Les Fenêtres Allitération

une portée universelle ( expérience perso du poète concerne tt le monde. - Rythme ample de l’alexandrin facilite expression des sentiments : rythme ternaire v.18-24-28 - Importance sensibilité : champ lexical amour, sonorités douces : allitération en « m » 3e strophe: « aimer » « homme » « mystérieux » « jamais » - Champ lexical sentiments : « jalousie »v.13-19 termes mélancoliques : « pleurer »v.15, « souffrir »v.13 b) …pour évoquer le temps qui passe : - structure

du peintre belge surréaliste. On peut circuler entre de grandes silhouettes qui présentent recto verso une douzaine de grandes reproductions à bien regarder pour se familiariser avec l’univers du peintre. Plus ludique, une tour à trois faces avec fenêtres et volets pour découvrir des détails des œuvres, textes ou clins d’œil. Les enfants peuvent aussi reconstituer en volume le décor d’un tableau ou encore s’essayer au jeu des titres, des cadavres exquis, se déguiser, faire des puzzles, rechercher

grammaticales. Très pratiquée dans la langue contemporaine quand on remplace un adverbe par un adjectif (chose d’ailleurs recommandée par les poètes de la Pléiade) : « je lui ai dit direct ». On la trouve aussi dans des expressions figées : « la fenêtre grande ouverte ». L’énallage la plus fréquente consiste à échanger les pronoms (« on » pour « nous » ; « il/elle » pour « Tu » ou « vous »). Racine l’utilise beaucoup. Les effets sont souvent euphémiques, parfois ténus. Autre

trouver leur signification. Pour y parvenir, il convient de se poser des questions auxquelles vous devez donner des réponses, notamment :· pourquoi l’auteur a-t-il choisi tel mot et non pas un autre ? · pourquoi telle inversion ? · pourquoi telle allitération ? · pourquoi telle rime ? ( etc. Lors de la présentation d’un texte, procédez de la manière suivante :· A l’oral, comme à l’écrit, il faut un plan  · Commencer par présenter le texte · Appuyer les interprétations pas des citations extraites du

m’avait gagné. Nous montâmes tous les trois avec lui. Devant la porte, nous trouvâmes la femme de chambre de la jeune comtesse tout effarée, assurant que quelque malheur devait être arrivé, car la fenêtre de madame était toute grande ouverte. Je me rappelai avec effroi ce corps pesant tombé devant ma fenêtre. Nous frappâmes à grands coups. Point de réponse. Enfin le valet de chambre apporta une barre de fer, et nous enfonçâmes la porte... Non ! le courage me manque pour décrire le spectacle qui s’offrit

huitième réplique de Scapin : J’ai une tendresse pour vous qui ne saurait souffrir que je vous laisse sans secours (l. 32-34) => ironie de Scapin qui a échappé de justesse aux coups de son maître Léandre (II, 2) après les révélations de Géronte, allitération en [s] => sournoiserie ; – aparté (l. 47) éclairant l’ironie. Prolongement : lire la suite de la scène et l’analyser en s’attachant au genre de la farce. d’un Texte 2 S. Beckett, À l’autre En attendant Godot ➜  p. 58 Objectif : Analyser

m’avait gagné. Nous montâmes tous les trois avec lui. Devant la porte, nous trouvâmes la femme de chambre de la jeune comtesse tout effarée, assurant que quelque malheur devait être arrivé, car la fenêtre de madame était toute grande ouverte. Je me rappelai avec effroi ce corps pesant tombé devant ma fenêtre. Nous frappâmes à grands coups. Point de réponse. Enfin le valet de chambre apporta une barre de fer, et nous enfonçâmes la porte... Non ! le courage me manque pour décrire le spectacle qui s’offrit

le travail est présent sur des extraits de textes assez longs. Il faut dire l’essentiel ! Travail sur une base de textes traduits : donc, attention à l’infidélité au texte de base (impossibilité de faire des remarques sur les assonances, les allitérations…). L’introduction : doit être complète et doit rester claire (synthétique). Éviter les détails inutiles comme des détails biographiques ou bibliographiques de l’auteur. Éviter aussi les généralisations qui n’apportent rien à la compréhension

diction du mot « imagination » qui occupe tout l’hémistiche et qui fait écho au premier hémistiche du vers précédent, « il a tué six loups » : on peut en effet constater que ces deux hémistiches sont liés par des assonances en [i], [a], et une allitération en [s]. L’ironie de Casilda met en exergue l’indifférence du roi pour celle qu’il a épousée : elle interroge en effet la reine dans une question rhétorique qui énumère les tourments auxquels le roi devrait répondre. Ces éléments montrent l’intention

disponbilité («Rien ne sert d'être vivant, s'il faut qu'on travaille»), il déambule au hasard dans Paris, lieu d'errance et de suprême disponibilité à l'insolite sous toutes ses formes : affiches publicitaires, statues commémoratives, stations de métro, fenêtres fermées sur leur mystère, seul ou en compagnie de ses amis, Aragon, Soupault ou Desnos, orientés qu’ils sont dans le labyrinthe de la capitale par les mots conducteurs «bois-charbons». Ils attendent «l'événement dont chacun est en droit d'attendre