Les Decisions Absurdes

premier. Dans ce climat de peur, les hommes abandonnent leur droit naturel au profit de la sécurité accordée par un maître absolu. Le pouvoir de l’Etat est alors sans limites pour préserver la paix. Dans ce contexte, laisser le pouvoir au peuple est absurde car il ne peut s’autogouverner raisonnablement. Les passions doivent être alors bridées par le « Léviathan » pour un pouvoir efficace. Cette idée est reprise bien plus tard par Sigmund Freud dans Le Malaise de la civilisation (1929). Les pulsions

d’aimable ; et dès qu’un beau visage me le demande, si j’en avais dix mille, je les donnerais tous. » Il ne reste alors pour Dom Juan et les êtres de son espèce qu’une seule option : l’arbitraire. En agissant arbitrairement, en remettant toutes ses décisions au hasard, comme Lafcadio, le triste héros des Caves du Vatican d’André Gide, l’individu se prouve à tout instant qu’il est absolument libre, c’est-à-dire libre de toute attache, totalement indéterminé et indifférent, au sens où les actions qu’il

temps « alors » = narrateur sensible à restitu° ordre dialogue , narration factuellePhrase 4 :· « comme je l’avais fait » = change pas système pensée· Néga° « ne signifiait rien » = sentiments n’ont aucun sens, absurdes· Système hypothétique « sans doute » = donne réponse contraire celle attendue par MariePhrase 5 :· Discours direct = paroles + fortes que autres, blessée & perduePhrase 6 :· Sujet VB « et que si elle le désirait » = Marie tjr action, exprime

professeur puis le premier dictateur, le maître…) Arbitraire (qqch de non fondé : absurde) l.12 « il décide »/l.19 « il rendit un décret » : réactions négatives + conflits l.15 « ils allèrent se plaindre… » Dictateur : se rendit maître, il décida… c. La résolution et la situation finale : • La résolution est formelle : après la discorde, la paix (l.22 : on se battit la concorde) ; lorsque toute décision arbitraire est supprimée, retour à l’état initial) • Chute dans le dernier paragraphe

chercher à donner sens à la formule et comprendre qu’elle s’oppose (et donc suppose) une autre conception du sujet, plus simple, où le je s’apparaît comme responsable de ses actions et où il parle de lui à la première personne en assumant ses décisions. Quelles sont les manifestations du sujet qui donnent à penser qu’il est essentiellement autre que ce que l’on ( ou il ) pensait de lui ? Proposition d’Introduction Quand Rimbaud(1854-1891), dans une lettre à Paul Demeny du 15 mai 1871s’exclame

effrayé par une décision réfléchie. Mais dans la plupart des situations émotion et raison sont liés 2/ Raison La raison distingue l’homme de l’animal. Avec sa raison l’humain connaît juge et détermine sa conduite. Il a la faculté d’agir, de juger par raisonnement et non par simples évocations associatives ou par instinct. Notre cerveau a besoin de classer, de créer des catégories, de s’appuyer sur son histoire, sur son environnement , son éducation etc.. Prendre une décision c’est peser le

des choses. Nous ne pouvons pas penser par exemple que 1 et 1 font 3. Cela fait 2, et c’est ainsi, la science est exacte et nous ne pouvons faire autrement, même en le voulant. Ne nous pouvons remettre en cause cette science exacte et cela serrait absurde, de penser le contraire. Certaines choses sont logiques et ne peuvent être vues d’une différente manière, quelque soit l’ampleur de notre imagination. De plus, tout nous serait accessible, mais nous n’en avons pas (forcément) la possibilité. Nous

de la loi et son interprétation) Naturellement, au premier abord, la réaffirmation de cette évolution semble particulièrement bénéfique pour les étudiants et notamment concernant la précarité financière qui les touche chaque jour davantage. Cette décision aura évidemment des conséquences particulièrement néfastes sur l’offre de stages et, surtout, sur la durée de ceux-ci. Preuve qu’il est difficile de trouver un bon compromis pour les stages, cela reste la cinquième proposition de loi sur ce thème

c'est-à-dire que les philosophes seraient en continuelle quête du savoir et de la vertu. Le sage présenterait donc une parfaite harmonie entre ce qu'il a apprit, ses facultés mentales, et ce qu'il fait, les actes moraux et justes qu'il a pris lors de décisions raisonnées. Cette réflexion effectué proviendrait donc inéluctablement de la raison, plus précisément de la faculté de l'esprit qui nous permet de juger une chose en discernant le bien du mal, la vérité de l'erreur... Dans ce cas la philosophie est

musique qui le hantent. Il se sent complètement inutile et vidé de sa subsistance. Il ne communique qu’avec Atiq son ami d’enfance et encore avec la peur d’être entendu. Tout en regardant dans toutes les directions afin de s’assurer, il avoue une décision inexorable : « Je vais partir, un point c’est tout....sans dire merci ni adieu, je m’en irai. Je prendrai au hasard un chemin et je le suivrai jusqu’à l’océan. Et quand j’arriverai sur le bord de la mer, je me jetterai à l’eau ». (p. 68) Mais Atiq