Les Misérables Un Juste

Staphyla qui, déjà, porte un nom qui signifie « grappe de raisin » se voit traitée d’espionne « avec tes yeux fureteurs » l. 1 et l. 17, « elle a des yeux jusque derrière la tête » ; elle est aussi traitée de « grenier à coups de fouet » l. 6, de « misérable » l. 3, de « drôlesse », de « scélérate » l. 11 et de « coquine », l. 17 ; l. 15, l’on trouve l’hyperbole : « je n’ai jamais vu de plus méchante bête que cette vieille ». Les serviteurs, en effet, portent souvent un nom qui fait d’eux un personnage

peint avec succès cette parodie de la relation entre les êtres humains et la nature de par le visuel morbide mis en évidence par l’herbe déchiquetés voir même glacé, ce ciel bleu, le parc désert. Cette chose esseulée qui n’a pas sa place ici, un misérable. Ce personnage vêtu d’un costume mais incapable de le remplir, vide, creux, et seulement un peu de chair informe. Une présence inquiétante. Ces lignes, couleurs et mouvements s’arrachent aux exigences de la représentation et libère ainsi l’œuvre

le personnage face à un autre personnage, un groupe face à une autre entité, etc. En quoi les situations de conflit dans les oeuvres littéraires enrichissent - elles le lecteur et le pousse à réfléchir  ? Les scènes de conflits ont donc (à éviter juste après la problématique) un rôle non négligeable dans les oeuvres littéraires. Elles embarquent le lecteur dans des situations intenses pleines d’émotions diverses qui rythment la narration. Ces scènes permettent également  d’ouvrir la réflexion du

d’abord confondue avec le sommeil. L’adverbe “tranquillement” ajoute à la confusion. DG a l’illusion que Manon est en vie comme le montre le verbe introduisant une modalisation (=incertitude) : “croyait”. On voit qu’il est dans le déni. Cela se confirme juste après avec la négation restrictive : “Je ne pris d’abord ce discours que…” - L’indice des mains “froides” et “tremblantes”, le terme “effort” nous mettent sur la voie de la maladie et du malheur. On note une volonté marquée de ne pas dire la mort de

honneur, puisque mon père a été égorgé, me retirerai-je, après avoir versé les libations comme pour l'expiation d'un crime, et jeté le vase derrière moi, en détournant les yeux? Electre: Que les meurtriers soient tués à leur tour, comme cela est juste. Oreste: adjuration de Zeus pour aider la race de l'aigle (race des Atrides) «Vois la race de l'aigle, privée de son père étouffé dans les nœuds de la vipère horrible. La faim ronge ses petits orphelins qui ne peuvent chasser comme leur père, ni

briguer quelque vil emploi; le faire valoir par les moyens ordinaires, autrement il ne me nourrira pas, et me sera bientôt ôté; enfin, me livrer moi-même à toutes les infamies pour lesquelles je suis pénétré d'une si juste horreur. Nourrir, moi, mes enfants et leur mère, du sang des misérables ! Non, madame, il vaut mieux qu'ils soient orphelins que d'avoir pour père un fripon. Accablé d'une maladie douloureuse et mortelle, je ne puis espérer encore une longue vie; quand je pourrais entretenir, de mon

une protestante. À cette époque, ce sont les années sombres. La publication des "lettres persanes" marque une période de soulagement, il a alors trente ans. Par ces lettres, Montesquieu jette un nouveau regard sur la France. La fin de sa vie sera misérable: il meurt ruiné et malade en 1755. Axes de lecture: - Dévalorisation des arguments sur l'esclavagisme. - Les mécanismes mis en œuvre. - Remise en cause de la monarchie absolue. Premier Axe: Argument religieux L'avant dernier paragraphe

Raquin 1) Comment la chambre de Laurent est désignée dans la première partie de l’œuvre ? Pourquoi ? La chambre de Laurent est désigne par les termes « petit cabinet meublé » et « galetas ». Un galetas est un logement misérable et sordide pratique sous les combles, juste au-dessous du toit : « un petit cabinet meublé qui payé 18 francs par mois, ce cabinet, mansardé, troué en haut d’une fenêtre à tabatière avait 6m² » 2) Décrivez la mansarde : où se situe t-elle ? Par où faut-il passer pour

Introduction : Ce texte est extrait du roman « Les Misérables » de Victor Hugo, écrit en 1862. C'est un dialogue entre une petite fille, Cosette, et un homme Jean. C'est un extrait révélateur du livre, et très important pour le déroulement de l'histoire. Comment Victor Hugo fait-il de cette scène, la scène clé de son roman, comment emporte-t-il les lecteurs dans ce passage ? I. Le déroulement du récit a. On peut voir dans cet extrait, le premier contact entre Cosette et

l’avare et l’inverse avec le prodigue (celui qui dépense tout son argent). Celui qui pratique la médiété est le généreux qui a conscience du prix de l’argent, et qui est généreux avec lui-même et qui pense aux autres avant lui. Pour Aristote, le juste est celui qui est enclin à demander moins que son dû. La vertu ne va pas sans intelligence mais ne va pas non plus sans effort, et ne va pas non plus sans plaisir. Pour Aristote, on possède tous en nous des germes de vertu. C’est à l’éducation de