Les Misérables La Descente

critique de l’attrait des sociétés européennes pour la richesse, pour les aspects matériels. * en soulignant la démesure de ce monde par le biais d’hyperboles ou de simples groupes nominaux faisant écho au registre merveilleux des contes « à la descente du carrosse », « les six moutons volaient », « les grands officiers et les grandes officières de la couronne », « la salle du trône ». * en usant du vocabulaire de l’exotisme « colibri », « gérofle », « cannelle », « canne à sucre ». Le narrateur

peut s'imaginer réellement ce qu'est être mort. C'est pour cela qu'il met tant d'énergie à essayer de la vaincre et de la dépasser. Il est poussé par une énergie vitale qui lui donne la force de vivre et le fait vivre pour autre chose que sa lente descente vers la mort. Ainsi, comment malgré une mort inévitable, l'homme arrive t il à dépasser sa finitude? Comment vivre pour repousser sa mort? Comment est-il possible de vivre malgré la mort? Enfin, est-il possible pendant notre vie de toucher à l'immortalité

lexical de la faiblesse (2-b), et celui du mépris (2-c). Champ lexical de la faiblesse Champ lexical du mépris « infirme » v.12 = faible « piteusement » V.7 = digne de pitié, malheureux – qui excite la pitié mêlée de mépris par son caractère misérable, dérisoire. « veule » v.9 = sans énergie « comique » v.10 « indolent » v.3 = insouciant, nonchalant « honteux » v.6 « boitant » v.12 « laid » v.10 « maladroit » v.6 Le tableau doit être rédigé, je l’ai organisé en tableau pour plus de

La littérature du XIXème siècle : Les misérables de Victor Hugo I – Résumé de l’intrigue : En 1815, un homme nommé Jean Valjean sort du bagne. Il vient d’y passer dix-neuf ans pour avoir volé un pain et tenté de s’évader à plusieurs reprises. En route pour son village natal, il croise la route de l’évêque Bienvenu qui lui offrira gîte et couvert alors que personne ne veut ouvrir sa porte à un ex-forcat. Malgré la générosité de son hôte, Valjean n’hésitera pas à lui dérober son argenterie

des homologues en France, en Angleterre et enAllemagne. Son introduction d’un lépreux, victime de «cette horrible affection de la lèpre assezcommune en Islande ; elle n’est pas contagieuse, mais héréditaire ; aussi le mariage est-il interdit àces misérables.» pourrait passer pour un élément fantastique, ce mot seul produisant un effet répulsif; mais c’était une réelle affection cutanée, une sorte d’ulcération avec prurit et production d’écaillesque le malade se plaisait à racler et détacher avec des

une idée et sert de support à son créateur pour exprimer son point de vue et ses critiques de manière détournée. Il donne sa propre vision de la société, une version parfois pessimiste des choses même si l’auteur se veut objectif comme dans les Misérables de Victor Hugo avec le destin tragique de Jean Valjean et la seule fin heureuse pour Cosette. Mais l’écrivain peut aussi par l’intermédiaire du personnage mettre en avant un défaut essentiel et caractéristique de la société de son époque comme l’a

premier dans la mine, le risque le plus important et le plus craint est le coup de grisou. La présence des gaz toxiques ne permet pas de travail dans de bonnes conditions. Par exemple le cas de Catherine qui par manque de chauffage, avant chaque descente « rôtissait la peau » afin de mieux supporter le froid. De plus, ils sont très mal comme pour Etienne qui utilise un chapeau en cuir en guise de casque. A cause des filtrations d’eau, du froid, de l’humidité, du mauvais éclairage, il est difficile

spectateur à frissonner et à être pris de pitié devant ce qui se passe. Les actions qui se déroulent doivent être celles de personnes entre lesquelles existent une relation d’alliance, d’hostilité ou de neutralité. Chez Sophocle, on a une impression de descente aux enfers de la solitude, d’un être en proie à des transgressions essentielles. Chez Sophocle encore, rien de tel pour ménager cette intensité dramatique qu'un précepteur venu de nulle part annonçant la mort tragique d'Oreste. Chez Hofmannsthal

Il fait connaissance avec une famille de mineurs, les Maheu, et tombe amoureux de leur fille Catherine. Mais celle-ci, qui n’est pas insensible à Etienne, est la maîtresse d’un ouvrier brutal, Chaval.Etienne est révolté par les conditions de vie misérables des mineurs et quand la Compagnie des mines, alléguant la crise économique, décide de baisser les salaires, sa révolte s’exaspère. Rêvant d’une société plus juste, il propage des idées révolutionnaires et pousse les mineurs à la grève. Les semaines

signifier le début d'une belle histoire. Cependant, c'est tout le contraire qui est arrivé... Ici, les amants perdent le seul espoir qu'il leur restait ; même unis ils n'arriveront pas à vaincre l'esprit de Camille. C'est le déclenchement d'une descente accélérée aux enfers . En effet le seul élément qui les raccrochait à la vie et donc limitait leur souffrance n'était qu'un leurre. Ils réalisent qu'ils ne ressentent plus aucune passion mutuelle et n'arrivent à aborder un autre sujet que le défunt