Les Frontière Organisationnelle

des relations de coopéra-tion (exemple de Benetton). • Le partage des informations et la coor-dination des différentes entités s’avèrent fondamentales dans ce type d’organisation. • Avec le recours à l’externalisation et aux partenariats, les frontières de l’entreprise sont plutôt floues. • flexible et gain de temps / à ses concurrentes. • la décentralisation des décisions vers ses partenaires : réactivité, an-ticipation des évolutions du marché et les innovations. • réalisation d’économies

au travail dans l'entreprise - Constituer un groupe projet dédié - Examiner et éventuellement revoir les modes organisationnels avec l’accord des acteurs de l’entreprise - Informer et impliquer l’ensemble du personnel - Recourir à des compétences externes pour certaines étapes de la démarches Pourquoi et comment mieux intégrer les aspects humains, sociaux et organisationnels ? - Implication de la DG / Evaluation de la performance intégrant le facteur humain - La santé des salariés ne

stratégiques et organisationnels de l'entreprise. > Technologie (WOODWARD) : technologie devenue obsolète. > Age de l'entreprise : il faut modifier la structure. > Taille : plus une entreprise est de taille importante, et plus sa gestion se complexifie. D'où la nécessité de recourir à un manager expérimenté qui possède les compétences nécessaires pour prendre les décisions pertinentes. > Environnement : évolution des besoins des clients, accroissement de la concurrence, ouverture des frontières. 4- Proposez

la communication de cette information et les dysfonctionnements qu’elle annonce engendrent des effets au plan marketing (craintes des clients, annulation de commandes), au plan de la gouvernance d’entreprise (changement de direction), au plan organisationnel (restructurations), au plan financier (pénalités financières, fluctuations du cours en bourse). Quelques mois plus tard, même si la certification de l’A380 par les autorités aériennes et le lancement du nouvel Airbus A350 pour 2012 ont atténué

duplication des fonctions Uniformise les procédures Facilite le contrôle Facteur d’intégration organisationnelle (meilleur compréhension globale) M. BACHIR la centralisation peuvent être résumés dans le tableau Décentralisation Plus grande pertinence des décisions Favorise la motivation du personnel Permet des expériences locales Développe la réactivité de l’organisation Facteur de différenciation organisationnelle (meilleur adaptation au contexte) 1 2 LES STYLES DE DIRECTION DEPEND DE LA PERSONNALITE

problème entrepreneurial (choix du domaine d’activité, de l’allocation des ressources et du positionnement concurrentiel), ➢ 2- Un problème de conception innovante et de production, ➢ 3- Un problème conception administrative (structure organisationnelle et mécanismes de coordination). ➢ L’adaptation à l’environnement consiste à passer séquentiellement et de manière cyclique du problème entrepreneurial au problème de conception innovante, plus administrative. ➢ Le Prospecteur recherche

au sein du conseil. LES THÉORIES DOMINANTES EN MATIÈRE DE GOUVERNANCE  Pour reprendre les termes de G. Charreaux (1997), de nos jours, lorsque l'on parle de gouvernance des entreprises , on envisage avant tout, "l'ensemble des mécanismes organisationnels qui ont pour effet de délimiter les pouvoirs et d'influencer les décisions des dirigeants, autrement dit, qui 'gouvernent' leur conduite et définissent leur espace discrétionnaire".  L’approche dominante de la gouvernance dans les entreprises

Chapitre 7 – Le choix d’une structure juridique et les motivations organisationnelles Le choix de structure dépend des motivations du créateur. Celles-ci peuvent être liées à des choix de finalités, d’organisation du pouvoir et de besoins de financement. I. Structure et finalité de l’organisation A) Distinction entre finalité et activité L’activité correspond à l’objet de l’organisation, ce qu’elle doit réaliser, créer, produire. La nature de l’activité peut induire la structure juridique ; par

à un ajustement des prix. L’économie de marché suppose un système autorégulateur de marchés ; il s’agit d’une économie gouvernée par les prix du marché et par eux seules. La logique du marché repose sur un socle historique, institutionnel, organisationnel ; et même moral. Contrairement à l’échange, le marché n’est pas universel. Le marché tel qu’il est conçu par les libéraux est une utopie puisque l’idée d’un échange où le prix des biens est fixé par le jeu de l’offre et de la demande ne correspond

boursière * Convergence (niveau de vie + technologie) * Emergence de technologies * Frontières entre industries de plus en plus floues * Désintermédiation * Eco sensitivité Environnement externe (économie, technologie, politique, social) Pratiques RH Environnement RH internes (âge, sexe, niveau d’éducation, valeurs, attitudes, CSP, taux de syndicalisation) Environnement organisationnel (stratégie de développement, philo de gestion, structure, technologies) PARTIE 2 : SPECIFICITE