Les Marginalistes

théories monétaires chez Ricardo. On bascule du côté de la théorie subjective de la valeur qui accorde à la demande un rôle primordial, c’est le désir qui doit fonder la valeur. On commence à joindre utilité et rareté également (premier raisonnement marginaliste). Pessimisme ricardien = état stationnaire. Tendance générale à la baisse du taux de profit car progrès de la société = plus de travail pour fournir la qté de nourriture supplémentaire nécessaire. 2) Jean-Baptiste Say : Industriel et économiste

Faut-il toujours condamné la concurrence imparfaite ? INTRODUCTION Si le courant marginaliste de la fin du XIXème siècle a consacré en Europe, avec son chef de file Léon WALRAS, la théorie de la concurrence pure et parfaite, on assiste au début du XXème siècle à la remise en cause de cette théorie pour voir émerger un marché qui ne peut répondre à l'exigence walrasienne et qui voit s'imposer une concurrence imparfaite. Ce phénomène, Paul SAMUELSON tend à l'expliquer par le fait que l'entreprise

une satisfaction maximum pour un cout minimum. * Le consommateur doit tenir compte d'un phénomène psychologique appelé « la loi de l'utilité marginale décroissante » (Stanley JEVONS : économiste britannique 1835-1882, co-fondateur du courant marginaliste) lorsqu'un individu dispose de plusieurs exemplaires d'un même bien, il attribue à ces exemplaires au fur et à mesure de leur consommation une utilité décroissante. Les facteurs de la consommation Les facteurs économiques : * Lorsque le

pays à se spécialiser là-haut ils sont le mieux ou là où ils sont le moins mauvais. C'est la base des thèses libérales de l'échange international développées par les néoclassiques. §2. Les néoclassiques. Dans les années 1870, la révolution marginaliste est conduite par trois auteurs : K. Mengen, S. Jeyvens et L. Walras sur le principe du concept d'utilité marginale qui apporte un second souffle à la théorie de la valeur utilité. On reprend l'idée d'une dichotomie entre la sphère réelle et la

façon à supprimer la propriété privée des moyens de production. Chapitre 3 : L'ecole néoclassique I- Les fondements théoriques de l'école néoclassique A- Le contexte économique Née de la révolution marginaliste dans les années 1870, l'école néoclassique a renouvelé l'analyse économique en mettant en place un nouveau paradigme faisant autorité aujourd'hui. Il tente d'expliquer les choix qui gouvernent les agents économiques et, plus précisement, de démontrer

devient une ‘science funeste’ (Carlyre). Mais ce n’est qu’à la fin du 19e siècle que s’affirmera la division du travail entre Economie et Sociologie. Cette séparation se produira avec la ‘révolution marginaliste’ qui consacre l’individu maximisateur comme dispositif théorique. Avec la ‘révolution marginaliste’ de Stanley Jevons (1871), Carl Menger (1871) et Léon Walras (1874), la définition de l’économie change: « comment une population, qui a des besoins et des capacités propres, qui possède certaines

dotation initiale (atta ! point de vue du consommateur) : le capital (le niveau de ressources) que je dispose au départ puis on identifie les paniers possibles compte tenu du revenu et on compare les utilités procurées sur la bas d’un raisonnement marginaliste : Que procure la consommation d’un ticket de métro en plus ? Quelle utilité en termes de repas sacrifie-t-on alors ? COUT D’OPPORTUNITE. On se prive de l’opportunité d’un ticket repas pour un ticket de métro : quelle meilleure utilisation aurais-je

Smith. Les néo classiques : approche uniquement micro économique basée sur la rationalité des individus. On les appelle marginaliste car il faut un calcul à la marge (Ex : taux de rendement marginale). Parmi ces auteurs : JEVONS, WALRAS (français). Théorie du consommateur, du producteur. Cette école marginaliste va dominer le débat mondial jusqu’en 1930. Il y a les marginalistes anglo-saxons comme Alfred MARSCHALL. Et également l’école viennoise BOHM-BAWERK. Puis l’école de Lausanne avec WALRAS, PARETO

propriétaires responsables des prix et résume son analyse par une formule : « Le blé n’est pas cher car une rente est payée, une rente est payée car le blé est cher. » théorie de la rente différentielle considérée comme la première formulation du principe marginaliste de fixation des prix au coût marginal. L’intention des classiques était de contribuer à l’explication de l’accumulation.

ouvrière comme argument politique. Section 3 : l’analyse néoclassique On remplace la théorie de la valeur travail par la théorie de l’utilité (1871), le principe de l’utilité marginale est avancé par Menger, Jevons et Walras La révolution marginaliste : il y’a une nouvelle orientation de l’analyse économique qui est différentes de l’analyse classique. Cette analyse est centrée sur l’efficacité. il s’agit alors de montrer le rapport entre des fins données et l’utilisation des ressources