Les Lumières Métaphore

(ou même entre les phrases). Le jour tombait. La terre devenait grisâtre. J’attendais, l’oeil fixé sur la ligne des arbres où l’un des deux chemins conduisait tout droit. J’étais inquiet. (Henri Bosco) Catachrèse consiste à employer un mot par métaphore pour désigner un objet pour lequel la langue n’offre pas de terme propre. -« les pieds d’une table » -« les bras d’un fauteuil » - « les ailes d’un avion » Chiasme Deux expressions se suivent, mais la deuxième adopte l’ordre inverse (A-B/B’-A’)

un ouvrage de rhétorique. Ami de Diderot, et de d’Alembert, maîtres d’œuvres de l’Encyclopédie il est chargé par eux de rédiger pour cet ouvrage l’article « Philosophe » qui reflète l’idéal de tout un mouvement littéraire : le mouvement dit des « Lumières ». Il s’agit à l’évidence moins d’un article de dictionnaire au sens classique du terme que d’un texte argumentatif défendant une certaine conception de la philosophie. Nous montrerons que ce texte illustre son titre de façon ordonnée, systématique

la réalité : comparaisons, métaphores, personnifications… Ainsi, les quatre poètes du corpus, Hugo et Heredia au XIXe siècle, Ponge et Jaccottet au XXe siècle, recourent à des images saisissantes pour rendre compte du monde sensible qui les entoure. • Hugo, dans Les Contemplations, pense que « tout est plein d’âmes » ; aussi mélange-t-il souvent tous les règnes, minéral, végétal, animal et humain. Il personnifie ici « l’araignée » et l’« ortie » et, dans la métaphore qui clôt le poème, leur

lyrisme peut en effet dire la force de cet amour sans nom. C’est ainsi que dans la longue scène du balcon, hymne à la nuit aussi bien qu’à l’amour, les amants expriment leur passion grâce à un réseau serré de métaphores, d’hyperboles et d’éléments symboliques : « Chut ! Quelle est cette lumière qui brille à la fenêtre ? / C’est l’orient, et Juliette est le soleil levant. / Lève-toi beau soleil, et tue l’envieuse lune (…) » (II, 1, p. 64). Le lyrisme amoureux atteint ici un des sommets de sa perfection

de la France « la grande route de Marchiennes à Montsou » sont décrits tels quels, comme des paysages lugubres « sous la nuit sans étoile d’une obscurité et d’une épaisseur d’encre ». -En effet, l’histoire a été écrite au 19ème siècle donc pas de lumière, donnant ainsi l’impression que Etienne se perd dans « l’immense horizon » et montrant donc la place que occupe le personnage en début d’histoire dans l’étendue des nuits nordique. -En plus d’être des décors ténébreux, ces paysages sont aussi rudes :

Pronom personnel première personne Présent d’énonciation Nécessité d’un retour au réel. Ancre le poète dans le présent Tirets virgule 2 signes de ponctuation à la suite à plusieurs reprises Rythme haché, malaise, sensation d’égarement. La lune Métaphore pour la poésie Le poète tente de retranscrire grâce au pouvoir de la poésie, de l’alchimie, des sensations et des émotions. Deuxième mouvement “J'ai entendu” Verbe de perception auditive Le tableau prend vie et est complété par des sons désagréables

perspective 3- les couleurs 4- la lumière, les valeurs C) une touche impressionniste avant la lettre? Sfumato et brumes : penser à Turner avant Monet. Transition : un traitement peu banal . Paysage = support ou tremplin pour réflexions ou transfiguration. II – Les lieux sont matière à réaction et réflexion A) Les sensations 1- sensations décrites dans leur immédiateté : au fur et à mesure de la promenade 2- les contrastes observés : lumière/nuit, dedans/dehors, foule/ lui tout

faire une représentation binaire de la réalité avec des antithèses comme : * « divin » et « méchant » beau et méchan * « rageux » et « éclatant » sombre et lumineux * « qui vous presse »/ « lentement » rapide et lent. _ On a des métaphores filées pour l’apprentissage : La nature (2ème strophe) à partir du vers 13. Elle permet de visualiser des concepts abstraits. Le « ruisseau » est le bon rythme de l’écriture VS  le « torrent » qui est le mauvais rythme car il est trop rapide.

au Lycée Mistral à Avignon. Elle a été exploitée dans une classe de 1ère ES. 1ère séquence Septembre-octobre Convaincre, persuader, délibérer : les formes de l'essai et du dialogue Un mouvement littéraire et culturel : les Lumières L'idée de bonheur au siècle des Lumières : ambiguïtés et réversibilité Groupement de textes Groupement de textes : - Diderot, Le supplément au voyage de Bougainville, 1772 (Le discours du vieillard tahitien) - Voltaire : Le Mondain, 1736 (extrait) - Rousseau, Les rêveries

se payer le bois… - Enfer polaire : oxymore ; le soleil est chaud, lumineux mais l'hiver, bien que toujours là, la chaleur et la lumière n'atteint plus les hommes, arrêtée, enfermée par le froid. - Vers 8 est la première allusion à l'amour. - Vers9 : chaque bûche qui disparaît dans le feu, c'est de l'argent qui part, de la chaleur en moins. - Vers 10 : métaphore au vers 9 qui compare la mort d'une pendaison, le bruit du claquement de la tête et de la corde quand elle se tend est pour le poète