Les Déterminant Des Crédits Non Performants

Intermédiaire des échanges * Etalon * Réserve de valeur 1. Les agrégats monétaires : M1 = les moyens de règlements directement utilisable dans le règlement des transactions ; = M Fiduciaire + M scripturale M2 = M1 + avoirs à vu non utilisable par chèque = M1 + dépôt sur carnet auprès des banques + dépôt sur livret chez la caisse d’épargne nationale M3 = M2 + placements à échéance fixe, mais facilement monétisables et sans perte en capital = M2 + compte à terme

REALITES ET PERSPECTIVES AU NIVEAU DE LA CNEP-Banque Présenté par : Mlle CHAOUCHE Fatma Encadré par : Mme Kassioui Bahia Décembre 2003 Introduction L es métiers de la banque se développent et se diversifient ; allant de l’octroi de crédit et l’intermédiation financière aux services financiers spécialisés, à la gestion d’actifs ou à l’investment banking. Ainsi, la banque d’aujourd’hui –acteur majeur des économies contemporaines- est présente sur plusieurs marchés et différents secteurs

croissance économique. La France en l’espace d’un siècle a connue un taux de croissance cumulée de 1100% (1890-1990). 3) Hétérogénéité du phénomène de croissance : Hétérogénéité temporelle : -la chine jusqu’au 16e s a été la plus performante du notamment à l’importance de sa population. - Ensuite, certaines villes du Nord de l’Italie ont pris le leadership. (Florence, Venise, Tc). -Puis certaines villes des Pays-Bas (encéatique) -fin 18e 19e , pays leader : c’est la Grand

prêts. De plus, au Sénégal les premières banques crées étaient d'abord des banques dites de développement, BNDS, USB avec le fameux compte k, SONABANQUE avec le financement des maitrisards, etc.... Ces établissements étaient des pourvoyeurs de crédits ou plutôt de prébendes à une clientèle de privilégiés. Il existait d'autres établissements mais l'Etat y détenait également des participations et essayait d'orienter leurs interventions. La banque était donc perçue au Sénégal comme un établissement

place de politiques adéquates et de procédures. Maintenir une mesure de risque appropriée, atténuer et 2.4.2 contrôler le processus. Contrôles internes appropriés. 2.4.3 Processus de gestion des risques spécifiques 2.5 Gestion du risque de crédit 2.5.1 Gestion du risque du taux d’intérêt 2.5.2 Gestion du risque de liquidité 2.5.3 Gestion du risque opérationnel 2.5.4 Gestion du risque et techniques d’atténuation 2.6 L’analyse différentielle (GAP analysis) 2.6.1 L’analyse de duration-différentielle

intermédiaires financiers - Comprendre les mécanismes de la création monétaire - Expliquer les déterminants de la demande de monnaie - Comprendre comment sont déterminés les différents taux d’intérêts dans l’économie et leurs impacts sur l’économie réelle - Expliquer comment les banques centrales modifient le volume de la monnaie en circulation - Comprendre la teneur et la portée du débat théorique sur l’opportunité ou non de neutraliser les effets de la monnaie sur l’économie réelle - Identifier et analyser

organisationnelle et de veiller à ce que la direction générale surveille l’efficacité du système de contrôle interne. Le conseil d’administration est responsable en dernier ressort de l’existence et du respect d’un système de contrôle interne adéquat et performant. Systèmes de contrôle interne 3 Principe 2: La direction générale devrait être chargée de mettre en œuvre les stratégies et politiques approuvées par le conseil, d’élaborer des processus permettant d’identifier, de mesurer, de surveiller et

construit selon ses objectifs marketing qui détermineront sa stratégie marketing. La mise en œuvre de cette stratégie se matérialisera par l’accomplissement de plusieurs actions marketing, qui sont les outils marketing. Les outils marketing sont déterminants pour l’entreprise qui fait du marketing. Ils représentent un ensemble d’actions opérationnelles que l’entreprise se doit de réaliser dans la mise en œuvre de sa stratégie marketing. Le choix des outils marketing se fait selon la stratégie de l’entreprise

crée le premier système de gestion de fonds intégré. • 1991 : Crédit Communal de Belgique devient l'actionnaire majoritaire de la BIL. • 1994 : La création de First European Transfer Agent permet à la Banque Internationale à Luxembourg de lancer le premier véritable service d'agent de transfert pour compte de tiers, clairement spécialisé dans des activités de détail. • 1996 : Le Crédit Communal de Belgique et le Crédit Local de France fusionnent pour former le groupe Dexia.

chiffre, le degré de défaillance possible d’un débiteur. Il permet d’aider à la notation des créances, par une approche quantitative du risque de défaillance. La notation est entendue comme « une opinion indépendante et publique sur la qualité de crédit d’une entité » (J-F. de Polignac, 2002, p.19). Celle-ci n’est pas exclusivement liée à la santé 1 Centre de Recherche en Ingénierie Financière et Finances Publiques (CRIFP), dirigé par le Professeur Jacques SPINDLER. 1 financière, puisqu’une