Les Fausses Devotes

aux interrogations pour réparer l’offense. Les curés incitaient même à la délation lors des messes du dimanche. Finalement, l’enquête est menée par un lieutenant de police d’Abbeville, qui s’implique avec acharnement, n’hésitant pas à fournir de fausses accusations et de faux témoignages, et par le lieutenant du tribunal d’élection Belleval, qui est un ennemi personnel du chevalier de La Barre, depuis que sa tante, l’abbesse de Willancourt, a repoussé ses avances. Intimidées, les personnes interrogées

« songez-vous » - > reproche qu’elle peut faire à Valmont. Le subjonctif «  que vous n’ayez pas faîte » envisage l’acte virtuel par rapport à l’acte envisagé - > fait référence à la faiblesse de Valmont. L’adjectif possessif « votre » dans « votre Dévote » suggère une certaine distance et portée ironique - > dévalorisation, car la possession n’est pas réelle. 2. La structure argumentative de Merteuil Par ailleurs, la marquise a une certaine volonté de convaincre. Elle part d’un exemple précis

semble véritablement éprise de lui. - Elle est même aveuglée au point de chercher des raisons de se croire encore aimée. B. Le langage - Tragique : langue soutenue ("courroux", "cruel", "perfide", "ingrat"), rhétorique (2 interventions longues, fausses questions, exclamations, longueur des discours), passage au tutoiement tragique. - Pathétique : déchirement entre la passion et la raison (champs lexicaux de la "passion" et de la "raison"). Elle s'humilie à imaginer le discours d'amour qu'elle aurait

Volanges. Pour effectuer cette vengeance, la marquise de Merteuil écrit à un de ses anciens amants et actuel confident, le vicomte de Valmont. Mais celui-ci refusera dans un premier temps afin de se consacrer à ses propres projets qui sont de séduire la dévote présidente de Tourvel qu'il rencontra dans un séjour chez sa tante mme de Rosemonde. Valmont entreprend de faire de cette séduction un exploit afin de faire remonter encore sa réputation de courtisan, cela à le don d'agacer la marquise de Merteuil

cette partie dominante dans l'homme, cette maîtresse d'erreur et de fausseté, et d'autant plus fourbe qu'elle ne l'est pas toujours, car elle serait règle infaillible de vérité, si elle l'était infaillible du mensonge. Mais, étant le plus souvent fausse, elle ne donne aucune marque de sa qualité, marquant du même caractère le vrai et le faux. Je ne parle pas des fous, je parle des plus sages; et c'est parmi eux que l'imagination a le grand don de persuader les hommes. La raison a beau crier, elle

Commentaire Composé Du Tartuffe de Molière Introduction : Molière écrit Le Tartuffe ou L’imposteur en 1664 et en fait une représentation théâtrale la même année. Dans cette pièce, Molière fait une critique envers les faux dévots. Le texte qui sera étudié sera celui de l’Acte IV, scène 5. Dans cette scène, Elmire organise un rendez-vous avec Tartuffe, en tête à tête. Sauf que, Orgon sera caché sous la table pendant leur entrevue. Elmire souhaite dévoiler la vraie face de Tartuffe à Orgon pour

 Acte I Madame Pernelle, rangée du côté de son fils Orgon, s'emporte contre son entourage mal disposé envers Tartuffe, personnage pieux et respectable selon elle, un faux dévot selon les autres. Elle reproche à sa bru, Elmire, d'être trop excentrique et dépensière et au frère de celle-ci, Cléante, d'être trop moralisateur. Elle traite Damis, son petit-fils, de fou et elle s'indigne de l'impertinence de Dorine. Elle loue donc le ciel de leur avoir permis de recueillir chez eux Tartuffe, cet

son discours : « Demain je me ferais dévote si je ne savais pouvoir rester ( …) Si l’avenir du Chrétien est encore une illusion, au moins elle ne se détruit qu’après la mort. (…) La vertu seule y est sans autels. Oui, les âmes pures ont une patrie dans le ciel ». Elle emploie un champ lexical de la religion dans son discours puis elle montre une croyance d’un paradis réservé au gens trop purs pour vivre dans un monde pareil. Elle dit même vouloir être « dévote » - c’est-à-dire se dévouer totalement

*Acte I : Madame Pernelle, rangée du côté de son fils Orgon, s'emporte contre son entourage maldisposé envers Tartuffe, personnage pieux et respectable selon elle, un faux dévot selon lesautres. Elle reproche à sa bru, Elmire, d'être trop excentrique et dépensière et au frère decelle-ci, Cléante, d'être trop moralisateur. Elle traite Damis, son petit-fils, de fou et elles'indigne de l'impertinence de Dorine. Elle loue donc le ciel de leur avoir permis de recueillirchez eux Tartuffe, cet "homme de

ne. Nous pouvons voir à présent que dans ce roman nous pouvons trouver un autre  langage   très   significatif   certainement   de   cette   époque :   le   langage   dévot.   Mais  attention, il ne faut pas se fier aux apparences qui sont parfois trompeuses. Nous allons  tout d’abord nous intéresser à la vraie parole dévote qui est très présente dans le texte  car le milieu ecclésiastique a une place très importante dans la vie de Marianne. Dès le  début de sa vie elle est recueillie par