Les Misérables Un Juste

Napoléon III dans Les Châtiments (1853) ou encore un poète considéré épique avec La Légende des siècles (1859 et 1877). Il est également un romancier qui rencontre un grand succès populaire avec par exemple Notre-Dame de Paris (1831), et avec Les Misérables (1862). Son œuvre multiple comprend aussi des discours politiques à la Chambre des pairs, à l' Assemblée constituante et à l'Assemblée législative, sur la peine de mort, l'école ou l'Europe. Victor Hugo a fortement contribué au renouvellement de

le travail, par exemple, mais en étant né dans l’aristocratie. L’aristocratie modifier la loi pour les favoriser et exploite et domine le reste de la population. En général, ils sont très naïfs et égoïste. Néanmoins, Victor Hugo, l’auteur de Les Misérables, était enseigné et il a argumenté et combattu contre l’injustice sociale et la liberté de la presse. Puis, il y a la bourgeoisie. La bourgeoisie a beaucoup d'argent et ils ont eu le pouvoir de la production dans la révolution industrielle, qui le

a prononcé et où il y a les lignes directrices de son oeuvre. But: démontrer l’éxistance de Dieu et de la validité de la religion Chrétienne. Cette démonstration suit plusieurs étapes: a- Constat péssimiste: l’homme est par nature un être misérable: - Physiquement: Il n’est rien comparé à l’imensité de l’univers, à l’infiniment grand, et l’infiniment petit. - Intelectuellement: il ne peut pas connaitre gd chose au monde qui l’entoure. L’homme à 2 moyens pour connaitre les choses et

Foster César L-M 3 Dissertation: Les Misérables de VITOR HUGO Nous ne l'ignorons pas, le chef-d’œuvre de Victor Hugo, Les misérables, plus qu'un roman réaliste, est un roman social, une épopée, voire un évangile moderne. L'auteur ne s'en cache aucunement, l'avoue même dès le début de son roman, dans ce petit mot dont il use à titre de préface et qui termine par le fameux euphémisme > Dans le roman, la représentation détaillée et crue de la réalité de la misère sociale

DOSSIER_PRESSE_Misérables012009Maison de Victor Hugo Dossier de presse Ernest Pignon-Ernest, Calais, 1975, cat. 136, photographie d’une sérigraphie collée, collection de l’artiste, VR, © ADAGP, Paris, 2008 EXPOSITION Les Misérables Un roman inconnu ? 10 octobre 2008 – 1er février 2009 PROLONGATION JUSQU’AU 1erMARS 2009 1 SOMMAIRE Communiqué de presse ...............................................................................

l'être humain n'est pas misérable. Sa nature n'a rien à envier aux autres êtres vivants. Dire qu'il est misérable n'est donc pas juste car cela signifie que si lui est misérable d'autres espèces ne le sont pas. Puisque pour dire qu'il est misérable il faut un comparatif pour l'affirmer. Pourtant de quelle manière pourrions-nous affirmer et juger notre espèce ? Un lion est-il misérable ? On pourra trouver cette question absurde, alors pourquoi dire que l'humain est misérable ne nous paraîtrait-ce pas

1Notes Les misérables : Préface :Victor Hugo à soixante ans quand il finit d’écrire les misérables ,c’est un jeunes royalistes avec un style d’écriture particulier de l’époque l’influence ,roman noir,historique et poésie maudite ainsi que les situations historiques entre révolutions,empires et restaurations ,en effet elle montre la réalité de sa vie a cette époque 1820 > Premier récit Bug Jargal VH utilise un schéma dans la plus part de c’est livre : A: exclut jean valjean B: objet d’amour cosette

n'est qu'illusion, car la justice est vaine: « vérité au deçà des Pyrénées, erreur au delà. » Le Roi n'a que faire de tout cela, car il a la force, et c'est sur la force que la justice repose: « ne pouvant faire que ce qui est juste fût fort, on a fait que ce qui est fort fût juste. », il faut donc respecter les lois pour que le système fonctionne. Pour illustrer ses propos Pascal utilise de nombreux exemples qu'il serait intéressant d'analyser. Très ingénieusement Pascal utilise l'exemple du Roi à

aussitôt Puis fait un long repli, puis tâche à faire un saut Contre son bienfaiteur, son sauveur, et son père. «Ingrat, dit le manant, voilà donc mon salaire ! Tu mourras !» À ces mots, plein d'un juste courroux, Il vous prend sa cognée, il vous tranche la bête ; Il fait trois serpents de deux coups, Un tronçon, la queue et la tête. L'insecte, sautillant, cherche à se réunir,

Pour amasser diligemment Les épis que la faux moissonne, Ma Nanette va s’inclinant Vers le sillon qui nous les donne. — L’Aveugle s’écria-t-elle. Et Emma se mit à rire, d’un rire atroce, frénétique, désespéré, croyant voir la face hideuse du misérable, qui se dressait dans les ténèbres éternelles comme un épouvantement. Il souffla bien fort ce jour-là, Et le jupon court s’envola ! Une convulsion la rabattit sur le matelas. Tous s’approchèrent. Elle n’existait plus." ANALYSE L'extrait se