Les Lumières Métaphore

(1694-1778) – auteur du XVIIIème siècle Rattachement éventuel de l’auteur à une école (surréaliste, nouveau romancier…) C'est un philosophe des lumières. Courte biographie François Marie Arouet, dit Voltaire, né le 21 novembre 1694 à Paris et y meurt le 30 mai 1778, est un écrivain et philosophe qui a marqué le XVIIIème siècle. Symbole des Lumières, chef de file du parti philosophique, son nom reste attaché à son combat contre « l’infâme », nom qu’il donne au fanatisme religieux, et pour le

l’esprit du poète est ouvert au mouvement et donc à la vie : Une tendre chiquenaude Et l’étoile Qui se balançait sans prendre garde Au bout d’un fil trop tenu de lumière Tombe dans l’eau et fait des ronds Dans la citation précédente se trouvent plusieurs thèmes qui reviennent souvent dans la poésie du jeune poète : la lumière, la nature et le mouvement. À première vue, cet extrait représente une partie du paysage crée par l’enfant lorsqu’il joue, mais aussi la pensée de l’auteur. En effet

reflets froids », la neige, les capotes raidies, la corde détrempée et raidie aussi. La boue, omniprésente : le terme est évoqué six fois, la boue est même présente sur les visages et les hommes sont happés, aspirés par la boue. La lumière est blafarde : « dans la lumière du soir » d’un mois de Janvier. Les couleurs sont essentiellement dans le noir et le blanc. On a une accumulation de termes à connotation négative « perdue », « ensevelie », « raidie ». C’est une scène muette, le silence est pesant

cri roulait, grandissait, avec une violence de tempête " ; la rumeur " s'enfle " à la fin avant de " s'épandre ". Cette métaphore maritime permet d'élargir la scène aux dimensions de " l'horizon " où se rejoignent les " profondeurs du Bois " et les " allées lointaines ". La " pluie d'or " qui inonde cette foule en délire fait le lien avec l'autre métaphore clef : celle de la lumière. Le soleil éclaire le spectacle, mais il n'est mentionné qu'à la fin du texte, dans sa " gloire " à l'image du triomphe

chaudement Rôle de la nature : Le rôle de la nature dans se vers, est symboliser comme la mère du soldat. Vision sur la guerre par le biais du soldat Métaphore « Trou de verdure » (v. 1) Sens métaphorique : J’assume qu’ici la métaphore fais une allusion au 2 trou que le soldat a sur ca poitrine, mais cette métaphores s’approche d’un euphémisme si on y pense bien. Antithèses Couleur : Bleu (v6)-vert (v8)-herbe (v7)-Pâle (v8) Température : Froid (v11) –Frissonner

duplicité. Celui-ci est condamné à mort pour son étrangeté et ce qu’il fait éclater l’absurdité de sa condition en incarnant le malaise existentiel. Ecrit en deux parties, ce roman met en valeur la prise de conscience du personnage principal : de la lumière Algéroise à l’ombre du cachot, celui-ci aura appris à être au monde et à crier son amour pour la vie. Le texte de la présente étude est le moment clef entre les deux parties du roman. Un dimanche, Meursault retourne à la plage après avoir pris le

« O Lumière amicale… » Césaire, Cahier d’un retour au pays natal XXème Rencontre Léopold Sédar Senghor ac qui il revendique l’identité noire « la négritude ». Il fonde 2 revues influencées par le surréalisme : « L’Etudiant Noir » et « Tropismes ». Il écrit une œuvre poétique théâtrale ou il y expose ses idées anticolonialistes. Dans ce poème lyrique évoque un homme qui revendique sa négritude. Texte argumentatif Comment, à travers la parole du poète Cé, le regard (de Hô blanc) sur autrui est-il

historique propice à l'émancipationL1: « femme réveille toi » apostrophe (autoritaire) OdG s'adresse directement aux femmes afin de les mobiliséL1 : L'impératif «réveille-toi», par son tutoiement, traduit une familiarité entre l'auteure et les femmes. La métaphore du sommeil assimile la Révolution à un réveil brutal et salvateur, après le long sommeil de l'Ancien Régime. Ce postambule s'ouvre donc sur le ton du pamphlet (=court texte polémique, souvent violent, voire satirique) qui fait pleinement ressentir

rendre favorable par des incantations). Quant à Diane, (qui pour Scève comme pour les Romains, n’est pas tant comme Artémis la chasseresse, bien qu’elle ait emprunté à celle-ci le carquois et l’arc, que la sœur d’Apollon, c’est-à-dire la déesse de la Lumière) elle recouvre de sa présence et de sa complexité la totalité du poème (puisqu’elle fut assimilée à Hécate) ; mythe et symbole complexe condensé dans son triple caractère associé soit Lune régnant dans le ciel, Artémis chasseresse régnant sur terre

ouvrage de rhétorique. Ami de Diderot, et de d’Alembert, maîtres d’œuvres de l’_Encyclopédie_ il est chargé par eux de rédiger pour cet ouvrage l’article « Philosophe » qui reflète l’idéal de tout un mouvement littéraire : le mouvement dit des « Lumières ». Il s’agit à l’évidence moins d’un article de dictionnaire au sens classique du terme que d’un texte argumentatif défendant une certaine conception de la philosophie. Nous montrerons que ce texte illustre son titre de façon ordonnée, systématique