Les Lectures Au Couvent

d'un humaniste Erasme, théologien néerlandais est né à Rotterdam en 1469, d'une famille d'origine modeste. Orphelin à 14 ans, il rentre au couvent et il obtient une bourse pour faire ses études au collège Montaigu, à Paris, où Calvin se rendra par la suite. Là, il développe son goût pour les Humanités (lecture des textes anciens, de l'Antiquité païenne, lecture de la Bible, contemplation) et naît en lui l'envie de rendre accessible les textes bibliques, noyés dans les commentaires de la scolastique

BILAN DE LECTURE On ne badine pas avec l'amour Alfred de Musset I)Présentation de l'auteur . Alfred de Musset Nait à Paris le 11 décembre 1810 , sous l'empire , dans une famille cultivée de la petite noblesse.C'est à la fois un dramaturge , un poète et un romancier du courant littéraire romantique .Il fréquente les poètes du Cénacle romantique et la jeunesse dorée des dandys .Il rencontre en 1833 la romancière George Sand et entretient

garder près de lui les cendres mortuaires de son épouse. Il est vrai aussi que dans La Duchesse de Langeais Montriveau a recours aux compagnons pour enlever la duchesse, à Paris d'abord, puis une deuxième fois, alors qu'elle s'est réfugiée dans un couvent. Henri de Marsay, protagoniste de La Fille aux yeux d'or, agira d'une manière semblable lorsqu'il se fera accompagner de trois amis, dont Ferragus, en allant chez Paquita afin de se venger d'elle. Il n'est pas moins vrai que le nombre treize donne

8°) L’éducation des filles aux fils des siècles : Education des filles étaient avant tout religieux au XVIème siècle (travaux domestiques, catéchisme). La religion était transmise de mère en filles, c’est-à-dire que si la mère avait été au couvent la fille devait y aller obligatoirement et ainsi de suite … Très peu de filles sortent de cette éducation ( qui prenait une place importante l’église) ! Certaines pensées humanistes montrent la nécessité de l’éducation des femmes (exemple : De

LA RELIGIEUSE DE DIDEROT Introduction [modifier] En 1760, Denis Diderot commence la Religieuse, roman sous forme de mémoires qu’une religieuse échappée du couvent adresse au marquis de Croismare pour solliciter son aide. Il s’agissait en fait d’une mystification de ses amis qui voulaient attirer de nouveau à Paris le marquis qui s’était retiré chez lui en Normandie. En 1780, Diderot en reprend l’écriture ; les différents épisodes sont publiés en feuilleton, entre 1780 et 1782, dans la Correspondance

garder près de lui les cendres mortuaires de son épouse. Il est vrai aussi que dans La Duchesse de Langeais Montriveau a recours aux compagnons pour enlever la duchesse, à Paris d'abord, puis une deuxième fois, alors qu'elle s'est réfugiée dans un couvent. Henri de Marsay, protagoniste de La Fille aux yeux d'or, agira d'une manière semblable lorsqu'il se fera accompagner de trois amis, dont Ferragus, en allant chez Paquita afin de se venger d'elle. Il n'est pas moins vrai que le nombre treize donne

de Molière : un homme d’âge mûr, Arnolphe, cherche à se marier mais redoute que sa future femme ne soit trop libre : pour contourner cette difficulté, il décide d’épouser sa pupille, Agnès, et entreprend de l’éduquer à la docilité à sa sortie du couvent. Mais Agnès aime un jeune homme, Horace, et entend se soustraire aux projets de son tuteur. L’extrait proposé se situe au moment où Arnolphe vient tout juste d’apprendre l’existence de l’amour d’Horace et d’Agnès, de la bouche d’Horace lui-même,

Lecture analytique de la lettre I Introduction : Ecrit par Choderlos de Laclos au 17e siecle, le siècle des lumieres, les liaisons dangereuses est un roman épistolaire d'analyse. Il se consacre a l'exploration des sentiments des personnages pour mieux discerner l'envers du décor dune société rafinee et polie. L'éducation et le raffinement sont dans les liaisons dangereuses au service du mal. Dans la 1e lettre du roman, cest Cécile de volange, encore jeune et ingenue qui s'adresse à son amie,

M’inspira de l’amour pour elle dès quatre ans ; Sa mère se trouvant de pauvreté pressée, De la lui demander il me vint la pensée ; Et le bonne paysanne, apprenant mon désir, A s’ôter cette charge eut beaucoup de plaisir. Dans un petit couvent, loin de toute pratique[8], Je la fis élever selon ma politique, C’est-à-dire ordonnant quels soins on emploirait Pour la rendre idiote autant qu’il se pourrait. Dieu merci, le succès a suivi mon attente : Et grande, je l’ai vue à tel point

de qualité Fonctions de l’incipit : Présentation 1) des personnages 2) de l’action qui va se dérouler 3) du lieu et de l’époque à laquelle se déroule l’action Dans le but de susciter l’intérêt du lecteur et donner envie de poursuivre la lecture. Montrer les éléments qui font la particularité de cet incipit. In medias res : Le narrateur et le lecteur entrent directement dans l’action. Cet extrait nous présente la rencontre entre Renoncourt, et les deux personnages principaux de l’œuvre :