Les Didascalies Expriment Le Conflit

¨ Une remarque que l’auteur ajoute pour donner des indications de jeu ¨ Une parole que seul le public entend ᕤ Comment nomme-t-on les indications, généralement en italiques, que le dramaturge donne au metteur en scène et aux comédiens ? ¨ Une didascalie ¨ Un aparté ¨ Une tirade ¨ Un quiproquo ᕥ Quelle différence faites-vous entre scène et acte dans une pièce de théâtre ? ¨ On change de décor à chaque changement de scène. ¨ On change de scène quand un personnage entre ou sort du lieu

des bourreaux (l. 34-36) => les énumérations apparaissent surtout dans la deuxième partie de la tirade : Harpagon, de plus en plus enragé, est en proie à la folie. 5. Rôle dramatique = accent mis sur le désarroi du personnage, notamment la seconde didascalie : Il se prend lui-même le bras (l. 8-9) qui insiste sur la folie d’Harpagon. L’absence de chapeau peut signifier qu’il est désespéré et qu’il ne possède plus rien, sans son argent, il est à nu ; et il s’oublie socialement (chapeau = signe de bonne

« Orgueil imbécile, morgue de vermisseau »), des interjections et jurons (« mille couleuvres », « mordieu »), ce qui traduit la tension entre les personnages et la colère grandissante du colonel. La romancière introduit également des sortes de didascalies* précisant le ton sur lequel sont prononcées les paroles et révélant ainsi l’état d’esprit des protagonistes : « d’un air impérieux et dur », « verdit de colère et de surprise », « d’une voix chevrotante », « en haussant les épaules » pour le

suivent disent assez bien sa répugnance à s’y engager et son dédain pour cet endroit qu’il désigne ainsi dans sa tête, au discours indirect libre. Le verbe « s’enfoncer » comme l’adjectif « Basse » qui compose le nom de cette rue, bien nommée, expriment l’idée d’une descente dans les bas-fonds que vient appuyer l’expression dégoûtée « la honte du boulevard de ce temps ! » ponctuée par un point d’exclamation. Mais l’hésitation ne dure « qu’une seconde... », matérialisée par les points de suspension

le suivent disent assez bien sa répugnance à s’y engager et son dédain pour cet endroit qu’il désigne ainsi dans sa tête, au discours indirect libre. Le verbe « s’enfoncer » comme l’adjectif « Basse » qui compose le nom de cette rue, bien nommée, expriment l’idée d’une descente dans les bas-fonds que vient appuyer l’expression dégoûtée « la honte du boulevard de ce temps ! » ponctuée par un point d’exclamation. Mais l’hésitation ne dure « qu’une seconde... », matérialisée par les points de suspension

le suivent disent assez bien sa répugnance à s’y engager et son dédain pour cet endroit qu’il désigne ainsi dans sa tête, au discours indirect libre. Le verbe « s’enfoncer » comme l’adjectif « Basse » qui compose le nom de cette rue, bien nommée, expriment l’idée d’une descente dans les bas-fonds que vient appuyer l’expression dégoûtée « la honte du boulevard de ce temps ! » ponctuée par un point d’exclamation. Mais l’hésitation ne dure « qu’une seconde... », matérialisée par les points de suspension

son amour, offensée dans son amour-propre, elle le repousse et décide de le chasser. Mais, quand la pauvre soubrette demande de le suivre, elle refuse de la laisser partir avec lui. La scène qui devrait en être une d’adieux pousse à l’extrême le conflit de ses sentiments contradictoires. La crise est résolue par la révélation de la noble naissance du secrétaire. On voit les éléments que Marivaux emprunta. Mais sont frappantes surtout les différences : chez Lope de Vega et chez Riccoboni, ce sont

au moins aussi importante que le langage. Le modèle du rêve, que l'Artaud des années 1920 a emprunté au mouvement surréaliste, exprime très exactement la hiérarchie qu'il désire, au cinéma comme au théâtre : des images non plus dominées, mais qui expriment librement la diversité des états de corps et de conscience, sans souci d'un lien logique factuel, puisque le cinéma a le pouvoir de ne pas se situer dans les faits, mais dans le rêve : « Si le cinéma n'est pas fait pour traduire les rêves ou tout

son amour, offensée dans son amour-propre, elle le repousse et décide de le chasser. Mais, quand la pauvre soubrette demande de le suivre, elle refuse de la laisser partir avec lui. La scène qui devrait en être une d’adieux pousse à l’extrême le conflit de ses sentiments contradictoires. La crise est résolue par la révélation de la noble naissance du secrétaire. On voit les éléments que Marivaux emprunta. Mais sont frappantes surtout les différences : chez Lope de Vega et chez Riccoboni, ce sont

son amour, offensée dans son amour-propre, elle le repousse et décide de le chasser. Mais, quand la pauvre soubrette demande de le suivre, elle refuse de la laisser partir avec lui. La scène qui devrait en être une d’adieux pousse à l’extrême le conflit de ses sentiments contradictoires. La crise est résolue par la révélation de la noble naissance du secrétaire. On voit les éléments que Marivaux emprunta. Mais sont frappantes surtout les différences : chez Lope de Vega et chez Riccoboni, ce sont