Les Monarchomaques

fait peut défaire. Dans certains cas extrême, il est même licite de se débarrasser par l'assassinat du prince tyrannique. Ces auteurs sont tout autant protestant que catholiques, on les appellent les Monarchomaques ( ceux qui s'opposent au gouvernement d'un seul ) 1) La pensée des Monarchomaques protestants Les premiers sont Calvinistes. Calvin est le traducteur des oeuvres de Luther. Ils ont des préoccupations divergente conduisant à la scission entre Luthérien et Calvaniste, celui de Worms

suppression ultime de la propriété, c’est la suppression de la propriété de son corps et de son esprit : la torture et l’exécution sans motif. L’idée est dangereuse dans le contexte des Guerres de Religions car elle permet selon les monarchomaques après le massacre de la Saint-Barthélemy de 1572, de tuer un roi devenu car celui-ci est devenu un tyran. Une puissance conditionnée 1. Aux « lois » - La loi divine - la loi de la nature - les lois fondamentales 2. Aux principes - L'utilité

laquelle les êtres humains doivent obéissance, succède la théorie de l’origine contractuelle de l’État qui se matérialise par la conclusion d’un contrat entre des volontés humaines. Présente dans la pensée des auteurs calvinistes du XVIe siècle (les monarchomaques : Languet, Bèze) qui font du Pacte un instrument d’échange de garanties, celle de l’obéissance des sujets au roi contre le respect de leurs libertés par ce dernier, la théorie du contrat social a dominé la pensée doctrinale du XVIIIe siècle et

soient catho ou protestant ont étaient appelés les monarchomaques. Les monarchomaques s’inspire d’une œuvre de st Thomas d Aquin selon laquelle si le pouvoir a une origine divine, il est transmis par dieu au roi par l intermédiaire du peuple. Ils condamnent par avance la théorie du monarque de droits divins. Les monarchomaques recours aussi au droits historiques : ils se sont livrés a des recherches dans l histoire de France. Ces monarchomaques remontant dans le passé en ont déduit qu’en raison

d’obéissance à Dieu. Les théoriciens de monarchie vont créer la théorie de droit divin pour s’opposer à la théorie de régicide. 1) Les Monarchomaques Ce sont des penseurs qui apparaissent durant les guerres de religions = penseurs extrémiste et développe des idées qui s’oppose au pouvoir personnel et ils proclament le droit de résistance = courant monarchomaques = ce qui combattent le monarque. Ne branche protestante et une branche catholique qui va s’incarner dans la ligue ultra catholique. Les

l’Edit de Beaulieu ? L’union des Malcontents est menée par le frère du roi, le Duc D’Alençon, et se mobilise pour une « réformation de l’Etat » qui permettrait de mettre fin aux guerres civiles. Néanmoins, les Malcontents se distinguent des Monarchomaques par le fait qu’ils prônent une monarchie mixte et non la souveraineté non partagée des Etats Généraux. Par le fait que les Malcontents sont principalement nobles, ils accordent une plus grande importance au Conseil du roi et voient l’exercice

monarchistes, voire absolutistes, les jurisconsultes ont émis des réserves décisives aux théories du droit divin (défendues par Hornius, Ramsay ou Bossuet) ils ont également admis certaines limites à l'exercice de la souveraineté, d'où le nom de monarchomaques (machos=bataille) qu'on leur réserve parfois. Ainsi, le chapitre 7 Du livre III du Droit de la nature et des gens de Pufendorf se trouve par exemple entièrement consacré à la réfutation des conceptions absolutistes défendues par J. Fred. Hornius

avoir un certain anonymat. C) Les critiques. Il y a critique du pouvoir car dès l'ancien régime, la France va créer, susciter des théories, critiques contre la monarchie absolue. La 1ère de ces critiques apparaît au 16ème siècle avec les monarchomaques : littéralement ceux qui combattent le monarque. Il s'agit essentiellement de penseurs soit protestants, soit ultra catholiques (période de guerres de religions) qui considéraient comme légitime la révolte contre un roi se comportant en tyran

du chef. Le principe de tyrannie c'est de manipuler les foules. Ce contrat va trouver un écho auprès des Monarchomaques, qui sont protestants qui désignent la résistance à la monarchie. 1572: la nuit de St Barthélémy. Donc il y'a n beaucoup de penseurs monarchomaques qui dénoncent la toute puissance et théorisent la limitation du pouvoir de la monarchie ( dont répondra Bodin). Les monarchomaques: Théodore de Bèze, il considère que les magistrats doivent servir de contre pouvoir au prince, il théorise

Dans un intérêt commun, il s’agit au départ de distinguer l’Etat de la personne royale, le souverain des gouvernants. Section 1 : Théorie de la souveraineté populaire Bien que cette idée fut déjà développée au cours du XVIème siècle par les monarchomaques tels que Suarez ou Bennarmin, il a fallu attendre le XVIIIème siècle pour que la théorie de souveraineté populaire trouve son père fondateur : Rousseau. Le pouvoir de commander réside de façon directe dans l’universalité des citoyens, cad