Les Fables Sont Elle Divertissantes

adultes comme les enfants ont besoin de s'amuser, de se divertir. Par exemple dans Le Pouvoir des Fables de La Fontaine, l'Orateur Grec essaie de prévenir son peuple face à un danger mais le peuple ne l'écoute pas. Le discours direct n'intéresse pas la foule. Mais quand l'Orateur passe au discours indirect par le biais de la fable de Cérès, tout le public s'est éveillé. Il préfère les histoires divertissantes, amusantes, les petites {text:soft-page-break} anecdotes passage direct à la réalité. Comme quoi

d’autres fonctions tout aussi importantes. « L’affaire du théâtre est de divertir les gens » : selon Brecht, le théâtre remplirait une fonction bien particulière : mais que peut-on entendre par « divertissement » ? Le théâtre est une fête divertissante, un spectacle qui se déroule dans une salle décorée avec faste et traditionnellement ornée de fauteuils en velours rouge. Le spectateur lui-même s’habille pour sortir, les acteurs eux-mêmes déguisés avec soin viennent dérouler un spectacle vivant

Texte A : La Fontaine, « À Monseigneur le Dauphin », Préface aux Fables, 1668. MONSEIGNEUR, S'il y a quelque chose d'ingénieux dans la république des lettres, on peut dire que c'est la manière dont Ésope1 a débité sa morale. Il serait véritablement à souhaiter que d'autres mains que les miennes y eussent ajouté les ornements de la poésie, puisque le plus sage des anciens a jugé qu'ils n'y étaient pas inutiles. J'ose, MONSEIGNEUR, vous en présenter quelques essais. C'est un entretien convenable

cerveau en or qu’il disperse naïvement. Nous allons dégager la morale de ce texte et identifier le genre littéraire auquel il appartient. Nous constatons à la fin du récit que la morale est explicite. Comme le fait souvent Jean de La Fontaine dans ses Fables, Daudet détache un bref paragraphe du corps du récit et y expose assez clairement la « leçon » à tirer : « Il y a par le monde de pauvres gens qui sont condamnés à vivre de leur cerveau et paient en bel or fin […] C’est pour eux une douleur de chaque

Fable (éloge d’un trait de caractère moral universel = amitié) I- ENJEU DIVERTISSANT a- cadre spatio-temporel fictif et imprécis . Lieu : "Monomotapa" (v.1), "ce pays-là" (v.3), "ce palais" (v.9), "une nuit" (v.5) . Autre indication par l’intermédiaire plutôt des pers. secondaires : Historiques antiquité "esclave" (v.17), Moyen Age "valets" (v.8) "épée" (v.16) le cadre spatio-temporel de toutes les fables = imprécis éloignés. Cela donne une dimension intemporelle et universelle

la Huchette en 1950 il est persuadé d’avoir écrit une tragédie qu’il veut glaçante, sociologique et didactique. Or le public parisien, loin d’y voir une dénonciation des impasses communicationnelles et encore moins un apologue, y voit un farce divertissante. Qui aurait pu prévoir le quiproquo entre l’auteur et le public avec une pièce si proche de son public ? – Un langage moderne et accessible, des personnages si communs et universels jusqu’au cliché (des français nommés Martin et des anglais nommés

qu'en analysant le texte, permet à un grand nombre d’œuvres d'éviter la censure. C'est le cas des Fables à travers lesquelles Jean de La Fontaine, critique la société. Ces textes permettent alors une méditation au lecteur sur la politique qui l'entoure sans pour autant être d'une grande clarté au premier abord. C'est pour cette raison que Jean de La Fontaine eut l'autorisation de voir publier ses fables. Elles étaient d'un grand divertissement même pour ceux qui étaient critiqués. Toutefois, le discours

paroles pouvaient conduire en prison. Dans le théâtre antique grec, cette forme de dénonciation, de discours polémique basé sur le comique existait déjà: Aristophane, ainsi que les conteurs grecs comme Esope. plus récemment aussi, par exemple les fables de La Fontaine. Je pense aussi à Voltaire qui critiquait l'oeuvre de Rousseau sur les fondements de l'inégalité... Critique basée sur l'ironie. La dénonciation par l'humour permet donc une argumentation rigoureuse. x. Le rire est largement médiatisé

Entretien Fables : Le pouvoir des fables : plaisir du conte et moralité I. XVIIème siècle - Divertissement privilégié : * Les salons : lieux de rencontre sociaux -> on montre notre culture, notre raffinement => valeurs du XVIIème siècle * Valorisation de l’Ironie dans ce siècle * faste : richesse * merveilleux s’apparente au faste - Type humain : honnête homme dont les vertus sont : * cultivé dans tous les domaines * généraliste -> passion de tout * sociable -> goût de la société,

TEXTE 2 : LA FONTAINE Fables, « Les Animaux malades de la peste » 14.10.12 Introduction : 1) L’auteur : * Poète français du classicisme XVIIème siècle (1621-1695) sous la période de Louis XIV (1638-1715) * Dans la querelle des anciens et des modernes il est pour les anciens. Les modernes veulent revivifier le folklore français (inventer une nouvelle littérature française) et les anciens veulent s’inspirer des auteurs de l’Antiquité. 2) L’œuvre : * Il s’en tient au principe