Les Conflits Entre Actionnaires Et Dirigeant

première. Les parties prenantes de l’organisation sont : (2 points) - les actionnaires (association des petits porteurs) - les salariés - une association de consommateurs - la direction - les clients Les actionnaires, les salariés et l’association de consommateurs peuvent constituer des contre-pouvoirs managériaux. Ils ont, en effet, des intérêts qui sont différents et génèrent des conflits : - les actionnaires recherchent la rentabilité maximale de leurs actions par le versement des dividendes

lutte de pouvoir entre actionnaires et managers. 3 - l’analyser « behavioriste » (comportementaliste) proposée par Cyert et March (1963) conduit vers deux observations : a) l’entreprise est une forme organisationnelle « complexe, constituée de groupes aux intérêts divers, dans des rapports simultanés de conflits et de coopération » ; b) la firme est le lieu d’apprentissages collectifs. => l’entreprise comme lieu et système de socialisation par les rapports de conflit-coopération et par

II) : Mise en perspective théoriques : les causes de ce conflit II.1) Au niveau de Hermès : un terrain favorable Hermès International est une société en commandite par action (SCA). Il existe aujourd’hui très peu de société avec cette forme en France, on les retrouve essentiellement dans des grands groupes familiaux comme Lagardère, Michelin et Hermès notamment. Cependant, les spécialistes du droit des sociétés s’accordent à dire que c’est une arme anti-OPA redoutable. Le statut de SCA implique

de spécialisation des tâches 2) Le mode de coordination 3) Le degré de formalisation 4) la répartition du pouvoir de décision B.Quel objectif ?! 1) Objectif lucratif ou non lucratif 2) La production marchande et non marchande 3) Satisfaire les actionnaires ou d’autres parties prenantes C.La diversité des représentations! 1) Le modèle de MORGAN 2) Intitulé exacte des 8 modèles selon MORGAN 7 7 7 7 8 8 8 8 8 8 9 9 9 9 10 10 11 11 11 12 12 13 14 14 III.CLASSIFICATION! Vidéo : Michael PORTER

EADS, Vinci, Apple, Microsoft, Gap, Pixar, Activision… Le point commun entre ces entreprises aux activités différentes et sans aucuns liens apparents ? Toutes figurent dans la longue liste des entreprises qui se sont illustrées par leur abus des stock-options. Les excès des stock-options ont été mis en évidence et critiqués partout, notamment aux Etats-Unis, où l'on a assisté à des affaires de manipulation de cours de Bourse et de comptabilité pour maximiser les gains possibles. Ces dérives et scandales

sont citées dans ce texte : * L’Etat va se désengager au sein de GDF en 2004 car elle est passée du statut d’entreprise publique en société anonyme. En se privatisant, l’Etat, qui était le principal actionnaire, ne peut plus être garant de cette entreprise car l’entreprise se met au profit des actionnaires du marché énergétique. * Le groupe franco-belge SUEZ, en 2008, fusionne avec GDF dans l’optique d’avoir le monopole sur le marché dans les domaines énergiques et environnementaux puis dans la distribution

Les jeux de pouvoir, les rapports de force, les luttes d’influence sont fréquents dans les entreprises et contribuent à orienter les décisions des dirigeants. Il est donc nécessaire d’identifier les parties prenantes à l’intérieur et à l’extérieur de l’entreprise et de comprendre les mécanismes qui contrôlent et régulent le comportement des dirigeants. Qu’est-ce que les PARTIES PRENANTES DE L’ENTREPRISE ? Définition : Sont

banques 5 dans des pays (membres ou non du Comité de Bâle) dotés de systèmes juridiques et réglementaires très différents. D’autres questions fondamentales en rapport avec la gouvernance de sociétés cotées en bourse, tels les droits effectifs des actionnaires, sont traitées dans le document de l’OCDE. Les principes exposés ici constituent les fondements essentiels d’une bonne gouvernance applicables à la grande diversité de systèmes nationaux et de structures juridiques bancaires. Le Comité est conscient

Sommaire I. LA VALEUR ACTIONNARIALE, UNE AUTRE APPROCHE DU LIEN ENTRE STRATEGIE ET FINANCE 1 Un modèle stratégique fondé sur la rationalité économique 2 Des méthodes d'évaluation inspirées par la théorie financière néo-classique 3 Une approche sous-tendue par l'hypothèse d'optimalité du système concurrentiel II. DEUX APPROCHES DE LA "CREATION DE RICHESSE" 1) La méthode EVA : la notion de profit "économique" 2) La méthode

Thème 6 : La direction de l’organisation : Sous thème 6.2 3 : La diversité des dirigeants et des styles de directionLes limites du pouvoir managérial [pic] Sens et portée de l’étude : Le pouvoir des dirigeants est contrôlé, contesté et partagé. L’étude des contre-pouvoirs permet d’appréhender le fonctionnement de l’organisation à travers les relations partenariales ou conflictuelles qui se nouent entre ses membres ou avec l’environnement. Le dossier se décompose en en 2 parties :