Les Munitionnettes

Guerre d’usure 1917 : mutineries dues à la lassitude de la guerre III. Une guerre totale Patriotisme, camaderie, désir de revanche envers l’Allemagne. Idée de défense de la famille. Appel des non combattants dans les usines : femmes (munitionnettes), prisonniers, travailleurs des colonies. Les femmes remplacent les hommes à l’usine et aux champs. Economies de guerres : Citroën, Renault et Schneider construisent du matériel de guerre Fort interventionnisme de l’Etat : organisation

… Toutefois, certaines travailleuses apparaissent comme les véritables symboles de la mobilisation et de la pénétration des femmes dans des secteurs traditionnellement masculins : ce sont les ouvrières des usines de guerre, les fameuses « munitionnettes ». En 1918, on en dénombre plus de 400 000, soit un quart de la main-d’œuvre du secteur. La majorité d’entre elles sont des femmes ou filles d’ouvriers et de paysans. 2.3.2.2. Les qualités féminines Les industriels de l’armement

mondiale, les femmes françaises ont été appelées par le gouvernement pour assurer les tâches masculines puisque les hommes sont partis au combat. Elles ont assuré les récoltes des champs, elles ont travaillé également dans les usines d'armement (les munitionnettes) afin de contribuer à l'effort de guerre. Elles jouaient également le rôle de soutien moral auprès des troupes en étant marraine de guerre. Les femmes s'engagent comme infirmières, elles sont conductrices de tramway. Certaines sont même au combat

l’effort de guerre et aux poilus. Cet état de fait renforce la difficulté des travaux des femmes pendant la Première Guerre mondiale, car les corps sont affaiblis par les privations. Or, certains travaux des champs et à l’usine comme le rôle de « munitionnettes » sont extrêmement physiques et éprouvants pour les corps féminins. La vie des femmes est autant difficile en l’absence des hommes qui sont des maris, des fils, des frères. Elles vivent dans l’attente des nouvelles du front et dans l’angoisse

change avec la guerre, c'est qu'il faut remplacer les milliers d'hommes partis, et que un très grand nombre de femmes vont se retrouver à confectionner des colis pour les soldats mais aussi dans les usines d’armes, ou elles sont majoritaire, (les munitionnettes), car le besoin d’armement est énorme, à donner des soins, à conduire les tramways, les métros ou des ambulances, à travailler dans les postes, les banques, l'administration ou le commerce. Elles gèrent tous toute seule. En devant prendre chaque

responsable de 80 % des mort . Désormais ceux qui donne et qui recoivent la mort ne se voit plus Mobilisation de l’arrière : elle se mobilise pour improviser le front feminisation des main d œuvre tant dans l'agriculture que dans l industrie . Les munitionnete sont utilise dans les usine d armement et subisse des condition infernale la journee de travail passe de 12 a 14 heure Désormais :les civils sont implique dans la guere c est la notion de front de l arriere 3 .COMBATTRE ET TENIR SOUS « ORAGE

enfants et tâches domestiques à un travail rémunéré. 2- Après la première guerre mondiale l'absence de millions d'hommes ont fait découvrir aux femmes des responsabilités nouvelles, des métiers nouveaux. Ex : conductrices de tramways, munitionnettes, agricultrices, ambulancières près du front, auxiliaires de l'armée. Toutefois, cette guerre ne marque donc pas l'entrée des femmes sur le marché du travail mais un réemploiement au sein des différents secteurs d'activités, puisqu'elles

femmes aient toujours travaillé, la guerre les rend plus visibles, notamment à des fonctions nouvelles : à la ville, elles sont employées de banques, ramoneuses, conductrices de tramway, ouvrières dans l’industrie de l’armement (1 million de « munitionnettes » au RU en 1918, 400.000 en France). D’autres sont infirmières, bénévoles de la Croix Rouge ou infirmières militaires. Dans le commerce et l’industrie, la croissance de la main d’œuvre féminine est de 20% et le taux de féminisation est de 40%

ROLE DE LA GUERRE : La guerre a considérablement normalisé la condition et le statut de l'ouvrière. Les « munitionnettes » (surnom donné aux ouvrières des usines de guerre) ont été le fer de lance des usines d'armements, aux côtés des coloniaux et des immigrés. Elles ont touché des salaires beaucoup plus élevés. Elles étaient autonomes et, du coup, plus revendicatives. En 1917, « munitionnettes » et « midinettes » (on appelait ainsi les ouvrières des ateliers qui faisaient « une dînette » à « midi

l’internationalisme. Le 7 août 1914, les femmes sont ainsi appelées à travailler par le chef du gouvernement Viviani. Dans les villes, celles qui fabriquent des armes dans les usines (comme les usines Schneider au Creusot) sont surnommées les « munitionnettes ». Les femmes auront fabriqué en quatre ans 300 millions d’obus et plus de 6 milliards de cartouches . Désormais, les femmes distribuent aussi le courrier, s’occupent de tâches administratives et conduisent les véhicules de transport. Le 3 juin