Les Mains Sales Personnages

rien voiler de la déchéance du corps crucifié : corps amaigri, déformé, creusé par la douleur, mains et pieds arqués, chairs grises et meurtries par les clous, sang, pustules (ergot, maladie du seigle). La prédelle représente la mise au tombeau et sous-entend la résurrection à venir. Otto DIX cite très directement le retable d'Issenheim : - Organisation (triptyque, prédelle, absence de profondeur, personnage empalé qui fait référence au Christ) - réalisme des blessures, caractère expressif - format

du pouvoir évocateur des images d’une mise en scène, analyser un prologue et comprendre le rôle d’un chœur modernisé, s’interroger sur le rôle des costumes et accessoires, commenter le jeu des comédiens, comprendre les nuances du caractère d’un personnage, identifier un registre de langue, caractériser un style, imaginer des dialogues, doubler une séquence, réécrire ou transposer une scène. Objectifs (inter-) culturels : o o découvrir une figure mythologique dont l’histoire a inspiré de nombreuses

romancier met en scène deux paroles trompeuses, dont il souligne la fausseté par une ironie manifeste. Pourtant, à la fin de la cérémonie, au moment où Rodolphe s’empare de la main de Madame Bovary, apparaît Catherine-Nicaise-Elisabeth Leroux, un personnage de servante, devant lequel Flaubert renonce à toute ironie, au profit d’une description extrêmement minutieuse. Dans quelle mesure nous propose-t-il ici une évocation réaliste, qui rend compte des oppositions sociales au XIX ème et de l’exploitation

d'elle-même en la précisant "intérieurement effarouchée par les drapeaux, par les tambours, par les messieurs en habit noir et par la croix d'honneur du Conseiller [...], ne sachant s'il fallait s'avancer ou s'enfuir". Le narrateur sait tout de son personnage, il s'agit ici de Gustave Flaubert, l'auteur lui-même. Le portrait se déroule selon un certain ordre. Tout d'abord, il semble choqué par la silhouette "ratatinée" et le "maintient craintif" de la vieille servante. Il décrit ensuite ses pieds, ses

leurs pièces de théâtre est l´écart de l´aspect scientifique, les auteurs existentialistes préfèrent le regard psychologique à la personne c´est par exemple la pièce Huis Clos où le lecteur peut bien observer les émotions et les sentiments des personnages Le deuxième est la tendance de créer le théâtre où la présentation de la situation de la vie réelle est absolument inséparable de leur concept philosophique. La liberté est un sujet principal au théâtre sartrien aussi qu´à l´existentialisme

sont les personnages principaux qui sont présentés, dès le début de la nouvelle, par le narrateur ? Il s’agit de Mme Lefèvre et de Rose.Rose est la servante de Mme Lefèvre « Mme Lefèvre était une dame de campagne, une veuve, une de ces demi-paysannes à rubans et à chapeaux à falbalas, de ces personnes qui parlent avec des cuirs, prennent en public des airs grandioses, et cachent une âme de brute prétentieuse sous des dehors comiques et chamarrés, comme elles dissimulent leurs grosses mains rouges sous

Elles ont un rapport tel fort avec la terre, pas même l’une d’elles ont une tête au dessus de l’horizon. Chaque jour de la vie, elles passent les heures peinant sur les champs -- se penchant,s’agenouillant, travaillant jusqu’a la nuit tombe. Les mains pressé au dos pour renforcer, et aussi contre la cuisse, un moment brèf pour se reposer. Je semble le Malheur qu’elles endurent: le travail et le poids des grandes manches leur font trempées de sueur. Sûrement, aux yeux d’un artist, elles sont un sujet

INCIPIT B.A. B.A. I,1 " Mains vulgaires " Cet incipit répond-t-il aux attentes du lecteur ? Incipit : début de l'oeuvre ( personnages, lieux-temps, intrigue ) 1ères observations : Homme orgueilleux, brutal, qui plaît aux femmes Visions réaliste de Paris ( qualités + défauts ) Eté, soir, 28 juin, pas l'année Intrigue :Les femmes et l'argents Narrateur : extérieur, point de vue omniscient I Roman réaliste 1. Portrait de personnage principal Portrait physique : adjectifs mélioratifs

miel, et dit ces mots grandioses : - A nous deux maintenant !     Et pour premier acte du défi qu'il portait à la Société, Rastignac alla dîner chez Mme de Nucingen.     Introduction Les enterrements ne seraient-ils qu'une mise en scène où chaque personnage s'efforce de tenir le rôle qui lui incombe, parfois avec hypocrisie ? Déjà La Fontaine, dans sa fable Le Curé et le Mort, ironisait : Un mort s'en allait tristement S'emparer de son dernier gîte ; Un Curé s'en allait gaiement Enterrer ce mort au

rien voiler de la déchéance du corps crucifié : corps amaigri, déformé, creusé par la douleur, mains et pieds arqués, chairs grises et meurtries par les clous, sang, pustules (ergot, maladie du seigle). La prédelle représente la mise au tombeau et sous entend la résurrection à venir. Otto DIX cite très directement le retable d'Issenheim : - Organisation (triptyque, prédelle, absence de profondeur, personnage empalé qui fait référence au Christ) - réalisme des blessures, caractère expressif - format