Les Métèques

financée par les citoyens les plus riches: Tous les 4 ans, Ces fêtes, les Grandes Panathénées en particulier, sont l'occasion d'affirmer l'unité de la cité et de souder « l'empire Athénien » puisqu'elles rassemblent toute la société Athénienne ( femmes, métèques ) et que des délégués des cités alliées y participent. La fête se déroule tous les ans au mois de Juillet. elles revêtent une dimension à la fois religieuse et politique : Elles rendent hommage à Athéna, lé déesse protectrice d'Athènes et célèbrent

Athènes il faut être fils de citoyens, être un homme, avoir 18 ans, être libre, être de naissance légitime et avoir fait le service militaire. Les exclus de lacitoyenneté sont les femmes, les mineurs, les esclaves et les étrangers (ou métèques).Cependant, si un métèque non barbare (c’est-à-dire grec) accomplissait de hauts faits pour la cité, il pouvait recevoir àtitre exceptionnel et en remerciement de ses actions la citoyenneté athénienne, moyennant finances. Ces naturalisations sont donc très rares

décret de Périclès restreint encore la citoyenneté : il faut aussi avoir une mère, fille de citoyen. Les conditions d’accès à la citoyenneté sont exigeantes et une large partie de la population de la population est exclue : notamment, les femmes, les métèques (étrangers) qui pourtant jouent un rôle économique important, les esclaves qui sont sous la dépendance d’un maître. Les citoyens athéniens sont des privilégiés. Dans l’Empire Romain, la citoyenneté apparaît plus accessible : il faut être un homme

citoyen de la ville d’Athènes entre le V et IV S av J-C. Mais tout d’abord ce qu’est un citoyen. Indroduction : Pour commencer, un citoyen ce doit d’être un homme. Les femmes n’étant que filles ou épouses de citoyen. Ce ne sont ni des étrangers ou métèques, ceux-ci sont exclus de la politique ; Les esclaves quand à eux sont une propriété d’un maitre qui les considères comme un bien, donc pas citoyens non plus . Le citoyen doit donc être un homme de parents athéniens, participant à la vie de la cité

dis-je, le père prend l’habitude de tenir son fils pour son égal, de craindre ses enfants, et qu’en revanche, le fils prétend égaler son père, ne le respecte ni ne le redoute pour être libre, du moins le croit-il ; que le métèque se fait l’égal du citoyen, le citoyen l’égal du métèque, et l’étranger pareillement. Il en est ainsi, dit-il. Voilà ce qui se produit avec d’autres abus de moindre importance tels-que ceux-ci. Dans un régime de ce genre le maître craint ses élèves et les flatte , mais les

dans les autres cités, de faire la part entre les riches (plousioi) ou les nantis (emporoi), peu nombreux, et les pauvres (pénêtès) ou les démunis (aporoi). Ces distinctions traversent les catégories juridiques déjà mentionnées, comme citoyens ou métèques. Le statut social ne recouvrait pas nécessairement le statut juridique. Ce qui oppose le mieux riches et pauvres, c'est le travail, l'idée même de travail et les relations de l'individu avec le travail. Ce dernier ne peut être compris comme nous

Les Panathénées.    C'est une fête en l'honneur d'Athéna, déesse protectrice de la cité d'Athènes. Tous les citoyens mais aussi les métèques y participaient. Tous les 4 ans, la fête prenait une forme plus fastueuse et était qualifiée de grandes Panathénées. La grande statue d'Athéna en or et en ivoire mesurait plus de 12 mètres de haut. Les Éléments de la Fête. La fête se divise en plusieurs moments. Elle dure selon les époques entre 8 et 10 jours.  Elle se déroulait

et avoir fait son service militaire Ses droits : prendre part au gouvernement de la cité, devenir magistrat et être propriétaire à Athènes Ses devoirs : prendre part au gouvernement de la cité, défendre la cité, participer aux fêtes religieuses Métèques : étranger à Athènes, grec ou non mais hommes livres, ils paient une taxe spéciale. Ils n’ont ni droit de posséder des terres ni de participer à la vie politique. Femmes : elles travaillent dans le gynécée (coin des femmes). Elles s’occupent de

confiance au sein du peuple : la suspicion n'y a pas sa place. Dans ce système harmonieux, les Athéniens organisaient toute l'année des fêtes régulières. Tous les citoyens actifs, c'est à dire les hommes libres, à l'exclusion des femmes, des enfants, des métèques et des esclaves, sont tenus de participer aux affaires de l'État. S'ils ne le font pas, ils sont considérés comme des inutiles. Car la participation à la démocratie par ses citoyens est considérée comme une obligation. Cependant, Thucydide souligne

une bonne partie des hommes libres de l'empire, les pérégrins, restent « soumis comme des sujets ». Cinq cents ans plus tôt, Athènes pratiquait, comme toutes les cités grecques, une citoyenneté fermée : il était presque impossible à un étranger (métèque) d'accéder à la citoyenneté, et le nombre des citoyens était donc très limité (40 000 au Ve s). En revanche, comme le montre bien le document 2, Athènes accorde au Ve s. des droits politiques importants au citoyen. « Le peuple a le pouvoir » dit