Les Peuples Civilisés

Introduction Supplément au voyage de Bougainville, de Diderot, est conçue comme un dialogue opposant deux façons de penser, de vivre. Elle soulève également le problème du colonialisme et célèbre la vie sauvage par rapport à l'homme civilisé, ici dénigré. Dans cet extrait, Denis Diderot met en scène un vieillard qui se présente comme étant indifférent au départ des blancs. Au moment de ce départ, il prononce un discours violent divisé en deux parties : dans la première, il s'adresse tout d'abord

Ulysse avec les peuples « mangeurs de pain » qui représentent l’humanité à laquelle il appartient). Ces créatures incarnent pour le héros l’image de l’altérité. Elles évoluent dans l’autre monde que traverse Ulysse lors de ses aventures, celui du merveilleux dont la frontière est la Phéacie (peuple de passeurs) . 1) LES PEUPLES - Les Lotophages ( qui procurent l’oubli aux compagnons d’Ulysse grâce au lotos) p.144 (IX) - Les Cyclopes(IX) et Lestrygons(X) : peuples sauvages , violents

sur l’origine de l’inégalité, écrit en 1755, Rousseau explique que les peuples « sauvages » seraient heureux et auraient du plaisir à subvenir à leurs besoins naturels mais ne trouverait aucune utilité à vivre dan le luxe. Voltaire, dans la Lettre à Rousseau, affirme avoir eu envi de reprendre des allures naturelles mais cela est « malheureusement impossible » à faire dans cette société Européenne loin du mode de vie des « peuples sauvages ». Dans ces 5 textes, une vie réglée sur la nature est mise

chimériques." Introduction : Supplément au voyage de Bougainville, de Diderot, est conçue comme un dialogue opposant deux façons de penser, de vivre. Elle soulève également le problème du colonialisme et célèbre la vie sauvage par rapport à l'homme civilisé, ici dénigré. Dans cet extrait, Denis Diderot met en scène un vieillard qui se présente comme étant indifférent au départ des blancs. Au moment de ce départ, il prononce un discours violent divisé en deux parties : dans la première, il s'adresse

rivalités politiques et de volonté d’hégémonie en Europe, la colonisation est aussi un moyen de construire et d’affirmer son statut de puissance (cf discours de Jules Ferry) 2. … Et beaucoup de motivations : 1. La nécessité de « civiliser » : l’Homme blanc a des certitudes et d’abord celles qui lui disent qu’il appartient à la race supérieure des hommes ; la science le lui confirme en élaborant une gradation des races d’hommes. Il est par conséquent convaincu qu’il est nécessaire

nature de l’indigène, jusque-là inconnu. Deux attitudes différentes se développent : - celle de la colonisation et de l’esclavage de ces peuples - la recherche de compréhension de leurs coutumes * Michel de Montaigne est un écrivain et philosophe humaniste du XVIème siècle. Dans ce chapitre des Essais « les cannibales », Celui-ci va analyser ces nouveaux peuples sans préjugés. En cela, il adopte une attitude humaniste. * Comment Montaigne décrit-il les sauvages ? * PLAN I- Une description

s’étend principalement en Afrique du Nord, de l’ouest et équatoriale, dans la péninsule indochinoise et en Océanie. La colonisation française est justifiée par le prétexte d’un devoir humanitaire et républicain, celui de secourir et de civiliser les peuples pauvres. En réalité, outre leur qualité militaire statégique, les pays colonisés jouent un rôle économique important : ils constituent des réservoirs immenses de main d’oeuvre humaine pour l’exploitation des matières premières locales et servent

Grec du VIe siècle)  « Ces Francs ne sont pas des nomades comme le sont souvent les Barbares. Ils usent de l’administration et des lois romaines. (…)  Ils ont des fonctionnaires et des prêtres.  Il semble qu’ils soient assez civilisés et cultivés pour un peuple barbare : ils ne se distinguent des Romains que par leur langue et leurs vêtements. » Les Francs d’après un historien de l’Empire romain (P. Petit)  « Au milieu du IIIè siècle, les Francs ravageaient tout le nord de la Gaule. Les

Hugo à l’exil après le coup d’Etat du 2 décembre 18512, qu’il condamnera fortement. Pendant cette longue période de 20 ans, il vécût en Belgique et utilisât son temps pour réfléchir sur différents thèmes d’actualité politique et sur la situation du peuple français. Il produisît en outre une de ses œuvres les plus célèbres : Les Misérables. Il ne rentrera à Paris qu’après l’avènement de la IIIe République en 1870 au cours de laquelle il continuera ce combat tout en défendant les pauvres et les opprimés

l'inégalité engendrée par la propriété : l'homme est dénaturé par la société qui n'est qu'un pacte d'association au profit des riches. À ce pacte illégitime Rousseau propose de substituer un "vrai contrat" (position contractualiste) au terme duquel le peuple pourra exercer directement sa souveraineté. Distinguant ici un second état de nature ante politique de la civilisation à proprement parler, il se livre à histoire anthropologique de toute l’Humanité (généalogie des inégalités sociales) ; ce qui contraste