Les Fenêtres Allitération

ont l'air d'être anciennes La religion seule est restée toute neuve la religion Est restée simple comme les hangars de Port- Aviation Seul en Europe tu n'es pas antique ô Christianisme L'Européen le plus moderne c'est vous Pape Pie X Et toi que les fenêtres observent la honte te retient D'entrer dans une église et de t'y confesser ce matin Tu lis les prospectus les catalogues les affiches qui chantent tout haut Voilà la poésie ce matin et pour la prose il y a les journaux Il y a les livraisons à 25

ses premiers amours » (v.99). Mais le poète refuse de l'admettre « Non,--c'est à mes malheurs que je prétends sourire » (v.100), la pose entre « Non » et « c'est » montre bien sa détermination. L'allitération en t des vers 108 à 114 « j'étais », « fenêtre », « attendant », « maîtresse », « tout », « écoutant », « cette », « obscurité », « sentais », « telle », « détresse », « infidélité », « déserte » et « entr'ouverte » fait penser aux ténèbres et à l'écoulement du temps. La scène, des vers 100

changement. Le poème commence par un vers qui est une véritable provocation. En effet, il discrédite le « monde ancien » et en même temps compose ce vers de la façon la plus traditionnelle : C’est un alexandrin avec diérèse + assonance en [((] et allitération en [s] : « A/ la/ fin/ tu/ es/ las// de/ ce/ mon/de an/ci/en/ ». Ce paradoxe se justifie dans la mesure où il marque un désir qui n’est pas encore réalisé (( la volonté de voir apparaître un monde nouveau qui n’existe pas encore) Ce désir de voir

qualifier la « simple caissette », pourrait être simplement destinée à souligner le fait que le cageot est composé d’un assemblage de planches disjointes et écartées les unes des autres. Cependant, l’emploi du terme est surprenant : on parle plutôt d’une fenêtre ou d’un volet « à claire-voie », pour désigner une structure qui laisse passer le jour. La réalité grossière du cageot acquiert alors une dimension tout autre : on ne voit plus une simple structure en bois, mais un assemblage quasiment aérien où circulent

Dissertation “ De la laideur et de la sottise [le poète] fera naître un nouveau genre d'enchantement ". Théodore de Banville réagit après le récit Les Fleurs du Mal , récit qui fait état de l’âme et de la conquête du Beau. Baudelaire, l’auteur, devient l’alchimiste qui transforma la boue en or. Le XIXe siècle est la voix d’un renouvellement poétique et de bouleversement littéraire. Nombreux sont les auteurs qui

ramassent leurs ombres, Les ornières s'en vont vers un horizon mort. Autour d'un vieil étang, quelques huttes de hêtre Très misérablement sont assises en rond ; Une lampe de cuivre éclaire leur plafond Et glisse une lueur aux coins de leur fenêtre. Et dans la plaine immense, au bord du flot dormeur, Ces torpides maisons, sous le ciel bas, regardent, Avec les yeux fendus de leurs vitres hagardes, Le vieux moulin qui tourne et, las, qui tourne et meurt. Emile Verhaeren (1855-1916), extrait

le bonheur le poursuit jusque dans son esprit. b)Le voyage à travers le rêve (nature, peinture, l’évasion) -A plusieurs reprises, on se sent flotter comme dans un voyage qui se transforme en rêve au rythme du vent ; d’ailleurs on entend des allitérations aux lignes 51-53 « murmure que les vents et les eaux font entendre dans le silence d’un désert » ou encore aux lignes 90-91 « Levez-vous vite, orages désirés qui devez emporter René dans les espaces d'une autre vie » qui donnent l’impression que

oubliant sa réalité quotidienne. L’auteur enjolive la réalité. Plusieurs thèmes sont abordés : l’évasion vers d’autres mondes en voyageant, vers d’autres amours, vers une meilleure condition. Victor Hugo, dans « Rêverie », « seul [il] rêve à la fenêtre [de] quelque ville mauresque inouïe ». De même, Baudelaire voit se dérouler « des rivages heureux », « une île paresseuse », « de charmants climats », « un port »… dans « Parfum Exotique ». Il définit donc immédiatement le paysage marin comme un

pieds compte-t-il ? Comment appelle-ton ce type de vers ? c) relis à haute voix le vers 2 : que constates-tu ? =rythme 6/6 de l’alexandrin qui traduit le réveil lent du lombric sous la terre. d) relis à haute voix les 3-4 : que constates-tu ? = allitérations expressives + enjambement qui évoque le cheminement régulier du lombric au travail. e) souligne les verbes employés pour évoquer l’action du lombric ; comment le poète montre-t-il que le lombric se réveille lentement et se met ensuite au travail

l’aspect du soir il a si peur[7] 2.2 Il y a ce désert acharnement de couleurs il y a ce désert acharnement de couleurs et puis l'incommode magnificence des désirs il faut se restreindre à dormir à attendre à dormir encore j'ai fermé la fenêtre et rentré les chaises desservi la table et téléphoné il n’y avait personne fait le lit et bu l’eau qui restait au fond du verre toutes les saisons on été froissées comme de mauvaises copies nos ombres se sont tenues immobiles c’était le commencement