Les Faiblesses Du Taylorisme

d’unité collective d’action et de cognition, dynamisée par la coopération, trouve sa force de cohésion dans un principe de « cohérence » interne plus que dans une volonté extérieure de coordination ou de subordination. Nous verrons, par la suite, la faiblesse des principes mécanistes et hiérarchiques de coordination et de régulation à favoriser cette cohésion et à construire cette cohérence nécessaire aux organisations complexes intégrant un SI SAP. Pour C.Ravera « la cohérence est une exigence dont

avoir réussi à penser la microéconomie (étude des comportements individuels) et la macroéconomie (étude des phénomènes de société). Ce qui l’intéresse est la division du travail : la manufacture d’épingle (= chaque ouvrier a une tâche précise, le taylorisme). Pour lui, on est réellement dans une logique de liberté individuelle et liberté économique. Les intérêts individuels vont concourir aux intérêts généraux. Si chacun recherche sa liberté individuelle, on aura la réalisation du meilleur

appelé le fordisme. Celui-ci – 1946 : la régie Renault lance la première voiture reprend en partie les théories de populaire en France la 4 CV (prononcez 4 chevaux) l’ingénieur Frederick Taylor (appelées Organisation scientifique du travail ou taylorisme) en généralisant le travail à la chaîne et l’intéressement des ouvriers afin de leur faire accepter l’augmentation considérable des cadences de travail. Histoire de l’automobile : chronologie EE Séquence 2 – HG11 9 © Cned – Académie

spécialisation de travailleurs : ouvriers spécialisés et effectue toujours les mêmes gestes. L'individualisation des rémunérations : W à la pièce, primes de rendements =>productivité et concilier les intérêts de l'employeur et des ouvriers. B/ du Taylorisme au Fordisme Principe de l'OST + création des lignes de montage => produire en grande série des voitures standardisées. Il utilise des convoyeurs, normalise, et simplifie les composants II/ Fayol et la théorie de l'administration Fayol se préoccupe

ouvriers, les recomposer « scientifiquement » pour en éliminer tout ce qui est inutile ou inadapté, fixer des normes de temps d’exécution de façon à contraindre les ouvriers étaient les composantes de cette « seule bonne solution ». Le SdéclinT du taylorisme ne signifie pas que le travail soit devenu une partie du plaisir. Cela signifie que cette forme d’organisation, qui fait des ouvriers des exécutants passifs de méthodes conçues par d’autres n’est plus adaptée aux techniques productives où la qualité

vers la servitude – 1944). Jacques Rueff en France dénonce les indemnités chômage et la rigidité des salaires, Lord Robbins considère que la crise est déjà en germe dans la trop forte augmentation des salaires des années 20. - Keynes désigne la faiblesse de la demande, les mécanismes du marché en poussant les salaires à la baisse, aggravent la dépression en diminuant le pouvoir d’achat. Il dénonce l’orthodoxie financière des gouvernements britannique et américain. - La crise (mutation ?) des années

intrinsèquement tourné vers celui des superstructures économiques, fleurons des Etats rivaux. L’intelligence militaire ou le renseignement consiste à collecter une information utile sur la puissance ennemie. Connaitre de façon fine ses forces et surtout ses faiblesses pour exercer contre elle une terreur dissuasive. Deux obstacles de taille sont importants à franchir pour parvenir à cette économie de l’information au service de la force dissuasive. Le premier effort consiste à mener une action au-delà de ses

entreprises recherchent des économies d’échelle et la concentration du capital. Apparaît ainsi la notion de management. Les 30 glorieuses sont l’apogée des grandes entreprises. L’après-guerre marque une période de reconstruction et de grands moyens (taylorisme). Les français sont également adeptes de la consommation de masse qui laisse peu de place aux TPE/PME. 3. Le règne des grandes entreprises Le grand évènement de l’économie dans les années 60/70 est l’ouverture de la France à l’international

et au début du 20ème , aux Etats Unis, sous l’impulsion de Taylor. Ce dernier est à l’origine de l’organisation scientifique du travail (OST). Il a été ensuite relayé en France par Fayol qui proposa en 1906 une doctrine administrative. ✓ Le taylorisme : Taylor part du principe que l’organisation du travail n’est pas efficace. L’ouvrier doit exécuter l’ensemble des tâches de production, pour cette raison il n’a pas un rendement optimal. Donc le système laisse à manquer. Comme solution

beaucoup plus pointu”. Il y a un réel travail, on sait quelles sont les forces et les faiblesses de l’équipe. Il ne faut pas juste suivre et dire “là il faut faire !”. Il faut qu’on mette en place et qu’on essaye de faire en sorte que les chargés de clientèle soient soulagés dans leur façon de faire ». CONCLUSIONCONCLUSION Au cours des années 70, sur la base d’une critique du Taylorisme et de son autoritarisme, une nouvelle méthode de conditionnement du monde du travail a été mise en