Les Limites Du Toyotisme

juste un lieu de production mais que c’est aussi une entreprise qui a une identité Le management doit mettre l’accent sur l’identité plutôt La force de l’intégration en entreprise va reposer sur la confiance plutôt que sur l’autorité. III. le toyotisme et la lean production On peut le traduire par du post fordisme. Ses caractéristiques : - On va se diriger vers une démarche de qualité en donnant plus de responsabilité et un travail plus complexe aux ouvriers Comment ce travail devient plus

pour s'approvisionner en matières premières, ce qui limite sérieusement la production ou la qualité. II- LA REMISE EN CAUSE DE L’OST AMENE DE NOUVELLES DYNAMIQUES A) Les limites du modèle fordiste La production de masse si elle permet une forte réduction des coûts de production dans les premiers temps a montré également qu’il existait un plafond aux gains de productivité. Les coûts variables ne peuvent diminuer de manière constante. La limite a ainsi été atteinte dès les années 60 en Europe et

transformée de manière à rendre toujours plus performante la division du travail. Vous avez déjà vu (en SES en seconde ou en Histoire) que l'on distingue traditionnellement trois grandes formes d'organisation du travail : le taylorisme, le fordisme et le toyotisme. Chacune d'entre elles a apporté des solutions particulières pour améliorer les méthodes de travail.  Le taylorisme a accru l'efficacité du travail en le parcellisant et en séparant la conception de l'exécution. Taylor est un ingénieur américain

des économies d’échelle (Baisse du coût moyen) - Le système du «five dollars a day. » : il s’agit en fait d’une augmentation du salaire minimum quotidien réalisée en 1914 dans les usines Ford . Objectif(s) : Fidéliser la main d’oeuvre et donc limiter le TURN OVER dans ses usines. Remarque : Recherche de débouchés pour sa production auprès de ses propres salariés Le cercle vertueux du fordisme Le fordisme est donc un modèle de croissance dans lequel les permettent des augmentations de salaires

responsabilités aux salariés, plus d'autonomie, et une logistique efficace. L'enrichissement des tâches amène le salarié à prendre en charge la tâche depuis ses activités de conception jusqu'aux activités de contrôle. II-Le Toyotisme A la fin des années1970, le Toyotisme est une première réponse aux difficultés du modèle taylorien-fordien, grâce à sa grande réactivité face au marché. Les procédés de fabrication reposent tout d'abord sur une meilleure intégration des personnels, plus polyvalents

du niveau culturel des ouvriers la permet et la rend psychologiquement nécessaire, car elle fait davantage appel aux qualités intellectuelles de la MO. 1. Les formes du « post-taylorisme » dites « Toyotisme » Les nouvelles méthodes de travail sont évoquées sous le vocable de “toyotisme”, la firme Toyota ayant représenté le précurseur des nouvelles méthodes de gestion de la qualité et de la production. ¬ la rotation des postes : l’ouvrier occupe successivement différents postes de travail

(l’ouvrier devient alors un simple exécutant). * Une organisation du mode de production fondée sur un modèle répétitif de tâches élémentaires simples : le travail étant décomposé selon des tâches faciles et rapides à exécuter, l’ouvrier est limité dans son travail à la réalisation d’un nombre minimum de tâches spécialisées. * Une organisation de la production fondée sur la succession des tâches élémentaires : d’un point de vue organisationnel, l’entreprise organise sa production dans

compatibles ? Paradoxe ? - L’éthique est-elle compatible avec la notion de rentabilité ? - L’éthique d’entreprise est-elle rentable ? - Quels sont les atouts d’une démarche éthique ? aux niveaux interne et externe de l’entreprise ? 1. Limite : éthique pas réellement rentable pour l’entreprise / Les déboires de l’éthique 1. Une relation paradoxale Ethique/Rentabilité 1. Une entreprise est par définition rentable, pas éthique (définition de Lionel ROBBINS, essay on the

Chapitre : Organisation du travail et croissance Une des limites des organisations tayloristes peut résulter de problèmes relatifs à la qualification des ouvriers. En effet, à partir des années 70-80, les nouvelles technologies se diffusent largement dans les usines (machines à commandes numériques, robots). L’efficacité de l’organisation productive repose alors essentiellement sur le taux d’engagement des machines. Ce qui importe, c’est que celles-ci soient le plus souvent en état de marche

un formidable développement économique caractérisé par l’émergence d’une production et d’une consommation de masse. Ceci explique en partie la croissance économique des années d’après-­‐guerre appelée en économie les « Trente glorieuses ». Les limites du Taylorisme-Fordisme : A. Crises liées aux conditions de travail : * Travail répétitif, abrutissant = non épanouissant * Evolution pyramide des âges : jeunes acceptent de moins en moins leurs conditions car plus formés et n’ont pas