Les Grand Courants De La Pensée Economique

Milton Friedman 1912-2006 Economiste américain Enseignant et conseiller économique Fondateur du Monétarisme**, membre fondateur de l’Ecole monétariste de Chicago**, et créateur du concept de Taux de chômage naturel** Promoteur du libéralisme**, de l’économie libre et du capitalisme Médaille John Bates Clark (1951),« prix Nobel » d'économie (1976),médaille présidentielle de la liberté (1988) Auteur de nombreux ouvrages dont : Capitalisme et Liberté 1962 et Inflation et systèmes monétaires

enjeux du développement » Alternatives Sud, CETRI, 2008 (www.cetri.be) en sont illustrative. Cet ouvrage qui s’inscrit parfaitement dans le courant de pensée que l’auteur nous a habitués, est écrit dans un contexte de la crise financière où les spéculateurs cherchent des secteurs alternatives pour l’investissement, on s’interroge sur le modèle économique dominant et on soulève de sérieux questionnements (souvent sans réponse) sur le modèle du développement à implanter tant au nord qu’au sud.

personnelles, sur les représentations qui nous ont accompagnés jusqu’ici. Il va sans dire que les contextes historiques propres à nos pays, à leur développement politique, économique et social ne peuvent être écartés quant à ce que chacun de nous perçoit au travers de cette notion (le milieu influence notre mode de pensée). Nous aurons rencontré des difficultés liées tant à l’organisation du collectif qu’aux méthodes de travail qui s’avère très différentes de par les systèmes éducatifs que nous

TD 1 : les différents courants de la pensée économiques : des regards croisés sur l’économie et l’entreprise. Le courant Marxiste : Karl Marx a développé dans plusieurs ouvrages, dont le plus connu est Le Capital, une analyse du capitalisme ayant eu une influence considérable sur la pensée économique et politique. Pour Marx, le capitalisme se développe grâce à l'existence d'une catégorie sociale, formée d'hommes dépourvus de moyens de production et ainsi contraints de vendre leur force de travail

Campanella ou de Cabet (Les Premières Utopies, rééditions ex nihilo, 2009, paru d'abord en 1938), Régis Messac donne une définition restrictive du terme Utopie. « Le mot d’Utopie, forgé par Thomas More, et de nom propre devenu générique, est d’usage courant pour désigner les œuvres littéraires qui, sous une forme fictive et narrative, nous offrent l’image d’un État idéal, où tous les maux et les torts de la société présente sont guéris et redressés. […] ce genre littéraire […] fut longtemps le principal

ressources rares pour la satisfaction des besoins humains. Différentes théories décrivent et commentent la réalité économique, offrant une diversité d’éclairages dans les explications et dans les méthodes. Capitalisme et socialisme reposent sur des principes opposés, principalement la reconnaissance de la propriété privée ou au contraire son abolition. I. L’OBJET DE LA SCIENCE ECONOMIQUE ● La satisfaction des besoins Les hommes vivant en société aspirent à satisfaire leurs besoins individuels

soit régi par une logique de productivisme économique, nous restons aveuglés par une conception idéale du travail héritée de Marx, et qui envisage le travail comme une œuvre, c’est-à-dire un mode d’expression de soi.§1- Thèse adverseArgument avancé par ceux qui affirme permet à l’individu d’être autonome : le passage du travail industriel au travail intellectuel (niveau de qualification plus élevé) favoriserait l’indépendance du travailleur et une plus grande liberté.§2- Trois objections :- « En premier

Tout d’abord, le 19e siècle représente pour le monde occidental une période de changements monarchiques et de bouleversements économiques. C’est-à-dire, des confrontations d’idées politiques et de mutations de pouvoirs dans les empires européens, tout particulièrement entre le mouvement traditionaliste et la révolution des rationalistes capitulée par le Congrès de Vienne en 1815. Le retour au traditionalisme par une monarchie absolutiste en France se traduira par la révolution de juillet 1830

pragmatisme. Par rapport au pragmatisme de Pierce qui mené au consensus, ici on est plus proche a celui de James qui lui insistait sur l’importance des conventions pour faire face a l’incertitude. Cette notion de convention tient une place centrale dans la pensée de Keynes. L’économie de Keynes est basé sur des variable psychologique. Section 1)Sraffa : épistémologie de l’artifice On trouve une critique de l’économie, et notamment de l’école anglaise et surtout de Marshall. Il a modifié la façon d’envisager

Grands courants de la pensée économique Pensée économique qui est annexe et qui influence d’autres pensées aux IVème siècles avant JC. Aristote le développe avec de très lourdes conséquences sur la théorie de l’époque car il va condamner les taux d’intérêts, les prêts salariés et le commerce. XVIème siècle, la pensée économique va se développer et l’on quitte le domaine de la famille pour se consacrer aux pays. Les précurseurs 1 Le mercantilisme La richesse des nations est l’enrichissement