Les Fenêtres Allitération

métaphores injurieuses du Capitaine Haddock par exemple. De manière générale, les figures de style mettent en jeu : soit le sens des mots (figures de substitution comme la métaphore ou la litote, l’antithèse ou l’oxymore), soit leur sonorité (allitération, paronomase par exemple) soit enfin leur ordre dans la phrase (anaphore, gradation parmi les plus importantes). Elles se caractérisent par des opérations de transformation linguistique complexes, impliquant la volonté stylistique de l'énonciateur

suivantes, indique quelle est la valeur du présent de l’indicatif : présent d’énonciation, présent de vérité générale ou présent de narration. a) Je te promets que je reviendrai. b) Rien ne sert de courir, il faut partir à point. c) La femme hurlait à sa fenêtre, quand soudain arrivent les pompiers. d) Ta voisine souhaite te parler. e) Un homme me suivait discrètement et voilà qu’il se met à m’interpeller. f) Londres est la capitale du Royaume-Uni. © Cned, Français 3e — 107 © Cned – Académie en ligne

4. "Quand vous serez bien vieille...", Sonnets pour Hélène, 1578, Nerval & "Mignonne allons voir si la rose..., 1550, les hypotextes d'"Une Charogne" 5. "Les Fenêtres", Le Spleen de Paris dit Petits poèmes en prose, 1869, le poème en prose, la poésie comme remède au spleen 6. "La Chevelure", Les Fleurs du Mal, 1857,

____ XI ‘’La femme sauvage et la petite-maîtresse’’ Trois pages Fatigué par les «précieuses pleurnicheries» de sa femme, un mari la menace de la traiter «en femme sauvage» exhibée dans une cage «comme une bête», et de la jeter «par la fenêtre, comme une bouteille vide». _________________________________________________________________________________ XII ‘’Les foules’’ Deux pages Si «jouir de la foule est un art», il faut savoir «peupler sa solitude». Or le poète «jouit de

du Temps et ses connotations tragiques que l'on repère d'abord à la lecture : Sans fin donner naissance À des passions sans corps À des étoiles mortes Qui endeuillent la vue. L'inéluctabilité de ce déroulement est suggérée par la fluidité des allitérations en fricatives [f] et sifflantes [s], par l'ombre des échos en nasales [sã] (x 3) et par l'assonance approximative dans les rimes intérieures de la syllabe [or]. Les sonorités du dernier vers, très différentes des trois premières, claquent alors

conscience douloureuse. Cette vision suppose que les yeux soient fermés : à la réalité telle qu’elle s’impose, à la vision triviale prosaïque de la chambre, du lit, du corps de la femme aimée. Ces yeux fermés sont la fermeture de l’âme « les yeux sont les fenêtres de l’âme » à la réalité donnée, au monde ici-bas. Ces yeux fermés permettent au poète de se concentrer sur le parfum et la chaleur du corps : pure présence puisque le corps de l’autre n’est que sensation, parfum et chaleur. Le dénominateur commun

l’hémistiche afin de mettre en relief sa première source d’inspiration au début de ce poème et pour faire référence aux quartiers populaires de Paris ou les fenêtres n’ont pour toutes protections les persiennes du vers 2 tantôt pour abriter « des secrètes luxures » tantôt pour s’abriter du soleil cruel vers 3 et d’emblée on imagine ces quartiers et leurs fenêtres ornés de ces volets occultants sans doute dans l’imaginaire du poète pour y cacher toute une vie faite de vices ou d’une existence particulièrement

s’étendre Un coteau vert, que le couchant jaunit, Puis un château de brique à coins de pierre, Aux vitraux teints de rougeâtres couleurs, Ceint de grands parcs, avec une rivière Baignant ses pieds, qui coule entre des fleurs ; Puis une dame, à sa haute fenêtre, Blonde aux yeux noirs, en ses habits anciens, Que dans une autre existence peut-être3, J’ai déjà vue... et dont je me souviens4 ! Questions de lecture analytique 1 Quelle est la structure du poème  (types de strophes, de vers, de rimes) ? Dégagez

sortir de cette situation un peu figée car dans la classe on entre, de la classe on sort; dans la classe on se déplace, on dessine, on va, on vient, on s’assoit, on se lève, on parle, on écrit, on dit, on raconte un film, un livre; on regarde par la fenêtre, on voit le jardin, la cour de récréation, les arbres, les oiseaux, les voitures. Puis les apprenants entrent en contact avec le monde; on marche dans la cour, on s’en va dans la rue, on s’en va chez soi par tel ou tel chemin. Voilà quelques procédés:

Devoir 1 – FR20-12 plus exaltée qu’elle avait été plus déçue dans son amour, plus trompée dans ses espérances. Il lui fallait toujours le berceau près de son lit, puis, quand elle put se lever, elle resta des journées entières assise contre la fenêtre, auprès de la couche légère qu’elle balança. Guy de Maupassant, Une vie (1883) Consignes Vous allez réaliser une lecture analytique partielle de ce texte en suivant point par point la « Méthode à suivre » ci-dessous. Cette lecture répondra à la