Les Maîtres du mystère

personne pour maître non seulement de ses actes et de son destin, mais aussi des valeurs qu'il se résout de soutenir). Parmi les écrivains qui distinguent ce siècle, on peut citer : Jean-Paul Sartre, Albert Camus, François Mauriac, Malraux, Antoine de Saint-Exupéry, André Gide, Marcel Proust, Paul Claudel. L'existentialisme est un courant philosophique et littéraire qui suppose que l'être humain forme l'essence de sa vie par ses propres actions. Ce courant tient donc chaque personne pour maître non seulement

la confession d’un musicien célèbre qui veut révéler son imposture en racontant pendant une leçon de musique tout ce qu’il doit à son maître. Parce qu’il se présente comme un souvenir, le flash-back est teinté d’une nostalgie coupable. Le prologue ainsi ajouté est constitué d’un long plan séquence de six minutes sur le visage de Marin Marais âgé pendant qu’un maître de musique administre une leçon hors scène, suggérant ainsi la vie de la Cour au XVIIIe siècle. L’annonce d’une imposture oriente le

ils sont vraiment les maîtres incontestables de la nature. D'abord, il régnent sur tous les autres éléments, l'air, le ciel et la mer : « ils pétrissent » l'eau, « ils font le ciel sonore », « ils embouchent l'espace ». Victor Hugo utilise toutes les richesses de la langue et de la stylistique pour proclamer cette puissance : le lexique avec « maîtres », « fanfare », « hurleurs » ; la combinaison des consonnes (« buccins, bugles, trompettes ») ; les allitérations («maîtres de meutes»). Ce sont les

Jeu de la Feuillée (1276) un univers entièrement profane[8]. Après un ralentissement au cours de la période troublée du XIVe siècle, le XVe siècle voit apparaître ou se développer de nouveaux genres théâtraux : farces, soties, moralités, mystères. Les mystères sont souvent joués pour remercier le ciel d’avoir fait cesser un fléau, une épidémie, une guerre ou pour épargner la cité. Ils mettent en scène essentiellement la passion et la résurrection du Christ, parfois des personnages de l’Ancien Testament

A la gloire du Grand Architecte de l’Univers Vénérable Maître et vous tous mes frères en vos grades et qualités, le sujet de la planche qu’il m’a été demandé d’étudier est « EN FORCE ». Je vais donc vous présenter ce soir le résultat de mes recherches sur ce thème. Dans le rituel du premier degré, lors de la réception d’un Apprenti, le Frère Expert enseigne à ce dernier le mot sacré BOAZ en lui expliquant que ce mot dérive de la colonne qui était placée à l’extérieur du Temple de Salomon, à gauche

mésaventures du héros narrateur, Lucius, qui, désireux de connaître les mystères de l’au-delà, décide de séduire Photis, une servante de son hôte experte dans l’art magique. À la suite d’une erreur de la magicienne, il se retrouve transformé en âne au lieu de l’oiseau qu’il rêvait d’être. Pour recouvrer forme humaine, il lui faudra manger des roses. Il passe alors de main en main, et ses souffrances culminent quand son dernier maître décide de l’accoupler à une femme condamnée aux bêtes dans le cirque

parution de celle-ci, c’est-a-dire au milieu du XIXe s. Le narrateur est déjà blessé et pénètre avec son domestique dans un château qui semble abandonné. On découvre alors un domestique dévoué à son maitre puisque c’est lui qui prend la décision de pénétrer de force dans ce bâtiment pour éviter à son maitre blessé de passer la nuit dehors. Ce domestique ne semble n’avoir d'autre utilité que de situer socialement le personnage principale et narrateur. On découvre alors un château sans vie, « mélange

Chateaubriand, qui passe pour avoir introduit le romantisme en France. Mais les premiers grands auteurs ayant contribué à la cristallisation de ce romantisme noir sont d'abord des femmes :  Ann Radcliffe, pour la plus célèbre, avec son roman archétype, Les mystères d'Udolphe, publié en Angleterre en 1794 et traduit en français trois ans plus tard. Puis Mary Shelley, qui publia son très fameux Frankenstein en 1818. Plus en détails : Né d'une impulsion féminine, Ann Radcliffe, fille d'une philosophe féministe

Présentation d’une œuvre de littérature de jeunesse : Le Mystère de la nuit des pierres, E. Brisou-Pellen, 1989. À travers son ouvrage dédié à un public de jeunes lecteurs, Evelyne Brisou-Pellen semble conjuguer sa fascination pour la culture des terres de Bretagne, desquelles elle est originaire, à son attrait pour la chose littéraire et pour l’enseignement. D’emblée, Le Mystère de la nuit des pierres connote l’évocation d’un patrimoine empreint de magie et de spiritualité féconde. De fait

.......................................34 VIII - La dernière nuit.......................................................................36 IX - Narration du docteur Lanyon.....................................................48 X - Explication du mystère par Henry Jekyll....................................55 i Le cas étrange du docteur Jekyll Auteur : Robert Louis Stevenson Catégorie : Romans / Nouvelles Ce jour-là, M. Utterson rentra dans son logement de garçon avec des idées sombres,