Les Fausses Devotes

révulser le spectateur. En fait, la pièce est une réflexion sur le libertinage et ses excès. Molière est adepte de la libre-pensée, mais respecte les convictions religieuses[2]. Il s'attaque principalement à toute forme d'hypocrisie que ce soit celle du dévot ou celle du libertin. Dom Juan est prêt à tout pour satisfaire ses plaisirs. La fin de la pièce est très ambiguë. Certes, Dom Juan est puni de ses péchés par la mort, il est anéanti physiquement (en effet les didascalies l'indiquent comme avalé par

s’affrontent : le pauvre selon Dieu et le riche selon le diable. Cet épisode est une étape sur le chemin de l’enfer, encore que la aussi le don du louis d’or « pour l’amour de l’humanité » brouille un peu les pistes. La scène = provocation envers les dévots (explique l’autocensure de Molière dictée par la prudence) La rencontre du tombeau du Commandeur et de la statue rétablit l’équilibre et les forces du Bien reprennent leur droits. Un acte dramatique : HUMAINE CONDITION du misérable au gentilhomme

roi intervient à ses côtés pour condamner les hypocrites. Résumé👍 L'histoire tourne autour d'un personnage nommé Tartuffe, un faux dévot qui s'infiltre dans la famille d'Orgon, un noble parisien, en se faisant passer pour un homme pieux et vertueux. Tartuffe réussit à gagner la confiance et l'affection d'Orgon, qui est complètement aveuglé par sa fausse piété. Tartuffe profite de cette confiance pour essayer de séduire Elmire, la femme d'Orgon, et pour essayer de s'emparer de la propriété

Discret, Desmarets de Saint-Sorlin. Grande variété des comédies créées pendant cette décennie, diverses inspirations. La comédie « à l’espagnole » L’initiateur de cette mode est François Le Métel d’Ouville qui donne l’Esprit follet (1642) et les Fausses Vérités (1643) imitées de Calderon. Il en fait d’autres en s’inspirant de Lope de Vega, Montalvan, Remon. P. Corneille, après le Cid, prend des modèles espagnols pour ses comédies : Alarcon ou Lope. Scarron de même, entre 1645 et 1663, s’inspirant

LE 15e FEVRIER 1665  SUR LE THEATRE DE LA SALLE DU PALAIS-ROYAL PAR LA TROUPE DE MONSIEUR, FRERE UNIQUE DU ROI   contexte: |Libelle écrit par un certain Rogemont derrière lequel pourrait se cacher le Prince de Conti, ancien libertin devenu dévot. | |" Une religieuse débauchée et dont l'on publie la prostitution. | |Un pauvre à qui l'on donne l'aumône à condition de renier Dieu.

personnage clé au cours de l’histoire? Ainsi il est intéressant de voir que Madame de Rosemonde est tout d’abord une femme d’experience et ayant vécu, puis que malgré elle elle favorise involontairement les liaisons dangereuses tout en restant devote Madame de Rosemonde, est une femme d’experience elle connaît les hommes et leurs fonctionnement. Cela est mis en évidence dans le livre mais aussi dans l’adaptation cinematographique de Frears, dans lequel elle ne parle et donne conseil à Madame

terre, en enfer. Sganarelle, resté seul, réclame, en vain, ses gages. Réception Frontispice des Œuvres de Molière (éd. de 1734) Cette pièce de Molière suscita à sa création une levée de boucliers des dévots. Écrite juste après Tartuffe, où Molière fustigeait l'hypocrisie de certains dévots, elle semble aux yeux des religieux de l'époque une apologie du libertinage. Le seul défenseur de la religion semble être Sganarelle, pour lequel la religion ressemble fort à de la superstition et dont le

Italiens », p130, « aux Français », p229 = toutes ces références illustrent l'importance et l'influence du théâtre dans la société en question : l'influence dans les rapports qui lient les êtres entre eux, puisque chacun joue en fait un jeu (ce qui fausse d'emblée toute relation), et l'importance dans la manière de tisser ces liens, puisque le théâtre et l'opéra sont les lieux de prédilection pour rencontrer des personnes et nouer des intrigues. 2) Le jeu de la comédie Les mises en scène

IV] Les Liaisons dangereuses : roman libertin ? A) Etude des lettres 47 et 48 a- 1er axe lettres 47 et 48 • Valmont a pour projet de séduire Mme de Tourvel, femme mariée et qui est une fervente dévote ( cette complexité attire Valmont, il est aiguisé par le désir. « Votre mauvaise tête ne sait désirer que ce qu’elle croit ne pas obtenir » lettre 5 Mme de Merteuil. • Il a toujours besoin d’obstacles pour nourrir ses arts, il déploie « une méthode » lettre 125, ainsi qu’ « un

vite. Notre défunt était en carrosse porté, Bien et dûment empaqueté, Et vêtu d'une robe, hélas ! qu'on nomme bière, Robe d'hiver, robe d'été, Que les morts ne dépouillent guère. Le Pasteur était à côté, Et récitait à l'ordinaire Maintes dévotes oraisons, Et des psaumes et des leçons, Et des versets et des répons : Monsieur le Mort, laissez-nous faire, On vous en donnera de toutes les façons ; Il ne s'agit que du salaire. Messire Jean Chouart couvait des yeux son mort, Comme si l'on