Les Lumières Métaphore

ces ruines ». On observe dans ce champs lexical une métaphore: «la cité fossile» qui montre que la ville s'est immobilisée dans le temps et que les ruines se sont conservées. On relève aussi un champs lexical opposé, celui de la lumière: « la lune illuminait », «lueur blanche », «maisons pâles », «tranche de lumière », «ombre bleuâtre », « jour », « teintes ménagées», «clarté crue du soleil », « rayon », «portion éclairée ». La lumière de la lune redonne vie à la ville et éclaire les ruines

ensations (point de  vue interne, omniscient).  Etat psychologique : Une seule idée occupe sa tête, l’espoir, il ne put résister  => détermination.  Figures de style : métaphore : « Les lanières du vent d’Est le faisait saigner » => le vent est  comparé à un fouet.   « Et comme s’ils étaient suspendu » => mirage = lumière = espoir.  L’auteur fait un zoom : Un homme => L’homme (article indéfini => article défini). Le personnage  se rapproche du lecteur.  Le personnage est privé d’identité et de but

* Champs lexical de la nature + vers 1 et 3 : personnifications => description positive de la nature, elle apparait verdoyante et accueillante * Tous les éléments sont présents et sont unis : l’eau, la terre, la végétation, la lumière ex : oxymore « lumière pleut » => nature harmonieuse * Termes péjoratifs qui peuvent annoncer de manière implicite la fin du poème : « trou » = blessure, tombe ; « haillons » = misère 2ème Quatrain : * Vers 5 : Rythme saccadé + périphrase : article

rencontre entre Ruth et Booz, car ils auront ensembles une descendance . Néanmoins, le vers 63 contient essentiellement des termes du champs lexical de l'inconnu et de l'incertain : « espérant », « on ne sait », « inconnu » et introduit la notion de lumière avec le mot « rayon ». Il est important de également de souligner le temps : « viendrait » est le seul verbe au conditionnel présent de l'extrait étudié, le reste étant en très grande majorité à l'imparfait. Notion que l'on retrouve dans le dernier

et un « je » Sentiment amoureux et éloge de la femme aimée : « cœur » « douceur » « lumière » Musicalité qui rappelle la lyre d’Orphée grâce a : Des allitérations Des rimes internes vers 4 Des rimes brisées vers 7 8 12 13 Poème composée de vers réguliers et poème hétérométrique  Harmonie visuelle B. La modernité de ce poème grâce à des images insolites. Élément du cosmos renvoient par métaphore aux yeux qui regarde et sourit au monde. « les ailes » V8 Oiseau ? Paupière ? Les

l'évolution intérieure du bagnard, l'Homme naturellement bon est devenu haineux comme l'Homme tombé du navire qui se noie. Métaphore filée tout au long du passage dénonce la cruauté du système judiciaire. Fiche d'identité : Texte narratif, descriptif, poétique Argumentation indirecte (dernières lignes donnent la clé de la métaphore) Registre pathétique (détresse humaine), épique (métaphore + violence, grossissement, combat impressionnant) Fin du texte : ton d'indignation, d’imprécation, de déploration

Chatterton, Alfred de Vigny Introduction : * Romantisme = opposition au rationalisme des Lumières Chatterton = image du poète qu’est de Vigny. Comme Chatterton Vigny = déçu du Monde ( au niveau militaire + pol = carrières à peine ébauchées En amour = déception ) ( 1837 : se retire de la vie sociale = exil intérieur Mort sociale = forme de suicide = comme Chatterton suicide physique. * passage = acte I sur III (/ théâtre classique = 5 actes) Acte I = acte d’exposition <

a deja eu lieu et que la vie du poete a deja ete changee. « Que serais-je sans toi » est repete trois fois et est suivi de trois metaphores. Sans Elsa le poete ne serait « qu’un coeur au bois dormant » Sans Elsa, il ne serait « qu’une heure arretee au cadran de la montre » Sans Elsa, il ne serait « qu’un balbutiement » « Un coeur au bois dormant » Cette metaphore nous rappelle le conte « La Belle Au Bois dormant » ou la princesse endormie attend qu’un prince vienne la reveiller en lui donnant

hyperboles, comparaisons et métaphores. L'attaque du soleil, de la plage et du sable est en crescendo et Camus utilise pour cela la personnification (et l'hyperbole afin de traduire l'émotion intense de la situation)“toute une plage vibrante de soleil se pressait derrière moi)( la brulure du soleil gagnait mes joues) ( la lumière a giclé sur l'acier). Ensuite il utilise les comparaisons (c'était comme une longe lame étincelante). Tous les champs lexicaux représentent la lumière, l'éblouissement, la soleil

liberté (l 1) «Je suis libre » Par son acte, il vient de se découvrir : libre et responsable (l 9) « Ma liberté c’est lui » revendication d’un acte autonome (l 8) « J'en rendrai compte » Pour Electre, affirmation du contraire - absence de lumière - peur des mouches, elle est la seule à avoir peur (l 31-32) « Que nous importe les mouches ? » « …, les déesses du remords » Seule Electre connaît le remords II.L’appropriation du mythe par l’auteur 1. Le thème de l’engagement Un homme s’assume