Les Philosophes Ne Doivent Pas Gouverner

Ensuite, à travers le prisme des œuvres d’éminents philosophes comme Hegel, Rousseau et Kant, il introduit le débat à l’intérieur de ce qu’il convient d’appeler le trinôme Contrat-État-Peuple, posant incidemment le problème de la souveraineté populaire. II.- Plan du texte 1.- De la fonction et des diverses acceptions du droit 2.- Le droit : émanation de l’autorité souveraine 3.- Le droit vu par certains philosophes (le droit dans le trinôme Contrat-État-Peuple

se définit comme étant le Gouvernement du peuple par le peuple. La démocratie exige donc que le peuple ait le droit de se gouverner lui-même, qu’il soit autonome, c’est-à-dire qu’il n’obéisse qu’aux règles qu’il a lui-même définies. L’autonomie du peuple a été exercée en pratique dès l’Antiquité grecque, au Ve siècle avant JC puis à Rome. Mais le droit du peuple à se gouverner lui a été ensuite confisqué par la religion et les rois durant des siècles. A partir du XVIe siècle, qqs expériences de république

1850) 1 - Les philosophes français et L'Encyclopédie La France est le point de départ d'idées nouvelles : "Jadis tout était Romain, aujourd’hui tout est français". Paris devient la capitale européenne de la philosophie : de nombreux philosophes étrangers viennent en France et les livres français sont exportés à l'étranger. 1758 : Montesquieu préconise la séparation des pouvoirs et les états doivent être contraints à penser autrement leur façon de gouverner. Des philosophes comme Diderot, Voltaire

P.1-14 : - Philosophe : celui qui parvient à la connaissance de la vérité tel qu’elle est. : Il faut un équilibre entre les parties de son âme. Exclus : rhéteur, sophiste, … - Pour diriger la société : Connaissance philosophique, Expérience, Supérieur à ceux qu’il dirige dans les composantes de la vertu (sagesse, courage, tempérance, justice). + Mémoire - Vrai philosophe est rare mais pas impossible et l’éducation est nécessaire mais non suffisante. P.14-16 : - Le philosophe est mal accepté

temps le réalisme machiavélien puis en second lieu, l’amoralisme du prince fondateur. I- Le réalisme machiavélien 1° Etude empiriste de la condition humaine Contrairement aux philosophes de l’antiquité, comme Platon qui avait instauré comme meilleur régime la cité des philosophes et avait fait d’une cité juste une cité respectueuse de la hiérarchie, Machiavel a une attitude empiriste. Il considère que l’on ne peut rien comprendre à la politique si l’on ne réfléchit pas sur la

– 485 a] Conséquence du précédent développement. Le philosophe doit gouverner parce que seul il connaît la vérité idéale. [484 b] Les philosophes sont ceux qui sont capables d’atteindre à ce qui existe toujours de manière immuable. Ceux qui sont capables de garder les lois et les institutions, il faut les établir gardiens de l’Etat. [484 c] Ces gardiens doivent avoir la vue perçante, celle qui consiste à voir la vérité idéale. [484 d] Ils doivent connaître l’être de chaque chose, cette connaissance

portée du despotisme éclairé 2. Les limites Conclusion Résumé Lexique Bibliographie Introduction Dans la seconde moitié du XVIIIème siècle, plusieurs souverains d’Europe tout en exerçant un pouvoir absolu se sont inspirés des idées des philosophes du siècle des lumières et s’engagentdans des politiques de réformes. Ainsi est né le despotisme éclairé, forme de gouvernement basée sur la raison où les souverains exercent leur autorité au service des idées nouvelles. Cependant les despotes

étudie. Lorsque nous sommes publiciste, le droit régie les relations entre l’état et les citoyens ou encore, les relations entre les différentes administrations. Lorsque nous sommes privatiste, le droit correspond à l’ensemble des règles qui gouverne les relations entre les personnes. Notre conception du droit diffère en fonction de notre profession, les professeurs de droit, sont enseignants, et à la fois, chercheur, car le droit est une notion sur laquelle ils vont réfléchir, méditer.

Le « Siècle des lumières » On emploie l’expression de « siècle des Lumières » pour désigner le 18ème siècle. En Europe et surtout en France, des penseurs (écrivains et savants) expriment des idées nouvelles. On les appelle philosophes des « Lumières » car ils souhaitent «éclairer toutes choses à la lumière au profit de la raison » et permettre aux hommes de vivre dans un monde meilleur. Influencés par les modèle britanniques, ils portent un regard critiquent sur la Société (d’Ancien régime) dans

incompatible avec l’action effective de l’Etat 3 L’Etat n’a pas à régler la conduite des citoyens. Il ne vise pas la Bien ou le Mal, gouverner ce n’est pas se réferer à des principes moraux, voir Machiavel dans le Prince qui fait de la distinction entre la morale et la politique, mais comme la fonction de tout Etat est de gouverner, les principes moraux doivent apparaitre comme secondaires .Il faut saisir la réalité telle qu’elle est. En politique, imaginer des régimes idéaux, conforme au règle