Les Lieux Dans Germinal

Le corpus de documents se compose deux de textes qui ont le même auteur : Emile Zola. Le premier est un extrait de L’Assommoir datant de 1870, tandis que le seconde est un passage de Germinal, partie 1, chapitre 3, datant de 1885. Ces deux extraits de romans décrivent tous deux une scène de la vie quotidienne : Gervaise Macquart va « prendre une prune » avec un ouvrier (texte 1), Etienne Lantier découvre le « Voreux », le plus grand puits d’une mine de charbon. Il s’agit donc ici de deux univers

E. Zola, Germinal (1885)      Dans la plaine rase, sous la nuit sans étoiles, d'une obscurité et d'une épaisseur d'encre, un  homme suivait seul la grande route de Marchiennes à Montsou, dix kilomètres de pavé coupant  tout droit, à travers les champs de betteraves. Devant lui, il ne voyait même pas le sol noir, et il  n'avait la sensation de l'immense horizon plat que par les souffles du vent de mars, des rafales  larges comme sur une mer, glacées d'avoir balayé des lieues de marais et de terres nues

personnifiée, ce qui participe à dramatiser la situation. La force de persuasion de Victor Hugo se reflète également dans l’anaphore des verbes de paroles : "je ne dis pas (…), je ne dis pas (…), je dis (…), je dis (…)" (l.8-9). Il utilise aussi des lieux et des périodes : "pas en Irlande", "pas au Moyen- Âge", "en France", "au temps où nous visons" (l.8-9), cela insiste sur le fait que ce soit une situation proche et présente. Les mots et le rythme constituent alors une réelle arme de persuasion

Monet et Manet puisque vers ses 18 ans il partit vivre à Paris. Echouant dans ses études, il vivait d’articles dans la presse jusqu’à ce qu’il s’inspire de Balzac et écrive « l’Assommoir » en 1877 qui fut son premier succès ainsi que « Nana » et « Germinal ». Par la suite il vécut à Médan, d’où il créa un club littéraire et fit naître le terme de naturalisme. De plus, il était un ami de Claude Bernard (biologiste), il le prit pour modèle et écrivit des livres d’un regard scientifique, dont il en tira

mission comme rédiger des 4emes de couverture. Il rencontre comme ça Lamartine par exemple. Il devient un professionnel de l’écriture. Cela va découler vers une activité journalistique (J’accuse par exemple). C’est avec son 1er succès Germinal (1877) qu’il devient populaire et qu’il gagne de quoi vivre. Autour de 1867 il se concentre sur l’écriture romanesque. C’est l’année qui amorce le projet des Rougon-Macquart. Zola affiche une ambition scientifique, elle n’est pas du

minutieuses réalisées sur le terrain comme Zola qui avant décrire Germinal descendra dans une mine. Ils utilisent surtout le style indirect libre, la parole du narrateur est remplacée par celle du personnage sans qu'il n'y ait de marques du discours direct. Les descriptions sont très présentes puisque le narrateur ne fait que retranscrire ce que voient les personnages. Elles sont aussi très précise. Tout est minutieusement décrits comme les lieux ou les personnages. Les réalistes font preuve d'objéctivité

la construction du récit à travers les époques identifiables et les éléments référentiels. Puis nous verrons comment l’auteur à travers sa création nous transmet une vision personnelle. Le roman s’inscrit dans une époque donnée par exemple dans Germinal d’Emile Zola il fait référence à la révolte des mineurs a la fin du 19ème où bien encore dans Les misérables de Victor Hugo il se réfère aux guerres napoléoniennes.Dans le roman on nous renvois a des personnages historique et des régimes politique

est une agglomération ouvrière, construite pour les mineurs, situé tout près de leur lieu de travail. Les maisons sont collées les unes aux autres et possèdent un bout de jardin. Les allées ne sont pas tracées, et il y a plusieurs lieux communs (puits..). Dans Germinale, les maisons sont constituées d’environ deux pièces : la première, « la pièce du bas », où tout le monde vit, mange, se lave, et celle du haut, soit les chambres. Zola décrit le coron comme étant un endroit sale ; pour pouvoir mieux

l’image de « Germinal ». Nous devons passer de l’état de fascination face à l’écran total à celui de l’observation de ce que nous ne voyons pas et qui est sous nos yeux. Il s’agit de se laisser impressionner, dans tous les sens du terme. Nous ne pouvons nous empêcher d’évoquer l’importance du choix des acteurs, aussi bien dans « Macbeth » d’Orson Welles (lui-même), « Jules et Jim » (Jeanne Moreau) que dans « Le Guépard » (Burt Lancaster, Alain Delon, Claudia Cardinale) ou « Germinal » (Renaud, Depardieu

nom 1. Symbolisme phonétique 2. Symbolisme sémantique 2. L'individu 1. L'individu-signe, la dualité et l'androgynie comme symboles 2. l'univers imaginaire des personnages, animalisation et mécanisation 3. Groupe CHAPITRE II : LE SYSTÈME DES LIEUX 1. Un espace clos : l'habitat 1. La clôture voulue : les mauvais foyers 2. La clôture subie : les foyers asphyxiés des pauvres 2. Un espace transfiguré : le décor symbolique 1. Les labyrinthes 2. Les sanctuaires infernaux CHAPITRE III : LE