Les Mains Sales Personnages

justifier un de nos comportements sont pure mauvaise foi). OEUVRES : -Les mots (autobiographie) -Les mouches (pièces de théâtre) -La nausée (roman philosophique) -Les mains sales (pièce de théâtre) -Le mur (recueil de nouvelles) -L'Etre et le Néant (essai) Et également Huis-Clos (1943) Garcin, journaliste, Inès, ancienne employée des Postes Estelle, mondaine, => Chacun

d'idées : c'est ce qu'a choisi Sartre en écrivant Les Mains sales, où il oppose deux personnages, Hugo et Hoederer, deux conceptions de l'engagement : faut-il accepter ou pas de se salir les mains au nom d'un idéal révolutionnaire, au risque de le compromettre ? Dans un tout autre genre et tout autre style, Giraudoux, dans Amphitryon 38, mène une discussion légère sur la condition humaine, ses faiblesses, ses bonheurs… L'auteur construit les personnages, imagine leur évolution dans la structure adéquate

Dom Juan. Acte II, scène 2 Molière a un goût prononcé pour dépeindre des personnages caricaturaux. Dom Juan, écrit en 1665, en est l’illustration. Un personnage d’origine noble corrompu est confronté à des personnages de classes sociales inférieures comme Sganarelle ou des paysans. C’est le cas dans l’acte II scène 2 où Dom Juan rencontre Charlotte, une paysanne et en tombe prétendument amoureux. Ces deux univers sont totalement opposés et Charlotte est l’incarnation du monde paysan

ville en despote. Thèmes : L’engagement politique, amoureux, résistant. Caractéristiques : Pièce de théâtre en 5 actes Registre : Tragique Particularités : Enjeux de l’écriture : Prolongement : La pièce de théâtre est en réponse au livre Les Mains sales de Jean Paul Sartre, situant un groupe de révolutionnaires socialistes cherchant à éliminer un traitre de leur parti. (faits réels) Introduction : Les justes est une pièce de théâtre tout d’abord tiré d’une histoire vraie, mais surtout un

Louvre Valentin de Boulogne est un des artistes les plus représentatifs de cette veine caravagesque à la française. Les français tempère la violence des compositions par une recherche d'élégance, on recherche à faire transparaître l'état d'âme des personnages, peut être plus que chez Caravage ou Manfredi. = caravagisme mélancolique, poétique, lyrique. Il cherche à rehausser le caravagisme par une certaine noblesse des sentiments, d'âme. Il fuit le coté trivial du genre. Cette confrontation des artistes

reconnues au XVIIe comme essentielles pour la vraisemblance, apparaissent peu à peu comme des carcans et les auteurs cherchent à s’en défaire. Chez Marivaux, les personnages ne sont plus des types comiques ou des héros tragiques, mais des individus aux prises avec un questionnement sur leur identité. Ainsi, dans plusieurs comédies, les personnages cachent leur identité à leurs promis(e), en prenant le costume de son valet. Chacun veut en effet connaître son promis de façon masquée, mais c’est aussi lui-même

rien voiler de la déchéance du corps crucifié : corps amaigri, déformé, creusé par la douleur, mains et pieds arqués, chairs grises et meurtries par les clous, sang, pustules (ergot, maladie du seigle). La prédelle représente la mise au tombeau et sous entend la résurrection à venir. Otto DIX cite très directement le retable d'Issenheim : - Organisation (triptyque, prédelle, absence de profondeur, personnage empalé qui fait référence au Christ) - réalisme des blessures, caractère expressif - format

essaierons de réaliser une totalisation interne de la pièce, ce qui nous fournira, analogiquement, les linéaments principaux de la totalisation réelle opérée par Sartre à ce moment précis de l'histoire; par exemple, nous tenterons de totaliser le personnage de Gœtz dans son rapport avec la totalité historique du xv e siècle, car, suivant le principe de totalisation, si toute l'époque doit résonner à travers Gœtz, alors la structure antagonistique des luttes sociales de l'époque doit fournir l'intelligibilité

Paris, en 1928. Le narrateur est extérieur à l’histoire. D. Analyse personnelle Les personnages : Antoinette veut assister au bal de ses parents mais sa mère refuse. Elle paraît timide et réservée mais elle est en fait révoltée (lignes 62-63 « ou bien crier : « non tu m’embêtes » en tapant du pied ») ; déterminée (lignes 963 à 965 « elle saisit toutes les enveloppes, les froissa dans ses mains, les déchira et les lança toutes ensemble dans la Seine. ») ; fourbe et hypocrite car elle plaint

rien voiler de la déchéance du corps crucifié : corps amaigri, déformé, creusé par la douleur, mains et pieds arqués,chairs grises et meurtries par les clous, sang, pustules (ergot, maladie du seigle). La prédellereprésente la mise au tombeau et sous entend la résurrection à venir. Otto DIX cite très directement le retable d'Issenheim : -Organisation (triptyque, prédelle, absence de profondeur,personnage empalé qui fait référence au Christ) -réalisme des blessures, caractère expressif -format gigantesque