises » formé de l’antithèse « bons/mauvaises » qui oppose donc ici