Les Gangarides

soient justes. - Et où est-il ce pays de mon cher inconnu? quel est le nom de ce héros? comment se nomme son empire? car je ne croirai pas plus qu'il est un berger que je ne crois que vous êtes une chauve-souris. - Son pays, madame, est celui des Gangarides, peuple vertueux et invincible qui habite la rive orientale du Gange. Le nom de mon ami est Amazan. Il n'est pas roi, et je ne sais même s'il voudrait s'abaisser à l'être; il aime trop ses compatriotes: il est berger comme eux. Mais n'allez pas

« L'utopie des Gangarides », ou Voltaire met en place une utopie, qui lui permet de critiquer le clergé qui qualifie de « danger » car pour lui elles sont synonymes de guerres ; mais il met en avant le déisme, qui est la foi sans intermediaire. Il critique la guerre et la politique qui traite de « fléau » ou encore de « maladie », et il insiste sur le fait que ce sont des maladies et non des fatalités, elles peuvent donc etres « soignées », sous entendu « changées ». Le pays des Gangarides est un monde

de 22 Chapitres, titre des chapitres, (dans l'ordre) : L'arrivé d'Amazan ; L'accomplissement de L'Oracle ; Réponse de L'Oracle ; La Fête ; L'oiseau ; La mort du Phoenix ; Les honneurs Funèbres ; L'Hôtellerie ; La Résurrection ; L'arrivée chez les Gangarides ; Le départ en Chine ; Départ en Scythie ; Arrivée chez les Cimmériens ; L'exemple de la fidélité ; Les vents contraires ; Le Milord ; Le rendez-vous ; La ville des sept montagnes ; La fille d'affaire ; L'Inversement ; Les brûleurs ; Le mariage

Lumières réalisé → possibilité de confrontation des modes de pensée - Enumération « un Égyptien, un Indien gangaride, un habitant du Cathay, un Grec, un Celte, et plusieurs autres étrangers » - Voltaire varie les appellations des différents convives tout au long du dîner et joue sur leur nombre et leur diversité → l'Indien est par exemple appelé « Indien », « homme du Gange », « gangaride », « bramin », ... c) La dispute - Violence du ton → « se courrouçant », « s'écria », « s'exclama », «

accompagné par le phénix protecteur pour ce marié. •Formosante part rejoindre amazan, elle part de Babylone passe par le golf du perssique, par l’océan indien, puis par Aden, pour arriver au pays des gangarides. Une course poursuite ce fait entre les deux amoureux : Amazan part du pays des gangarides et vas vers la chine, puis en Scythie, puis chez les cimmériens, puis en Scandinavie, puis chez les Sarmates, ensuite chez les bataves, puis a Albion, puis a paris, à Venise, et pour finir a Séville

Lumières réalisé → possibilité de confrontation des modes de pensée - Enumération « un Égyptien, un Indien gangaride, un habitant du Cathay, un Grec, un Celte, et plusieurs autres étrangers » - Voltaire varie les appellations des différents convives tout au long du dîner et joue sur leur nombre et leur diversité → l'Indien est par exemple appelé « Indien », « homme du Gange », « gangaride », « bramin », ... c) La dispute - Violence du ton → « se courrouçant », « s'écria », « s'exclama

consolation sensible de voir tant d'hommes de diverses contrées réunis dans la même place. Il lui paraissait que l'univers était une grande famille qui se rassemblait à Balzora. Il se trouva à table, dès le second jour, avec un Égyptien, un Indien gangaride, un habitant du Cathay, un Grec, un Celte, et plusieurs autres étrangers qui, dans leurs fréquents voyages vers le golfe Arabique, avaient appris assez d'arabe pour se faire entendre. L'Égyptien paraissait fort en colère. "Quel abominable pays que

celle-ci tels que la richesse « Ces gros diamants qu' Amazan a eu l'honneur de vous offrir sont d'une mine qui lui appartient » (ligne 14) , l'égalité « Les bergers gangarides, nés tous égaux, sont les maîtres des troupeaux innombrables qui couvrent leurs prés éternellement fleuris » (ligne 8) et la puissance « Il suffirait de cents Gangarides et de cents licornes pour dissiper des armées innombrables » (ligne 18).C'est pourquoi j'affirme que cet extrait est bien une utopie telle que dans le roman Gargantua

L'auteur présente ses personnages assez conventionnellement et sommairement, on peut le voir de la ligne 1 à la ligne 10. Il prend des libertés avec les époques car ceux-ci ont vécu pendant différentes périodes (« […] l'Egyptien, un Indien Gangaride, un habitant du Cathay, un Grec, un Celte et plusieurs autres étrangers […] » ligne 6), le mélange de cultures réunies au même endroit suscite bien évidemment la curiosité du lecteur, il se demande ce qu'il va se passer ultérieurement. Contrairement

consolation sensible de voir tant d'hommes de diverses contrées réunis dans la même place. Il lui paraissait que l'univers était une grande famille qui se rassemblait à Balzora. Il se trouva à table, dès le second jour, avec un Egyptien, un Indien gangaride, un habitant du Cathay, un Grec, un Celte, et plusieurs autres étrangers qui, dans leurs fréquents voyages vers le golfe Arabique, avaient appris assez d'arabe pour se faire entendre. L'Egyptien paraissait fort en colère. "Quel abominable pays que