Les Limites Du Toyotisme

déplacement est aujourd’hui considéré comme une non-valeur ajoutée. Un temps mort qu’il faut limiter voir supprimer pour rentabiliser la production. Les pièces en bord de ligne ont été rapprochées au maximum des opérateurs. Comme le préconise la méthode japonaise importée depuis quelque année par tous les constructeurs. La méthode précédente venais de chez Ford aux États-Unis. Son but n’était pas de limiter mais de rentabiliser le déplacement. b) Relation avec ses ouvrier, employés

de masse réalisée par une main d’œuvre peu qualifiée • Le modèle Suédois : délégation des responsabilités, appel à l’esprit d’initiative ; il réduit le turn-over. • Le modèle Japonais ( toyotisme ) : le « juste à temps » : mode d’organisation de la production qui consiste à éliminer ou à limiter les stocks : on ne fabrique que lorsque le client a besoin d’être livré. Implication des travailleurs aux objectifs de l’entreprise, mobilisation et développement des compétences. Il est caractérisé

l’organisation taylorienne du travail a-t-elle été un facteur de forte croissance des années 50 et 60 avec de forts gains de productivité dans le cadre des production et consommation de masse.Cependant ce mode d’organisation du travail a montré ses limites et doit être repensé dans un contexte de crise dont il constitue sans doute l’un des facteurs. Après avoir étudié en quoi l’organisation actuelle du travail dans les pays développés s’éloigne du taylorisme, nous montrerons que ce dernier est loin

aire difficile à délimiter : elle comprend le Japon, la Corée du Sud, Taiwan, la Chine littorale et Singapour. Cependant, l’aire de puissance de l’Asie orientale est bien en expansion sur le plan spatial. Il est donc difficile de lui assigner des limites strictes. Elle peut potentiellement s’élargir aux « pays émergents » voisins de l’Asie du Sud-Est tels que : les Philippines, le Vietnam, l’Indonésie, la Malaisie ou la Thaïlande, débordant ainsi le cadre formel des pays du Nord. De plus, la façade

organisations du travail A partir des années 70, le modèle fordiste va atteindre ses limites. Les besoins de consommation se modifient et les consommateurs souhaitent désormais des biens plus diversifiés. Au sein des entreprises, les tensions naissent entre les ouvriers et les employeurs, le travail à la chaîne est remis en cause ainsi que la rigidité de l'organisation du travail. Le fordisme a également montré ses limites face aux besoins de diversification de la production et face à la concurrence

La décentralisation : le fait de transférer le pouvoir de décision au niveau le + proche possible de l’exécution. Ds les org il y a des pouvoirs de décisions strat, cette décentralisation va entraîner des décisions opérationnelles et pas strat. Limites de ces 2 approches : La considération du facteur humain ds l’org : par ces écoles il y a un manque de considération puisque les ind ne sont pas considérés comme tel mais machines. Pas de possibilité de prendre des initiatives, mode de management

rendement + primé lié à la pté) engendre des gains de pté → ↗pté → ↗ croissance 2. La croissance Fordiste. • Les principes du fordisme → Le fordisme maintient la division du L mais Ford met en œuvre un système de convoyage : la chaine de montage → limite les déplacements et impose une cadence. → Le compromis fordiste : Ford augmente les salaires pour qu'ils acceptent la pénibilité du travail : Il fidélise les ouvriers grâce au 5$ day. → Standardisation : p° d'un modèle unique à grande échelle : adapté

s’enrichit aide la société. En cherchant son intérêt personnel, il s’emploie à servir l’intérêt collectif. C’est notre penchant à commercer lié à la recherche de notre intérêt individuel qui donnera à la D. du W son caractère nécessaire. - L’Etat doit limiter son intervention à l’indispensable (armée, justice, travaux public) L’Etat devrait prendre en charge les effets pervers de la D. du W sur le salarié (savoir lire, compter, un minimum de moral, bon citoyen). Impôt plus juste. Pas de pol éco. VI

première apparition dans l´industrie d´automobile sous la forme du fordisme, et sloanisme que, furent à partir les années 1950-1970 6 littéralement séduite par les idées Ohnistes venues de l´empire du soleil levant, sous la dénomination du toyotisme. Selon Taylor(6), le fonctionnement de l´entreprise relève de sa rationalisation structurée autour des trois principes fondamentaux que voici :  organisationnelle   Différenciation absolue entre les processus de conception et ceux de l´exécution

lui-même influencer. Un système est composé de 4 parties : - les éléments : plus petites unités pertinentes qui constituent le système - les voies de communication : support permettant la circulation de la communication - les limites, le système à considérer : frontières entre le système et son environnement - les réservoirs : lieux physiques réservés au stockage de l’information, de l’énergie, des matériaux. Centres de décision : personnes qui ont un pouvoir d’action