Les Fenêtres Allitération

mélancolique de la maison Usher. -du dépérissement de la nature et de la maison : (p.67, l13) « les murs qui avaient froid », (l.14) « les fenêtres semblables à des yeux distraits », (l.15) «quelques troncs d’arbre blanc et dépéris », (p.68, l34)  « un noir et lugubre étang, miroir immobile », (l.37) « des joncs grisâtres, des troncs d’arbres sinistres, et des fenêtres semblables à des yeux sans pensée ». Cela dénote le caractère sans vie, mort et fantomatique de l’atmosphère et qui annonce déjà la suite

- (transf) = composition symbolique faite de plusieurs éléments qui forment un ensemble cohérent et renvoient terme à terme au contenu signifié. V. métaphore filée. La Mort, lorsqu'elle est représentée comme un squelette armé d'une faux. allitération F- (phon.) = répétition de sons identiques dans une suite de mots. V. harmonie imitative Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue et que j'aime et qui m'aime. (P. Verlaine) anacoluthe , F - (synt.) = rupture

1945, un dénommé René Bertelé, créateur d'une maison d’édition, découvre les textes de Prévert, décide de rassembler ses écrits et en fait un livre intitulé Paroles. Ce recueil de poèmes est un véritable succès. En 1948, Prévert tombe d'une porte-fenetre et reste plusieurs jours dans le coma ; il gardera de cet accident de graves séquelles neurologiques. En 1952, Prévert retourne à Paris et voyage à Londres. En 1971, il achète une maison en Normandie à Omonville-la-Petite et a comme voisin son ami

l'air d'être anciennes La religion seule est restée toute neuve la religion Est restée simple comme les hangars de Port-Aviation Seul en Europe tu n'es pas antique ô Christianisme L'Européen le plus moderne c'est vous Pape Pie X Et toi que les fenêtres observent la honte te retient D'entrer dans une église et de t'y confesser ce matin Tu lis les prospectus les catalogues les affiches qui chantent tout haut Voilà la poésie ce matin et pour la prose il y a les journaux Il y a les livraisons à

le luxe (« splendeur orientale »). L’importance de ce lieu est souligné par le refrain qui reprend ces éléments (« luxe, calme et volupté »). Le symbole de la chambre (2e strophe) équivaut à créer un enfermement intime, un refuge : aucune porte ou fenêtre n’est évoqué, au contraire les détails descriptifs arrêtent le regard : « meubles », « plafonds », ou reflètent le décor (« miroirs profonds »). Troisième strophe : le monde, en deux parties : le port (suggéré par les vaisseaux et les canaux)

quartiers de noblesse que la plupart des nobles.] La personnification. « l’injure du temps » (l.10). La périphrase. « le fils du baron » (l. 22). Les figures de son. Assonance. « métaphysico-théologo-cosmolonigologie » (l. 26). Allitération. - Thunder-ten-tronckh. Homéotéleutes (= mots qui se terminent par le même son). « Candide écoutait attentivement, et croyait innocemment » (l. 42) Noms des personnages Thunder-ten-tronckh: Ce nom est vraisemblablement formé à partir de

ont l'air d'étre anciennes La religion seule est restée toute neuve la religion Est restée simple comme les hangars de Port-Aviation Seul en Europe tu n'es pas antique 6 Christianisme L'Européen le plus moderne c'est vous Pape Pie X Et toi que les fenétres observent la honte te retient D'entrer dans une église et de t'y confesser ce matin Tu lis les prospectus les catalogues les affiches qui chantent tout haut Voila la poésie ce matin et pour la prose ily ales journaux Ily ales livraisons @ 25 centimes

Voltaire trace en creux les portraits de ses personnages et détourne les codes du code pour les parodier. Le lieu. Le lieu dans lequel vivent les personnages, « Thunder-ten-tronckh » apparaît comme un lieu ridicule à cause de son nom : * Les allitérations rugueuses et germaniques en [t] n’évoquent pas vraiment un château paisible et enchanté. * En accolant au nom ridicule du château, le titre de noblesse « baron », Voltaire enlève toute dignité à la lignée. Le détournement passe aussi par la

crée ainsi des rapports nouveaux dans la réalité. Des alliances de mots font naître des images qui donnent lieu à de nouvelles relations, de nouvelles idées. Ainsi, Rimbaud écrit : « J?ai tendu des cordes de clocher à clocher, des guirlandes de fenêtre à fenêtre, des chaînes d?or d?étoile à étoile, et je danse » De cette manière, l?analogie que Baudelaire fait, dans le poème intitulé Spleen entre le « ciel bas et lourd » et un couvercle nous donne à voir le monde sous un autre angle, et nous pensons

n’est pas seulement regarder mais c’est aussi méditer, on a donc une prise de conscience de la part de Baudelaire. On voit que Baudelaire est soucieux de marquer comment la réalité aide l’homme à marquer qu’il existe ( Thème retrouvé dans « Les Fenêtres » et « Les Septs Veillards ») où l’on voit un homme entré en dialogue avec son âme. Ceci est renforcé par les pronoms personnels, en effet l’anecdotique n’intéresse pas Baudelaire. Il prend le temps de souligner le temps produit : Contempler et affreux