Les Maximes De La Rochefoucauld

au bout de la nuit de Céline, comme Lola, ou Mme de Merteuil des Liaisons dangereuses, ou les dictateurs de notre monde contemporain. Se demander sur ce qui provoque l’étrange attrait qu’on a parfois pour eux. Citation de La Rochefoucauld (Réflexions ou sentences et maximes morales, 1664) : « il y a des héros en mal comme en bien ». Ou autre ouverture : et les héroïnes ? La place de la femme dans la littérature.

marier » ou « les miroirs de l'âme » pour « les yeux ». Introduction : Alors que Racine peint la nature humaine avec un génie poétique sans précédent, que La Fontaine préfère des récits théâtralisés à visée didactique, que La Rochefoucauld énonce des maximes aussi lapidaires qu’incisives et que Molière offre son verbe à la gloire de la comédie, La Bruyère choisit le portrait, souvent caricatural, afin de dénoncer les vices de la société ou de proposer des éléments pour un monde idéal. Les

en épilogue intitulé « Depuis les cimes ». Ces paragraphes sont organisées en neufs sections : première section : Des préjugés et philosophes deuxième section : L'esprit libre troisième section : La religiosité quatrième section : Maximes et intermèdes cinquième section : Éléments pour l'histoire naturelle de la morale sixième section : Nous, savants septième section : Nos vertus huitième section : Peuples et patries neuvième section : Qu'est-ce qui est noble ?

- LA BRUYERE , Les caractères ou les mœurs de ce siècle, 1688. Parcours associés - La comédie socialeSalons mondains, nouvelle scène LA ROCHEFOUCAULD - MOLIÈRE Les arcanes du pouvoir, de la « singerie » ordinaire LA FONTAINE Théâtrum mundi, le masque seul visage MONTESQUIEU - LACLOS

son rival… il perd sa magnanimité, sa noblesse… - Froideur finale de la Princesse, qui fait rupture et qui sonne comme un refus, une fuite… la réplique est courte et sèche par rapport à la longue tirade affolée du Prince. - Rappelons la maxime La Rochefoucauld : « la jalousie est le plus grand de tous les maux et celui qui fait le moins pitié aux personnes qui le causent »…   III) UN AVEU QUI TRAHIT UNE VISION DU MONDE… a) Les motivation de la Princesse : conserver son repos et fuir la passion

l’on voit la passion amoureuse néfaste de Phèdre pour Hippolyte, un amour contre nature qui est censée inspirée chez le spectateur terreur et pitié. Phèdre femme maudite au désir incestueux dépossédée de tout et au destin fatal.Ouverture : Maxime de La Rochefoucauld « Si on juge de l’amour par la plupart de ses effets, il ressemble plus à la haine qu’à l’amitié ».

l'ouvrage connut un vif succès et valut à son auteur, protégé de Bossuet et précepteur de la famille Condé, un siège à l'Académie. La Bruyère occupe une place importante dans la lignée des moralistes français, à la suite de Montaigne et de La Rochefoucauld. Grâce à un esprit droit et un jugement d'une entière indépendance, il a su dégager de ses observations sur la société, la cour et les grands de son époque, une part de ce qu'il y a d'invariant dans la nature humaine. Au-dessus de ces portraits

personne comporte une conséquence sur le plan moral: le respecter [à distinguer de l'aimer comme le prône le christianisme ("aimer son prochain") ou encore Aristote; c'est-à-dire que respecter autrui n'oblige en rien à l'aimer]. C’est ce que traduit la maxime populaire: « ne fait pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu’ils te fassent ». Citations: - « Pour obtenir une vérité quelconque sur moi, il faut que je passe par l’autre », Sartre. - « Celui qui s’enferme dans le moi ne trouve jamais le chemin

d'honneur d'Anne d'Autriche. - se marie jeune avec le comte de La Fayette, peu présent (domaine d'Auvergne) - préfère vivre à Paris et fréquenter les cercles intimes de la royauté. - noue en 1665 avec La Rochefoucauld (écrivain, moraliste et mémorialiste français, surtout connu pour ses Maximes) une relation d'amitié qui durera jusqu'à la fin de sa vie. - 1662 : elle fait paraître une nouvelle historique anonyme, La Princesse de Montpensier - en 1669 et 1671 sont publiés, sous le nom de Segrais

champ visuel ne nous dit qu’il doit être vu par un œil », écrivait Wittgenstein. Les conditions d’un ordre donné n’apparaissent pas dans cet ordre. Ni le soleil ni la mort ne se peuvent regarder fixement, écrivait à peu près François de La Rochefoucauld. Le soleil, car il est trop lumineux, la mort, car elle est trop obscure. Nous ne pouvons voir les extrêmes. Mais on pourrait aussi l’interpréter ainsi : le soleil ne peut être vu car il est la condition de la vision ; la mort ne peut être imaginée