Les Classiques des sciences sociales

INTRODUCTION : D’une manière générale, la sociologie peut se définir comme une science humaine qui a pour objet d’étude les phénomènes sociaux. La sociologie comme ensemble de connaissances systématisées est une science récente. Ayant donc pour objet d’étude les phénomènes sociaux, elle se caractérise par une multitude d’approches ou de visions sociales qui font d’elle une science, d’où la qualification de <<unitas multiplex>> c'est-à-dire une unité dans la multiplicité. En claire les

Caractéristiques de ce mouvement littéraire Les auteurs qui incarnent le mieux cette période classique sont principalement Corneille, Racine et Molière. Le courant classique est appelé tel quel car son idéal est l’imitation des Anciens. On cherche a enrichir le vocabulaire par conséquent a la fin du XVIIé siècle, en 1696 c’est la publication du premier dictionnaire de la langue française. De plus, les écrivains classiques cherchent a imposer des règles, des contraintes, de la vraisemblance et a peindre

[pic] Encadré par: Préparé par : [pic] Introduction • Contexte historique de l’école classique • Principes fondamentaux de l’école • Les trois principaux auteurs de l’école ← FREDERICK WINSLOW TAYLOR (1856-1915) ← Sa vie ← Ses Apports ← Le contexte ← Les limites ← ← HENRI FAYOL( 1841- 1926) ← Sa vie ← Ses Apports ← Le contexte ← Les limites ← MAX WEBER(1864-1920)

déception ) ( 1837 : se retire de la vie sociale = exil intérieur Mort sociale = forme de suicide = comme Chatterton suicide physique. * passage = acte I sur III (/ théâtre classique = 5 actes) Acte I = acte d’exposition < Chatterton = ++ complexe, besoin de tout un acte pour le découvrir. I La remise en cause du héro classique II Le héro romantique III Le mélange des registres I La remise en cause du héro classique A. Le refus de l’action Héro classique : accomplit grandes action pour sa

College, après avoir été fonctionnaire au bureau des affaires indiennes entre1906 et 1908; Cette thèse sera publiée en 1921 sous le titre « A Treatise on probability ». Il y critique l’utilitarisme benthamien et l’utilisation des mathématiques dans les sciences morales. Membre du Trésor britannique, il en démissionne car désapprouve les closes imposées à l’Allemagne dans le traité de Versailles et publie en 1919 «les conséquences économiques de la paix » où il dénonce la croyance de l’ajustement automatique

------------------------------------------------- COURS D'ECONOMIE POLITIQUE Introduction L’économie désigne à la fois une pratique et une science, situation paradoxale. C’est d’abord une science puisqu'elle a une autonomie complète voire quasi-complète, elle se rapproche des sciences par l'aspect positif et normatif de sa discipline. Elle est davantage une science qu'une politique. C’est ensuite une pratique dans le sens où l'économie occupe une place dominante et pourtant très controversée, contestée

structure cognitive. Partie II: Définition de l’apprentissage organisationnel : Définition de l’apprentissage organisationnel. Depuis une trentaine d’années le foisonnement des recherches et l’abondance de la littérature témoignent du regain des sciences de gestion et de la théorie des ressources pour le concept d’apprentissage organisationnel. Source d’avantage concurrentiel, il revêt désormais un caractère stratégique. selon Nancy Dixon dans son ouvrage « The Organizational Learning Cycle »

philosophie politique. Ce terme regroupe ce que les auteurs antiques appelaient « la science de l’économie du ménage », ce que les fondateurs de l’analyse économique appelleront « économie » tout au long du 19ème siècle. Même si la notion d’économie politique a un sens précis pour les économistes professionnels, dans notre cours, le terme d’économie politique sera synonyme de ceux d’analyse économique et science économique. Nous allons définir ce qu’est l’objet de l’analyse économique, puis ce qu’est

L'ÉLECTORAT DE NICOLAS SARKOZY : « RUPTURE TRANQUILLE » OU SYNCRÉTISME TOURMENTÉ ? Sylvie Strudel Presses de Sciences Po | Revue française de science politique 2007/3 - Vol. 57 pages 459 à 474 ISSN 0035-2950 -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------http://www.cairn.info/revue-francaise-de-science-politique-2007-3-page-459.htm --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Science et idéologie Article détaillé : Technocratie. Scientisme ou « religion » de la science Article détaillé : scientisme. La valeur universelle de la science fait débat depuis le début du XXe siècle, tous les systèmes de connaissances n'étant pas forcément assujettis à la science113. La croyance en une universalité de la science constitue le scientisme. Le scientisme est une idéologie apparue au XVIIIe siècle, selon laquelle la connaissance scientifique permettrait d'échapper à l'ignorance