Les Limites De La Théorie De Crozier

MANAGEMENT PARTIE 1 – LES THEORIES ORGANISATIONNELLES TRADITIONNELLES Chapitre 1 – La théorie classique des organisations Introduction Dès 1910, une première vague d’auteurs autant praticiens (Frédérik TAYLOR et Henry FAYOL) que chercheurs dans d’autres disciplines (Max WEBER) ont tentés une approche dite « classique de l’organisation », fondée sur la philosophie mécaniste, en vogue à cette époque. Ainsi, l’organisation doit être régie de manière rationnelle de façon à optimiser les objectifs

organisations ? ________________________ 4 1. 1. A quoi sert la sociologie des organisations ? _____________________ 4 1. 2. Des approches différentielles _________________________________ 4 2. Approche sociologique de la formation : intérêts et limites ___________ 5 3. L’analyse stratégique _________________________________________ 7 3. 1. L’analyse stratégique _______________________________________ 7 3. 2. Une formation « stratégique » ? _______________________________ 7 4. L’approche en termes

(Dans un contexte aléatoire (probabilité) : calcul probabilités (Dans un contexte incertain (ni déterminé ni probabilités) : trouver des critères de choix par tâtonnement. (Dans un contexte hostile (environnement est contraire) outils= ceux de la théorie des jeux III/ Informatique et aide à la décision Des outils informatiques permettant d’améliorer l’efficacité et la pertinence de la prise de décision ont été développés. 1) Les SIAD Système interactif d’aide à la décision. Outils informatiques

qu’après une étude exhaustive du travail du cadre puisqu’il n’existe pas « one best way ». 3. Les limites et les critiques émises Dans sa thèse « Une approche théorique contingente et une étude empirique du cas des entreprises manufacturières belges », Sophie Marquet-Pondeville fait état de deux critiques de la théorie de la contingence. 1. Selon Crozier et Friedberg, cette théorie serait une nouvelle approche universaliste malgré la manière dont elle se définit puisque souvent les conclusions

CHAPITRE I : Concept de Pouvoir dans les organisations • Définition du pouvoir • Pouvoir et organisation CHAPITRE II : Les approches théoriques du pouvoir dans les organisations : • Le pouvoir selon max WEBER • L’approche du pouvoir selon Crozier et friedberg • Les modèles du pouvoir organisationnel selon Mintzberg CHAPITRE III : Les sources du pouvoir dans l’organisation CONCLUSION BIBLIOGRAPHIE INTRODUCTION Les notions de pouvoir et organisation sont intimement liées, une

d'entreprise au service de la stratégie La culture est facteur de cohésion : elle résout les problèmes d’intégration (langage commun, communications facilitées..). Elle réduit l’incertitude liée aux comportements des salariés (zone d’incertitude de Crozier et Friedberg liée à l’autonomie de décision et donc au pouvoir de chaque salarié). Elle encourage la loyauté des salariés, développe leur sentiment d’appartenance. La culture est en quelque sorte un mode de contrôle des comportements des salariés

Propose une nouvelle gamme de salons de jardin. Choix : La phase de sélection de la solution qui semble la meilleur compte tenu des diverse contraintes. Il choisit de lancer une nouvelle activité. C’est la théorie du décideur à rationalité limitée d’après Herbert Simon : Le décideur a des limites physiques et intellectuelles. La décision a été prise seule par le dirigeant et de façon instinctive donc c’est une décision stratégique car cette décision concerne les relations de l’entreprise avec son environnement

division du travail Jean-Baptiste Say (1803): inclure les activités de services dans les activités productives David Ricardo (1817): spécialisation des tâches → La pensée économique classique a ainsi largement influencé le courant rationnel de la théorie des organisations (Taylor, Ford, Fayol, Weber) 2- F.W. Taylor et le taylorisme Ingénieur américain, publie en 1911 « Les Principes de la direction scientifique », prônant une révolution de l’état d’esprit des directions d’entreprises et des ouvriers:

idéal de société. Même si toute considération religieuse n’est pas exclue, la religion n’est pas au centre de leur démarche. En revanche, les penseur de la tendance théologique tel que St. Augustin retiennent les dogmes religieux comme base de leur théories philosophique. La société en tant que telle s’efface alors devant la religion qui dicte l’organisation et le fonctionnement de ce que devrait être la cité. ! Platon (428-387) dans sont livre parle de plusieurs idées sur les valeurs et l’idéal de l’Homme

conditions matérielles et leur influence sur le rendement et la productivité. L’analyse des motivations du salarié, en dehors de l’aspect financier, dut attendre les analyses menées par Elton MAYO. Ces travaux ont considérablement révolutionné les théories d’organisation et de management. Le salarié n’est plus un simple rouage, mais un être social qui attache une grande importance à son appartenance à un groupe. Les thèses de Mayo incitèrent à approfondir l’étude de l’homme au travail et la satisfaction