Les Mouches Les Personnages

On y remarque la présence d’une antithèse (ignorant et sage, ami et ennemi) et d’un paradoxe dans le sens des termes. Mais le discours argumentatif est aussi présent à travers les diverses interventions du narrateur dans les portraits des personnages. PORTRAIT DE L’OURS :  V. 6 : première intervention du narrateur  V. 7 : le narrateur bannit l’excès de la parole « il est bon de parler, meilleur de se taire » qu’il met en antithèse avec « raison » v. 4 (directement lié au classicisme)

L’ÉCHANGE, PAUL CLAUDEL Introduction [Amorce] Le théâtre offre de nombreux exemples de mises en abyme, de « théâtre dans le théâtre » où des personnages d’acteurs sont sur scène en train de jouer (L’Illusion comique de Corneille, Les Acteurs de bonne foi de Marivaux ou Cyrano de Bergerac de Rostand). [Présentation du texte] Dans L’Échange, Paul Claudel met en scène une comédienne, Lechy Elbernon : elle n’est pas en train de jouer, mais elle parle de son métier d’actrice, de ses impressions sur

aux personnages et se reconnaître dans les situations qu'ils vivent. 2) Les caractéristiques de la tragédie classique La tragédie renaît au XVIIe siècle pour connaître son apogée. a) Des gens célébres : La tragédie met en scène des personnages ilustres et de rang élevé. La tragédie se situe dans des temps reculés ou mythiques, dans l’Antiquité grecque ou romaine ( Horace de Corneille 1640), à l’époque biblique (Esther de Corneille 1689). b) Des personnages héroïques : Les personnages tragiques

Le corpus de texte présenté à l’étude est composé de deux extraits de pièce de théâtre, écrites dans le cadre de l’objet d’étude qui correspond à la mort et à sa représentation au théâtre. Il s’agit de la scène 7 du deuxième acte de Les mouches écrite par JP Sartre en 1943 et d’un extrait d’Agamemnon d’Eschyle datant de 458 avant J.-C. Ces deux scènes sont toutes deux inspirées des mythes antiques des Atrides et représentent une scène meurtrière. Nous nous demanderont dans un premier temps quels

mythiques (Cassandre, Narcisse). Cette dernière notion doit cependant, si l’on veut essayer de ne pas se payer de mots, être précisée : la figure mythique est à la fois forme et personnage, à partir du latin figura, « cas exemplaire » et « forme » ; mais la figure mythique peut-elle se confondre entièrement avec celle de personnage (voir la bibliographie) ? Et quels exemples ? Leur choix est difficile, en effet, en particulier si l’on veut éviter de remettre encore une fois Antigone à l’affiche, ou de

La Mouche et la glu, de OKOUMBA NKOGHE: Le roman de la négation de l’amour. Quelle leçon tirer de La Mouche et la glu, de OKOUMBA NKOGHE ? Curieuse question dira-t-on, puisqu’il semble évident que les personnages principaux, Nyota et Amando, en ne cédant pas aux forces du Mal représentées par N’Gombi, M’Poyo et Samabi, et si l’on puit dire, en choisissant la mort, donnent un bel exemple aux générations futures afin qu’elles sachent que l’argent ne peut pas tout acheter et que, nécessairement, tout

cousin Pons» de Balzac La littérature au milieu du 19ème est marquée par le roman réaliste. Balzac, qui incarne le romancier des moeurs ne fait pas d’exception pour ce roman. Cet extrait raconte en effet l’histoire d’un héros écrasé par des personnages convoitant sa collection qui représente des richesses considérables. Il retrace également une séparation déchirante entre deux amis. Nous verrons dans un premier temps la douleur provoqué par cette séparation entre Schmucke et le Cousin Pons, puis

Exercices sur les périphrasesRetrouvez les noms de lieux, personnages, … désignés par des périphrases suivantes :1. La géographie :- La Capitale des Gaules : Lyon- La Cité des Papes : Avignon- La Cité phocéenne : Marseille - La Venise du Nord : Bruges- La Ville éternelle : Rome- La Perle de l'Orient : - La Ville des 1001 Nuits : Paris- Le Toit du monde : l’Everest - L'Île de Beauté : - La Grande Bleue : la mère méditerranée- Le Pays des Droits de l'homme : la France- La Perfide Albion : la grande

préface de La Fortune des Rougon) et document 3 (extrait du Roman expérimental). Un groupement de textes étudiés en lecture analytique : un extrait de Nana qui nous plonge dans le demi-monde des courtisanes du second Empire (L.A. n°1 : Nana ou la « Mouche d'or »), un passage qui aborde le monde misérable des ouvriers exploités à la fin du XIXe (L.A. n°2 : la découverte du « Voreux » dans Germinal) et un texte qui s'intéresse à l'univers du chemin de fer (L.A. n°3 : « le train fou », fin du roman La

Le Nom, la mouche et les abeilles. Lecture de Magnus, de Sylvie Germain « Les abeilles parlent dans ma bouche, elles dansent sur ma langue, elles chantent dans ma gorge, elles flamboient dans mon cœur. Elles sont ma joie, ma lumière, mon amour. » (dit Blaise-le-laid dans) Sylvie Germain, Jours de colère, Gallimard, 1989, « folio » p.105. Magnus, de Sylvie Germain (éditions Albin Michel, 2005 ; « folio » Gallimard pour cet essai) n’est pas seulement le roman d’une remarquable « quête d’identité