Les Lumières de la ville

travers l'obscurité, l'absence du soleil comme le dit Philippe « Voilà la nuit; la ville se couvre de profondes ténèbres ». Dans l'acte I,1, on se retrouve en pleine nuit lors d'un clair de lune. Cela indique que dès le début de la pièce, on est plongé dans les abimes de l'enfer. Nous n'assisterons donc pas à la descente de Lorenzo en direct car il est déjà corrompu et débauché au début de la pièce; les gens de la ville le nomme déjà Lorenzaccio; il est déjà en enfer. Cet enfer est en fait une recherche

siècle basilique St Pierre de Rome, 1506-1626 LE VOLUME ET LA SURFACE RÉSUMÉ Le voLume °Dans ce chapitre Le Corbusier met en avant l’importance de la compréhension d’une architecture par des formes géométriques simples et par l’ombre et la lumière. La forme simple °Pour Le Corbusier l’architecture à une portée beaucoup plus importante que de faire du beau. Une belle architecture doit être lisible et claire, construite avec des formes simples. SILO À BLÉ °La compréhension d’un bâtiment

s’ouvre, la Révolte ou la Mort ne lui sont d’aucun secours, il lui faut rester dans ce vertige et s’y complaire. Pour cette enquête sur soi-même, pour cette quête toujours renouvelée d’une raison de vivre, quel moment plus favorable que le soir ? La lumière resplendit et disparaît, messagère symbolique d’espoir et de mort ; le ciel serein promet l’apaisement, la nuit qui vient, l’oubli dans le néant. Comment le soir ne serait-il pas le moment privilégié, aimé du poète ? Situation et importance du thème

sévit dans la ville, en étant coupable à la fois de parricide et d’inceste, pour avoir tué son propre père et épousé sa propre mère, Jocaste, à son insu. « Ah! Lumière du jour, que je te voie ici pour la dernière fois, puisqu’aujourd’hui, je me révèle le fils de qui je ne devais pas naître, l’époux de qui je ne devais pas l’être, le meurtrier de qui je ne devais pas tuer ! » (Sophocle, 2011,p.78) Du point de vue du narrateur, Œdipe est responsable de la calamité qui s’abat sur la ville, donc ce n’est

présentés. Ces quatre poème ont pour thème commun la ville. Nous allons étudier quel image de la ville se dégage de ces textes. Dans une première partie nous verrons les aspects positifs et dans une seconde les aspects négatifs. Certes ces quatre poème parlent tous de la ville, mais à travers leurs vers, ils expriment un opinion différent de celle-ci. Ainsi dans Rêverie de Victor Hugo et dans Rêve Parisien de Baudelaire, l'aspect positif de la ville est montré. Cet aspect positif est représenté dans

 Introduction     CHAPITRE  2  :  La  chose  architecturale     CHAPITRE  3  :  Donald  Judd     CHAPITRE  4  :  Le  minimalisme     CHAPITRE  5  :  Land  Art     CHAPITRE  6  :  La  ville,  inducteur  existentiel   T h é o r i e   d e   l ’ a r c h i t e c t u r e   4 ,   2 4 h   T h ,   L A N T A I R   G e o r g e s   Chapitre  1  :  Introduction       I) L’enjeu  –  le  jeu

toile monochrome est le symbole des horreurs de la guerre, inspiré du bombardement de la ville de Guernica, le 26 avril 1937, pendant la guerre d’Espagne, par l’aviation nazie, alliée de Franco. 26 avril 1937 : C’est un jour de marché à Guernica. Cette petite ville emblématique du pays basque est la cible d’un raid aérien nazi. A la demande de Franco, quatre escadrilles de la légion Condor bombardent la ville. Un des objectifs de ce raid est de tester leurs nouvelles armes. La légion Condor est une

Guernica. La petite ville basque est la cible d’un raid aérien allemand. A la demande de Franco, quatre escadrilles de la légion Condor bombardent la ville de Guernica qui se trouve au nord de l’Espagne. Un des objectifs de ce raid était de tester leurs nouvelles armes. La Légion Condor était une force aérienne allemande, envoyée par Hitler afin de soutenir le général Franco qui est son allier. L’objectif n’est pas militaire, le but est bien de tuer un maximum de civils car, dans la ville de Guernica, ne

antiques, de documents graphiques et de reconstitutions. [pic] Créée en 1995, la « Cité muséale » d'Henri Ciriani avait pour but de permettre aux visiteurs de déambuler librement dans le musée comme dans une ville afin que le musée complète utilement la visite des grands monuments de la ville. Ainsi, la présentation de l'exposition est principalement chronologique mais différents thèmes sont développés dans des espaces individualisés grâce, notamment, à la variété de dispositifs muséographiques. Le

annoncé en premier, puis le lieu «l’Hôtel de ville », l’heure « deux heures du matin » et enfin le temps « l’orage ». Le lieu où se déroule l’action est paris, comme pour l’identité du peintre, la graduation vers la précision des lieux est présente avec « l’Hôtel de ville », « les Halles », et « Paris ». Le lecteur est ensuite immergé dans les ruelles parisiennes avec l’accumulation des noms de ville et des monuments, Zola dresse le paysage de cette ville comme si le lecteur pouvait suivre la marche